Spelling suggestions: "subject:"amplication textuelle"" "subject:"emplication textuelle""
1 |
Validation de réponses dans un système de questions réponses / Answer validation in question answering systemGrappy, Arnaud 08 November 2011 (has links)
Avec l'augmentation des connaissances disponibles sur Internet est apparue la difficulté d'obtenir une information. Les moteurs de recherche permettent de retourner des pages Web censés contenir l'information désirée à partir de mots clés. Toutefois il est encore nécessaire de trouver la bonne requête et d'examiner les documents retournés. Les systèmes de questions réponses ont pour but de renvoyer directement une réponse concise à partir d'une question posée en langue naturelle. La réponse est généralement accompagnée d'un passage de texte censé la justifier. Par exemple, pour la question « Quel est le réalisateur d'Avatar ? » la réponse « James Cameron » peut être renvoyée accompagnée de « James Cameron a réalisé Avatar. ». Cette thèse se focalise sur la validation de réponses qui permet de déterminer automatiquement si la réponse est valide. Une réponse est valide si elle est correcte (répond bien à la question) et justifiée par le passage textuel. Cette validation permet d'améliorer les systèmes de questions réponses en ne renvoyant à l'utilisateur que les réponses valides. Les approches permettant de reconnaître les réponses valides peuvent se décomposer en deux grandes catégories : -les approches utilisant un formalisme de représentation particulier de la question et du passage dans lequel les structures sont comparées ;-les approches suivant une approche par apprentissage qui combinent différents critères d'ordres lexicaux ou syntaxiques. Dans le but d'identifier les différents phénomènes sous tendant la validation de réponses, nous avons participé à la création d'un corpus annoté manuellement. Ces phénomènes sont de différentes natures telle que la paraphrase ou la coréférence. On peut aussi remarquer que les différentes informations sont réparties sur plusieurs phrases, voire sont manquantes dans les passages contenant la réponse. Une deuxième étude de corpus de questions a porté sur les différentes informations à vérifier afin de détecter qu'une réponse est valide. Cette étude a montré que les trois phénomènes les plus fréquents sont la vérification du type de la réponse, la date et le lieu contenus dans la question. Ces différentes études ont permis de mettre au point notre système de validation de réponses qui s'appuie sur une combinaison de critères. Certains critères traitent de la présence dans le passage des mots de la question ce qui permet de pointer la présence des informations de la question. Un traitement particulier a été effectué pour les informations de date en détectant une réponse comme n'étant pas valide si le passage ne contient pas la date contenue dans la question. D'autres critères, dont la proximité dans le passage des mots de la question et de la réponse, portent sur le lien entre les différents mots de la question dans le passage. Le second grand type de vérification permet de mesurer la compatibilité entre la réponse et la question. Un certain nombre de questions attendent une réponse étant d'un type particulier. La question de l'exemple précédent attend ainsi un réalisateur en réponse. Si la réponse n'est pas de ce type alors elle est incorrecte. Comme cette information peut ne pas se trouver dans le passage justificatif, elle est recherchée dans des documents autres à l'aide de la structure des pages Wikipédia, en utilisant des patrons syntaxiques ou grâce à des fréquences d'apparitions du type et de la réponse dans des documents. La vérification du type est particulièrement efficace puisqu'elle effectue 80 % de bonnes détections. La vérification de la validité des réponses est également pertinente puisque lors de la participation à une campagne d'évaluation, AVE 2008, le système s'est placé parmi les meilleurs toutes langues confondues. La dernière contribution a consisté à intégrer le module de validation dans un système de questions réponses, QAVAL. Dans ce cadre de nombreuses réponses sont extraites par QAVAL et ordonnées grâce au module de validation de réponses. Le système n'est plus utilisé afin de détecter les réponses valides mais pour fournir un score de confiance à chaque réponse. Le système QAVAL peut ainsi aussi bien être utilisé en effectuant des recherches dans des articles de journaux que dans des articles issus du Web. Les résultats sont assez bons puisqu'ils dépassent ceux obtenus par un simple ordonnancement des réponses de près de 50 %. / Question answering systems extract precise answers from a set of documents, and return the answers along with text snippets which justify them. For example, to the question "Who is the director of Avatar?" The answer "James Cameron" may be returned with "Avatar by James Cameron.".The answer validation detect automatically if the answer is valid ie. if it is correct (responds to the question) and justified by the text passage. This validation allows to improve the question answering systems by producing only valid answers.Two kind of methods can be used to detect right answers : -approaches using specific representation formalism of the question and the passage in which the structures are compared;-learning approaches that combines lexical and syntactic features.To identify the phenomena that characterize the answer validation, we built a manually annotated corpus. Differents phenomena can be seen like paraphrasing, coreference or that the information is spread in different sentences or documents. A second corpus aims to identify the different informations to be checked to valid an answer. This study showed that the three mains phenomena are the answer type, the date and place of the question.These studies have helped to develop our answer validation system which is based on a combination of features. The first one estimates the proportion of common terms in the snippet and the question, the second one measures the proximity of these terms and the answer. The second kind of features measure the compatibility between the answer and the question. Numerous questions wait for answers of an explicit type. For example, the question “Which president succeeded to Jacques Chirac?” requires an instance of president as answer.If the answer is not of this type then it is incorrect. The method aims at verifying that an answer given by a system corresponds to the given type. This verification is done by combining features provided by different methods. The first types of feature are statistical and compute the presence rate of both the answer and the type in documents, other features rely on named entity recognizers and the last criteria are based on the use of Wikipedia. Type checking is particularly effective because it makes 80 % correct detections. The final contribution was to integrate the validation module in a question answering system, QAVAL. Many answers are retrieved by QAVAL and ordered through the answers validation module. The module provide a confidence score to each response. QAVAL can be used both by researching the information in newspaper articles and in articles from the Web. The results are good, exceeding those obtained by a simple answer ranking from nearly 50%.
|
2 |
Validation de réponses dans un système de questions réponsesGrappy, Arnaud 08 November 2011 (has links) (PDF)
Avec l'augmentation des connaissances disponibles sur Internet est apparue la difficulté d'obtenir une information. Les moteurs de recherche permettent de retourner des pages Web censés contenir l'information désirée à partir de mots clés. Toutefois il est encore nécessaire de trouver la bonne requête et d'examiner les documents retournés.Les systèmes de questions réponses ont pour but de renvoyer directement une réponse concise à partir d'une question posée en langue naturelle. La réponse est généralement accompagnée d'un passage de texte censé la justifier. Par exemple, pour la question " Quel est le réalisateur d'Avatar ? " la réponse " James Cameron " peut être renvoyée accompagnée de " James Cameron a réalisé Avatar. ". Cette thèse se focalise sur la validation de réponses qui permet de déterminer automatiquement si la réponse est valide. Une réponse est valide si elle est correcte (répond bien à la question) et justifiée par le passage textuel. Cette validation permet d'améliorer les systèmes de questions réponses en ne renvoyant à l'utilisateur que les réponses valides. Les approches permettant de reconnaître les réponses valides peuvent se décomposer en deux grandes catégories : -les approches utilisant un formalisme de représentation particulier de la question et du passage dans lequel les structures sont comparées ;-les approches suivant une approche par apprentissage qui combinent différents critères d'ordres lexicaux ou syntaxiques. Dans le but d'identifier les différents phénomènes sous tendant la validation de réponses, nous avons participé à la création d'un corpus annoté manuellement. Ces phénomènes sont de différentes natures telle que la paraphrase ou la coréférence. On peut aussi remarquer que les différentes informations sont réparties sur plusieurs phrases, voire sont manquantes dans les passages contenant la réponse. Une deuxième étude de corpus de questions a porté sur les différentes informations à vérifier afin de détecter qu'une réponse est valide. Cette étude a montré que les trois phénomènes les plus fréquents sont la vérification du type de la réponse, la date et le lieu contenus dans la question.Ces différentes études ont permis de mettre au point notre système de validation de réponses qui s'appuie sur une combinaison de critères. Certains critères traitent de la présence dans le passage des mots de la question ce qui permet de pointer la présence des informations de la question. Un traitement particulier a été effectué pour les informations de date en détectant une réponse comme n'étant pas valide si le passage ne contient pas la date contenue dans la question. D'autres critères, dont la proximité dans le passage des mots de la question et de la réponse, portent sur le lien entre les différents mots de la question dans le passage.Le second grand type de vérification permet de mesurer la compatibilité entre la réponse et la question. Un certain nombre de questions attendent une réponse étant d'un type particulier. La question de l'exemple précédent attend ainsi un réalisateur en réponse. Si la réponse n'est pas de ce type alors elle est incorrecte. Comme cette information peut ne pas se trouver dans le passage justificatif, elle est recherchée dans des documents autres à l'aide de la structure des pages Wikipédia, en utilisant des patrons syntaxiques ou grâce à des fréquences d'apparitions du type et de la réponse dans des documents. La vérification du type est particulièrement efficace puisqu'elle effectue 80 % de bonnes détections. La vérification de la validité des réponses est également pertinente puisque lors de la participation à une campagne d'évaluation, AVE 2008, le système s'est placé parmi les meilleurs toutes langues confondues. La dernière contribution a consisté à intégrer le module de validation dans un système de questions réponses, QAVAL. Dans ce cadre de nombreuses réponses sont extraites par QAVAL et ordonnées grâce au module de validation de réponses. Le système n'est plus utilisé afin de détecter les réponses valides mais pour fournir un score de confiance à chaque réponse. Le système QAVAL peut ainsi aussi bien être utilisé en effectuant des recherches dans des articles de journaux que dans des articles issus du Web. Les résultats sont assez bons puisqu'ils dépassent ceux obtenus par un simple ordonnancement des réponses de près de 50 %.
|
3 |
Textual Inference for Machine Comprehension / Inférence textuelle pour la compréhension automatiqueGleize, Martin 07 January 2016 (has links)
Étant donnée la masse toujours croissante de texte publié, la compréhension automatique des langues naturelles est à présent l'un des principaux enjeux de l'intelligence artificielle. En langue naturelle, les faits exprimés dans le texte ne sont pas nécessairement tous explicites : le lecteur humain infère les éléments manquants grâce à ses compétences linguistiques, ses connaissances de sens commun ou sur un domaine spécifique, et son expérience. Les systèmes de Traitement Automatique des Langues (TAL) ne possèdent naturellement pas ces capacités. Incapables de combler les défauts d'information du texte, ils ne peuvent donc pas le comprendre vraiment. Cette thèse porte sur ce problème et présente notre travail sur la résolution d'inférences pour la compréhension automatique de texte. Une inférence textuelle est définie comme une relation entre deux fragments de texte : un humain lisant le premier peut raisonnablement inférer que le second est vrai. Beaucoup de tâches de TAL évaluent plus ou moins directement la capacité des systèmes à reconnaître l'inférence textuelle. Au sein de cette multiplicité de l'évaluation, les inférences elles-mêmes présentent une grande variété de types. Nous nous interrogeons sur les inférences en TAL d'un point de vue théorique et présentons deux contributions répondant à ces niveaux de diversité : une tâche abstraite contextualisée qui englobe les tâches d'inférence du TAL, et une taxonomie hiérarchique des inférences textuelles en fonction de leur difficulté. La reconnaissance automatique d'inférence textuelle repose aujourd'hui presque toujours sur un modèle d'apprentissage, entraîné à l'usage de traits linguistiques variés sur un jeu d'inférences textuelles étiquetées. Cependant, les données spécifiques aux phénomènes d'inférence complexes ne sont pour le moment pas assez abondantes pour espérer apprendre automatiquement la connaissance du monde et le raisonnement de sens commun nécessaires. Les systèmes actuels se concentrent plutôt sur l'apprentissage d'alignements entre les mots de phrases reliées sémantiquement, souvent en utilisant leur structure syntaxique. Pour étendre leur connaissance du monde, ils incluent des connaissances tirées de ressources externes, ce qui améliore souvent les performances. Mais cette connaissance est souvent ajoutée par dessus les fonctionnalités existantes, et rarement bien intégrée à la structure de la phrase.Nos principales contributions dans cette thèse répondent au problème précédent. En partant de l'hypothèse qu'un lexique plus simple devrait rendre plus facile la comparaison du sens de deux phrases, nous décrivons une méthode de récupération de passage fondée sur une expansion lexicale structurée et un dictionnaire de simplifications. Cette hypothèse est testée à nouveau dans une de nos contributions sur la reconnaissance d'implication textuelle : des paraphrases syntaxiques sont extraites du dictionnaire et appliquées récursivement sur la première phrase pour la transformer en la seconde. Nous présentons ensuite une méthode d'apprentissage par noyaux de réécriture de phrases, avec une notion de types permettant d'encoder des connaissances lexico-sémantiques. Cette approche est efficace sur trois tâches : la reconnaissance de paraphrases, d'implication textuelle, et le question-réponses. Nous résolvons son problème de passage à l'échelle dans une dernière contribution. Des tests de compréhension sont utilisés pour son évaluation, sous la forme de questions à choix multiples sur des textes courts, qui permettent de tester la résolution d'inférences en contexte. Notre système est fondé sur un algorithme efficace d'édition d'arbres, et les traits extraits des séquences d'édition sont utilisés pour construire deux classifieurs pour la validation et l'invalidation des choix de réponses. Cette approche a obtenu la deuxième place du challenge "Entrance Exams" à CLEF 2015. / With the ever-growing mass of published text, natural language understanding stands as one of the most sought-after goal of artificial intelligence. In natural language, not every fact expressed in the text is necessarily explicit: human readers naturally infer what is missing through various intuitive linguistic skills, common sense or domain-specific knowledge, and life experiences. Natural Language Processing (NLP) systems do not have these initial capabilities. Unable to draw inferences to fill the gaps in the text, they cannot truly understand it. This dissertation focuses on this problem and presents our work on the automatic resolution of textual inferences in the context of machine reading. A textual inference is simply defined as a relation between two fragments of text: a human reading the first can reasonably infer that the second is true. A lot of different NLP tasks more or less directly evaluate systems on their ability to recognize textual inference. Among this multiplicity of evaluation frameworks, inferences themselves are not one and the same and also present a wide variety of different types. We reflect on inferences for NLP from a theoretical standpoint and present two contributions addressing these levels of diversity: an abstract contextualized inference task encompassing most NLP inference-related tasks, and a novel hierchical taxonomy of textual inferences based on their difficulty.Automatically recognizing textual inference currently almost always involves a machine learning model, trained to use various linguistic features on a labeled dataset of samples of textual inference. However, specific data on complex inference phenomena is not currently abundant enough that systems can directly learn world knowledge and commonsense reasoning. Instead, systems focus on learning how to use the syntactic structure of sentences to align the words of two semantically related sentences. To extend what systems know of the world, they include external background knowledge, often improving their results. But this addition is often made on top of other features, and rarely well integrated to sentence structure. The main contributions of our thesis address the previous concern, with the aim of solving complex natural language understanding tasks. With the hypothesis that a simpler lexicon should make easier to compare the sense of two sentences, we present a passage retrieval method using structured lexical expansion backed up by a simplifying dictionary. This simplification hypothesis is tested again in a contribution on textual entailment: syntactical paraphrases are extracted from the same dictionary and repeatedly applied on the first sentence to turn it into the second. We then present a machine learning kernel-based method recognizing sentence rewritings, with a notion of types able to encode lexical-semantic knowledge. This approach is effective on three tasks: paraphrase identification, textual entailment and question answering. We address its lack of scalability while keeping most of its strengths in our last contribution. Reading comprehension tests are used for evaluation: these multiple-choice questions on short text constitute the most practical way to assess textual inference within a complete context. Our system is founded on a efficient tree edit algorithm, and the features extracted from edit sequences are used to build two classifiers for the validation and invalidation of answer candidates. This approach reaches second place at the "Entrance Exams" CLEF 2015 challenge.
|
4 |
Mesures de similarité distributionnelle asymétrique pour la détection de l'implication textuelle par généralitéPais, Sebastião 06 December 2013 (has links) (PDF)
Textual Entailment vise à capturer les principaux besoins d'inférence sémantique dans les applications de Traitement du Langage Naturel. Depuis 2005, dans la Textual Entailment reconnaissance tâche (RTE), les systèmes sont appelés à juger automatiquement si le sens d'une portion de texte, le texte - T, implique le sens d'un autre texte, l'hypothèse - H. Cette thèse nous nous intéressons au cas particulier de l'implication, l'implication de généralité. Pour nous, il ya différents types d'implication, nous introduisons le paradigme de l'implication textuelle en généralité, qui peut être définie comme l'implication d'une peine spécifique pour une phrase plus générale, dans ce contexte, le texte T implication Hypothèse H, car H est plus générale que T.Nous proposons des méthodes sans surveillance indépendante de la langue de reconnaissance de l'implication textuelle par la généralité, pour cela, nous présentons une mesure asymétrique informatif appelée Asymmetric simplifié InfoSimba, que nous combinons avec différentes mesures d'association asymétriques à reconnaître le cas spécifique de l'implication textuelle par la généralité.Cette thèse, nous introduisons un nouveau concept d'implication, les implications de généralité, en conséquence, le nouveau concept d'implications de la reconnaissance par la généralité, une nouvelle orientation de la recherche en Traitement du Langage Naturel.
|
5 |
Mesures de similarité distributionnelle asymétrique pour la détection de l’implication textuelle par généralité / Asymmetric Distributional Similarity Measures to Recognize Textual Entailment by GeneralityPais, Sebastião 06 December 2013 (has links)
Textual Entailment vise à capturer les principaux besoins d'inférence sémantique dans les applications de Traitement du Langage Naturel. Depuis 2005, dans la Textual Entailment reconnaissance tâche (RTE), les systèmes sont appelés à juger automatiquement si le sens d'une portion de texte, le texte - T, implique le sens d'un autre texte, l'hypothèse - H. Cette thèse nous nous intéressons au cas particulier de l'implication, l'implication de généralité. Pour nous, il ya différents types d'implication, nous introduisons le paradigme de l'implication textuelle en généralité, qui peut être définie comme l'implication d'une peine spécifique pour une phrase plus générale, dans ce contexte, le texte T implication Hypothèse H, car H est plus générale que T.Nous proposons des méthodes sans surveillance indépendante de la langue de reconnaissance de l'implication textuelle par la généralité, pour cela, nous présentons une mesure asymétrique informatif appelée Asymmetric simplifié InfoSimba, que nous combinons avec différentes mesures d'association asymétriques à reconnaître le cas spécifique de l'implication textuelle par la généralité.Cette thèse, nous introduisons un nouveau concept d'implication, les implications de généralité, en conséquence, le nouveau concept d'implications de la reconnaissance par la généralité, une nouvelle orientation de la recherche en Traitement du Langage Naturel. / Textual Entailment aims at capturing major semantic inference needs across applications in Natural Language Processing. Since 2005, in the Textual Entailment recognition (RTE) task, systems are asked to automatically judge whether the meaning of a portion of text, the Text - T, entails the meaning of another text, the Hypothesis - H. This thesis we focus a particular case of entailment, entailment by generality. For us, there are various types of implication, we introduce the paradigm of Textual Entailment by Generality, which can be defined as the entailment from a specific sentence towards a more general sentence, in this context, the Text T entailment Hypothesis H, because H is more general than T. We propose methods unsupervised language-independent for Recognizing Textual Entailment by Generality, for this we present an Informative Asymmetric Measure called the Simplified Asymmetric InfoSimba, which we combine with different asymmetric association measures to recognizingthe specific case of Textual Entailment by Generality.This thesis, we introduce the new concept of implication, implications by generality, in consequence, the new concept of recognition implications by generality, a new direction of research in Natural Language Processing.
|
Page generated in 0.141 seconds