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Étude de la «régionalité» littéraire dans Arvida de Samuel Archibald, Atavismes de Raymond Bock et Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier

Tremblay, Stéphanie 08 1900 (has links)
Consacré à deux recueils et à un roman parus en 2011, Arvida de Samuel Archibald, Atavismes de Raymond Bock et Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier, le présent mémoire interroge la représentation de territoires régionaux dans la littérature québécoise contemporaine. Il propose que le territoire exploré par ces fictions soit en fin de compte plus imaginaire que réel, d’où l’adoption du concept de « régionalité » emprunté à Francis Langevin. Le premier chapitre présente l’histoire des régionalismes littéraires français et québécois et s’attache à la façon dont le corpus étudié s’en distingue et s’en inspire, entre autres par des allusions intertextuelles. Il procède ensuite à l’analyse des univers intertextuels des fictions associées à la notion de bibliothèque imaginaire. Le second chapitre explore les questions d’héritage, de mémoire et de filiation par l’entremise d’analyses textuelles, lesquelles relèvent des difficultés de transmission et d’appropriation du souvenir. Enfin, le troisième chapitre porte sur les rapports complexes qu’entretient le corpus avec le réalisme littéraire, en mettant en scène des univers à la fois familiers et étranges sur le plan référentiel. En découle une forme de distanciation qui s’accompagne du motif de l’éloignement, tout en empruntant des éléments à l’inquiétante étrangeté freudienne. / Drawing from two collections and one novel published in 2011, Arvida by Samuel Archibald, Atavismes by Raymond Bock, and Il pleuvait des oiseaux by Jocelyne Saucier, this thesis explores the representation of regional territories in contemporary Quebec literature. It proposes that the territories described by these works of fiction are more imagination than reality, as Francis Langevin’s concept of “régionalité” suggests. The first chapter addresses the history of French and Quebecois regionalism, emphasizing how the examined corpus distinguishes itself and draws inspiration, in large part by way of intertextual allusions. This leads to an investigation of the intertextual universes of fictional works associated with the notion of the imaginary library. The second chapter explores questions of heritage, memory and filiation by way of textual analysis, revealing the challenges associated with the transmission and appropriation of memory. Lastly, the third chapter explores the complex relationship between the corpus and literary realism, situating universes both familiar and foreign on the referential plane. Thus results a form of detachment which takes shape as a thematic pattern of remoteness, borrowing Freudian elements of disquieting strangeness.
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Mathilde et Flore ; : suivi de Vieillesse et agentivité chez Flora Fontanges, dans Le premier jardin d'Anne Hébert, et chez Marie-Desneige, dans Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier

Lemieux, Marie, Lemieux, Marie 04 August 2022 (has links)
Aujourd'hui octogénaire, Mathilde n'est pas de celles qu'on assoit sagement en retrait de l'action. Cette créatrice de mode a été à la tête d'une maison de haute couture pendant plus de quarante ans. Après avoir affronté vents et marées pour s'imposer et survivre en affaires, voilà que le regard des autres lui renvoie l'image de sa vieillesse, dressant un mur de préjugés pour freiner sa soif d'aller de l'avant. Dorénavant, ses relations avec les autres sont empreintes d'ambiguïté. Alors qu'on la prétend faible et vulnérable, on continue de s'appuyer sur elle et de réclamer son soutien. Ainsi sa locataire, affectée par une grave dépression, s'en remet entièrement à elle pour son déménagement. Mathilde doit aussi croiser le fer avec son fils qui veut la placer dans une résidence pour aînés, afin de toucher un profit sur la vente de sa maison. Sa fille et ses petits-enfants continuent de chercher appui et conseils auprès d'elle. Mais on oublie que Mathilde n'est pas que mère, grand-mère et amie, bien que vieille, elle est encore femme et bien vivante. On la retrouve là où on ne l'attendait pas, comme à la tête d'un groupe de protestataires et sur une scène de théâtre, en dépit de l'incrédulité et de la désapprobation de son entourage. Et qu'en est-il de sa relation avec le metteur en scène... Mathilde est vieille et bien déterminée à vivre jusqu'à son dernier souffle. Notre essai propose une relecture des romans Le premier jardin d'Anne Hébert et d'Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier, du point de vue des personnages principaux, Flora Fontanges et Marie-Desneige, en utilisant la notion de vieillesse et le concept d'agentivité. Nous démontrons que c'est du haut de leur expérience et de leur ressenti qu'elles jettent un regard sur ce qu'elles vivent, ce que nous lisons est la perspective de femmes qui ont du vécu. Vieillesse et agentivité se conjuguent tout au long de leur parcours. Elles jouissent de beaux moments de « reverdie » au cœur de leur vieillesse, leur procurant l'élan de vie qui les prédispose à l'action. À cela s'ajoute leur détermination à prendre leur vie en main. Elles avancent donc vers leur destin, volontaires et déterminées à ne pas s'en laisser imposer. Elles poursuivent leur vie à leur façon, à leur rythme, jusqu'à la fin.
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Mathilde et Flore ; : suivi de Vieillesse et agentivité chez Flora Fontanges, dans Le premier jardin d'Anne Hébert, et chez Marie-Desneige, dans Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier

Lemieux, Marie 13 December 2023 (has links)
Aujourd'hui octogénaire, Mathilde n'est pas de celles qu'on assoit sagement en retrait de l'action. Cette créatrice de mode a été à la tête d'une maison de haute couture pendant plus de quarante ans. Après avoir affronté vents et marées pour s'imposer et survivre en affaires, voilà que le regard des autres lui renvoie l'image de sa vieillesse, dressant un mur de préjugés pour freiner sa soif d'aller de l'avant. Dorénavant, ses relations avec les autres sont empreintes d'ambiguïté. Alors qu'on la prétend faible et vulnérable, on continue de s'appuyer sur elle et de réclamer son soutien. Ainsi sa locataire, affectée par une grave dépression, s'en remet entièrement à elle pour son déménagement. Mathilde doit aussi croiser le fer avec son fils qui veut la placer dans une résidence pour aînés, afin de toucher un profit sur la vente de sa maison. Sa fille et ses petits-enfants continuent de chercher appui et conseils auprès d'elle. Mais on oublie que Mathilde n'est pas que mère, grand-mère et amie, bien que vieille, elle est encore femme et bien vivante. On la retrouve là où on ne l'attendait pas, comme à la tête d'un groupe de protestataires et sur une scène de théâtre, en dépit de l'incrédulité et de la désapprobation de son entourage. Et qu'en est-il de sa relation avec le metteur en scène... Mathilde est vieille et bien déterminée à vivre jusqu'à son dernier souffle. Notre essai propose une relecture des romans Le premier jardin d'Anne Hébert et d'Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier, du point de vue des personnages principaux, Flora Fontanges et Marie-Desneige, en utilisant la notion de vieillesse et le concept d'agentivité. Nous démontrons que c'est du haut de leur expérience et de leur ressenti qu'elles jettent un regard sur ce qu'elles vivent, ce que nous lisons est la perspective de femmes qui ont du vécu. Vieillesse et agentivité se conjuguent tout au long de leur parcours. Elles jouissent de beaux moments de « reverdie » au cœur de leur vieillesse, leur procurant l'élan de vie qui les prédispose à l'action. À cela s'ajoute leur détermination à prendre leur vie en main. Elles avancent donc vers leur destin, volontaires et déterminées à ne pas s'en laisser imposer. Elles poursuivent leur vie à leur façon, à leur rythme, jusqu'à la fin.

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