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Photonics for nuclear environments: from radiation effects to applications in sensing and data-communication

Fernandez Fernandez, Alberto January 2006 (has links)
Doctorat en Sciences de l'ingénieur / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'Economie Politique de Développement de l'Energie Nucléaire en Iran (1957-2004)

Barzin, Nader 23 May 2004 (has links) (PDF)
L'introduction de l'Atome en Iran s'est fait à l'initiative des Etats-Unis en 1957 dans le cadre du programme « Atomes pour la Paix. » L'Iran de l'époque n'avait aucun besoin de la technologie nucléaire. Mais cette même technologie a fourni les moyens de dissuasion contre les Etats-Unis même, 45 ans plus tard : l'Atome a paradoxalement servi pour la « paix en Iran ». L'initiative des Etats-Unis des années 1950 était basée sur leur position de faiblesse pour le contrôle du secteur nucléaire. La participation de l'Iran, comme des autres pays, au programme « Atomes pour la Paix » a permis aux Etats-Unis de créer un régime international afin de contrôler ce secteur. Les Etats-Unis ont utilisé l'accession de l'Inde (1974) à la capacité nucléaire militaire, comme prétexte pour empêcher l'accès de tout nouveau pays à l'utilisation de l'énergie nucléaire. Avec l'entrée de l'Europe dans le marché d'enrichissement, les Etats-Unis n'avaient plus aucun intérêt dans le maintien et la croissance du secteur nucléaire international. L'Inde avait fourni « l'événement » nécessaire pour justifier l'arrêt par les Etats-Unis de la coopération internationale dans ce domaine. Un marché qui ne lui servait plus à rien, et pourrait aussi augmenter le coût de ses interventions militaires.<br />Le départ des forces britanniques du Golfe Persique en 1971 a fourni l'occasion pour le Shah d'assumer un rôle sécuritaire important dans la région. La contrepartie pour le Shah était la récupération totale des bénéfices de l'industrie pétrolière. Mais le Shah visait aussi d'enrayer la baisse continue des prix pétroliers en termes réels par le biais d'une action collective de l'OPEP, ce qui n'était plus acceptable pour les Etats-Unis. Ceci, couplé avec la volonté du Shah d'ajuster ses dépenses d'armement aux besoins du pays, et de se fournir chez les meilleurs fournisseurs et pas nécessairement aux Etats-Unis, a rendu le Shah un client inutile aux yeux de ces derniers. <br />L'introduction de l'industrie nucléaire iranienne en 1974 s'est faite, dans ces conditions de méfiance entre les Etats-Unis et l'Iran. Ce programme accéléré était un des piliers de l'industrialisation accélérée du pays : d'une part la nation prévoyait un équilibre énergétique optimal, et d'autre part la diminution de l'utilisation du pétrole pour l'énergie, permettait son utilisation à des fins de diversification. Le moment précis du lancement de cette industrie était choisi pour deux raisons : d'abord l'augmentation des prix pétrolières fournissait les revenus nécessaires pour des investissements de cette envergure. Deuxièmement, en tant que puissance hégémonique régionale, l'Iran ne pouvait pas ignorer le statut nucléaire d'Israël et de l'Inde. Même si le programme de l'Iran était de nature strictement commerciale (usage civil), il fournissait deux éléments indispensables pour l'Iran. D'une part l'industrie nucléaire pouvait servir dans l'immédiat de symbole. D'autre part, la capacité de recherche et les technologies à double usage pouvaient fournir à l'Iran une capacité de dissuasion nucléaire dans le futur si besoin était. La réponse des Etats-Unis au défi de l'Iran a été un mélange de deux mesures : au niveau international le contrôle des fournisseurs nucléaires a rendu difficile la souveraineté iranienne sur son cycle de combustion. Les manipulations américaines des taux de change du dollar a renversé les gains temporaires des pays producteurs et a de facto annulé le redressement des cours du pétrole. Ceci a imposé des contraintes importantes sur les pays comme l'Iran, qui s'étaient engagés dans des programmes industriels et des investissements lourds. <br />Notre thèse est que la divulgation en 2002, de la capacité d'enrichissement de l'Iran sert deux fonctions essentielles : installer une « dissuasion virtuelle » contre une invasion par les Etats-Unis, et rendre obsolètes les accusations des Etats-Unis sur l'utilité militaire des réacteurs civils de l'Iran. La position difficile des Etats-Unis en Irak, son désaccord avec les membres du Conseil de Sécurité, et son impopularité croissante dans les états du Golfe, ont rendu le moment de cette divulgation particulièrement bien choisi. Le programme de missile iranien est la deuxième composante de son système de dissuasion : la capacité d'enrichissement peut dissuader Etats-Unis de l'invasion, mais les missiles capables d'atteindre Tel-Aviv peuvent dissuader Israël de lancer une attaque nucléaire contre l'Iran. <br />Parmi les trois choix disponibles aux Etats-Unis face à cette situation—veto, acceptation du nucléaire civil, acceptation du cycle complet de combustion—nous avons émis l'hypothèse que les Etats-Unis choisiront la deuxième, i.e. le fonctionnement de la centrale civile. L'option du veto nécessiterait de la part des Etats-Unis une intervention militaire ou un sabotage, des pressions sur la Russie, ou l'incitation aux troubles internes et au changement de régime. L'acceptation du nucléaire civil peut être liée à des mesures supplémentaires de démocratisation en Iran, notamment par le biais de contrats de fourniture d'uranium enrichi. L'Europe et l'AIEA peuvent jouer un rôle important pour l'implémentation de celui-ci. <br />L'accélération du processus de démocratisation fournira plus de possibilités de coopération entre l'Iran et les Etats-Unis. Les intérêts communs des deux pays, gaz, pétrole et son passage libre garanti par la sécurité de la région fournissent des opportunités de coopération entre les deux nations. Cela doit d'abord passer par l'abandon d'une rhétorique hostile des deux côtés et la prise en considération des besoins légitimes de l'Iran en matière de sécurité. Des mesures à moyen et long terme nécessitent le renforcement du processus de démocratisation en Iran et peuvent aller, au delà de la coopération économique, jusqu'à la fourniture commune de sécurité dans le Golfe persique.
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Les velléités nucléaires nord-coréennes dans la ligne de mire des Etats-Unis : une explication décisionnelle des crises de 1994 et 2002

Lévesque, Étienne January 2007 (has links) (PDF)
La relation entre les États-Unis et la Corée du Nord depuis la fin de la guerre froide a été particulièrement mouvementée. Bien que les administrations Clinton et W. Bush soient souvent présentées comme étant différentes à plusieurs égards, leur politique étrangère envers la Corée du Nord comporte trois similitudes significatives qui portent à réflexion : (1) la production de matière fissile semble être la principale préoccupation des décideurs américains, (2) la Maison-Blanche privilégie l'option diplomatique pour résoudre ses nombreux litiges avec Pyongyang, (3) les États-Unis se montrent coopératifs lors des négociations avec la Corée du Nord et parviennent à conclure deux accords majeurs qui cherchent à apaiser les tensions dans la péninsule coréenne. L'objectif de notre mémoire sera d'expliquer ces trois similitudes de la politique étrangère des administrations Clinton et W. Bush à travers les crises nucléaires de 1994 et de 2002, deux épisodes emblématiques des rapports américano-nord-coréens entre 1993 et 2007. Afin d'orienter notre analyse, nous mettrons à contribution les pistes interprétatives offertes par les approches perceptuelles et organisationnelles. D'abord, nous verrons que la représentation des ambitions nucléaires nord-coréennes comme une menace à la sécurité nationale américaine par les décideurs des deux administrations est attribuable à leur vision stéréotypée du régime nord-coréen. Ensuite, il sera démontré que la volonté de compromis des États-Unis pour résoudre la crise par la diplomatie se trouve fortement influencée par les stratégies psychologiques de l'élite décisionnelle. Enfin, la capacité de réorganisation et d'adaptation du processus décisionnel agit de façon prépondérante sur l'attitude flexible et indulgente de la délégation américaine lors des négociations. Dans un premier temps, nous présenterons un historique détaillé des deux crises nucléaires afin de tracer l'évolution du litige et d'identifier les principaux acteurs impliqués. Dans un second temps, les facteurs perceptuel et organisationnel permettront d'expliquer les trois continuités du comportement américain portées à l'étude. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : États-Unis, Corée du Nord, Politique étrangère américaine, Crise nucléaire, Non-prolifération, Diplomatie, Perception de la menace, Processus décisionnel, Administration Clinton, Administration W. Bush, Kim II Sung, Kim Jong-il.
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La conquête scientifique du Nouveau-Mexique : héritage local du Projet Manhattan 1942-2015 / The scientific conquest of New Mexico : local legacies of the Manhattan Project 1942-2015

Genay, Lucie 18 September 2015 (has links)
Le 16 novembre 1942, dans le désert du Nouveau-Mexique, J. Robert Oppenheimer suggéra à son homologue militaire, le Général Leslie Groves, que la Los Alamos Ranch School d'Ashley Pond serait une localisation idéale pour l'établissement d'un laboratoire secret où continuer la recherche sur la conception et la construction de la bombe atomique. Cet événement scella le destin du Nouveau-Mexique, surnommé la « terre d'enchantement », qui se vit alors octroyé une nouvelle identité en tant que berceau de l'ère nucléaire. Le laboratoire de Los Alamos a déclenché la troisième colonisation de la région : une conquête scientifique financée par le gouvernement fédéral et entretenue par la course à l'armement avec l'Union Soviétique. Le long du Rio Grande, les installations nées à la suite du Projet Manhattan ont révolutionné l'ordre social, économique et démographique établi dans l'État tout en y produisant des bouleversements environnementaux et culturels. Et pourtant, soixante–dix ans plus tard, le Nouveau-Mexique demeurait l'un des cinq États les plus pauvres du pays malgré son Eldorado nucléaire. Cette thèse évalue l'ambivalence et les multiples facettes de l'héritage du Projet Manhattan au Nouveau-Mexique. En estimant la durabilité et la répartition des profits générés par l'industrie nucléaire en termes d'emplois, d'éducation et de niveau de vie, cette thèse interroge l'étendue réelle des gains perçus par les populations locales grâce à cette révolution vers le nucléaire et la haute technologie, ainsi que l'évolution des coûts socio-économiques et environnementaux qu'il a fallu et qu'il faudra encore payer pour la panacée nucléaire. Depuis l'arrivée des premiers pionniers atomiques à Los Alamos, les populations natives du Nouveau-Mexique (qu'il s'agisse des Indiens pueblos, des villageois hispaniques ou des ranchers anglos) ont dû s'adapter aux changements en dents de scie d'un nouvel ordre reposant sur des fonds fédéraux, eux–mêmes déterminés par la scène politique internationale et ils furent confrontés à une concurrence de plus en plus rude avec les nouveaux arrivants, c'est-à-dire les immigrés du nucléaire venant d'autres États. L'association du pouvoir militaire, du gouvernement et de l'omniprésente confidentialité a renforcé les mécanismes du complexe militaro-industriel et scientifique local, ce qui a maintenu la région dans son statut de colonie interne des États-Unis. Depuis les années 1980, une prise de conscience progressive de la société concernant les conséquences environnementales et sanitaires de la radioactivité a entraîné des réactions antinucléaires au Nouveau-Mexique. Dès lors, de nombreuses voix précédemment restées dans le silence se sont levées pour mettre en évidence une autre vision de l'héritage nucléaire dans l'État. Cette perspective locale des participants les plus modestes, les oubliés de l'avènement de l'ère nucléaire, manque de reconnaissance historique. Par conséquent, l'objectif de cette thèse est d'examiner la relation entre ces Nouveaux-Mexicains et l'industrie nucléaire locale. / On November 16, 1942, in the New Mexican desert, J. Robert Oppenheimer suggested to his military counterpart, General Leslie Groves, that Ashley Pond's Los Alamos Ranch School would be an ideal location for the establishment of a secret laboratory to pursue research on the design and construction of the atomic bomb. This event sealed the fate of New Mexico, dubbed the “Land of Enchantment,” which acquired a new identity as the cradle of the nuclear age. The Los Alamos Laboratory paved the way to a third colonization of the area; a scientific conquest funded by the Federal Government and maintained by the arms race with the Soviet Union. Along the Rio Grande, the derivative installations of the Manhattan Project revolutionized the social, economic, and demographic order in the state while introducing environmental and cultural disruptions. And yet, seventy years later, New Mexico was still among the five poorest states in the nation despite its nuclear Eldorado. This thesis assesses the double-edged quality and the multiple facets of the Manhattan Project's legacy in New Mexico. By evaluating the durability and distribution of the benefits entailed by the nuclear industry in terms of jobs, education, and standards of living, this dissertation focuses on the question of the extent to which local populations actually gained from this high-technology revolution, and of the environmental, socio-economic price, which has been and will have to be paid for the nuclear bonanza. Since the settlement of the first atomic pioneers in Los Alamos, the native populations of New Mexico—be they Indian Pueblo dwellers, Hispanic villagers, or Anglo ranchers—have had to adapt to the ups and downs of the new order based on a dependence on federal funds that were, in turn, determined by global politics, and to face an increasingly harsh competition with outsiders, i.e. nuclear immigrants to the state. A combination of military and government power with secrecy built up the mechanism of a local military-industrial and scientific complex, which maintained the region's status as an internal colony of the United States. Since the 1980s, growing public awareness of environmental and health consequences of radioactivity have prompted antinuclear reactions in New Mexico. Thereupon, many previously unheard voices have spoken up to shed a new light on the nuclear heritage in the state. This local perspective of the humblest, forgotten participants in the advent of the nuclear age lacks historical recognition; therefore, the purpose of this dissertation is to address the relations between New Mexicans and the local nuclear industry.

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