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Le rôle des parents dans les relations entre pairs au début de l'adolescence : une étude observationnelle

Nadeau, Karine 06 1900 (has links) (PDF)
La transition vers l'adolescence peut être associée pour certains jeunes à des difficultés dans les relations qu'ils entretiennent avec leurs pairs. Dans ce contexte, les parents peuvent représenter une source de soutien et d'aide potentiel. La présente thèse propose d'explorer deux stratégies que les parents peuvent utiliser: l'offre de conseils et l'intrusion. La majorité des études qui se sont intéressées à ces pratiques parentales l'ont fait de façon séparée. De plus, l'utilisation courante de questionnaires afin d'examiner les effets des pratiques parentales sur l'adaptation psychosociale des adolescents présente des limites importantes. Afin de parer à ces limites, une nouvelle mesure observationnelle est proposée dans le cadre de cette thèse. Une tâche de discussion parents-adolescent filmée est utilisée pour évaluer les conseils offerts par les parents et leur niveau d'intrusion. Le premier objectif de cette thèse vise à examiner la contribution unique des conseils offerts par les parents et de l'intrusion parentale sur le fonctionnement des jeunes dans le groupe de pairs au début de l'adolescence. Cet objectif sera examiné de façon concurrente et longitudinale sur une période de un an. Le second objectif s'intéresse à l'effet modérateur du sexe de l'adolescent sur le lien entre chacune des pratiques parentales et le fonctionnement du jeune. Cinq indicateurs du fonctionnement des jeunes dans le groupe de pairs sont considérés: la perception de compétence sociale, les comportements prosociaux, les comportements agressifs, la taille du réseau d'amis et les conflits vécus avec le meilleur ami. De plus, la révélation de soi de l'adolescent est utilisée comme variable contrôle dans les analyses. Quatre-vingt-treize élèves (46 filles; âge moyen = 12,9 ans) provenant de la grande région de Montréal forment l'échantillon de cette étude. Les variables parentales sont évaluées dans le cadre d'une tâche de discussion vidéo-filmée entre les parents et l'enfant qui se déroule à domicile. Une grille de codification macroscopique est appliquée. Les variables portant sur le fonctionnement des jeunes sont évaluées au même moment et de nouveau un an plus tard par des questionnaires complétés en classe par les adolescents et par leur enseignant-titulaire. Les résultats indiquent que, lorsque les parents offrent des conseils nombreux et de bonne qualité, leur adolescent rapporte vivre moins de conflits avec son meilleur ami et adopte davantage de comportements prosociaux avec l'ensemble de ses pairs. Aussi, les filles se perçoivent plus compétentes socialement lorsque leurs parents les guident dans la résolution de conflits avec leurs pairs. Par ailleurs, les pratiques parentales intrusives sont associées à une manifestation plus fréquente de comportements agressifs et moins fréquente de comportements prosociaux chez l'adolescent. De plus, les filles rapportent avoir moins d'amis dans leur réseau lorsque les parents utilisent une approche intrusive. L'impact de l'intrusion parentale demeure présent sur une période d'un an. En effet, elle est associée à une diminution des comportements prosociaux et de la taille du réseau d'amis des adolescents. Enfin, il est intéressant de noter que les parents offrent davantage de conseils lorsque leur adolescent divulgue beaucoup d'information concernant les problèmes vécus avec ses pairs. Par contre, les pratiques parentales intrusives sont davantage observées lorsque l'adolescent divulgue peu d'information. En conclusion, les effets des conseils offerts par les parents quant aux relations que l'adolescent entretient avec ses pairs de même que l'impact des pratiques parentales intrusives sont observables début de l'adolescence. L'effet remédiationel des conseils offerts par les parents proposé par certains auteurs n'a pu être confirmé avec certitude et doit être exploré davantage. Également, la pertinence de poursuivre l'investigation de l'impact de l'intrusion parentale dans les relations qu'entretient l'adolescent avec ses pairs a été démontrée dans cette thèse puisque cette pratique parentale est fortement associée au fonctionnement du jeune avec ses pairs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : adolescence, influence parentale, relation avec les pairs, adaptation sociale et comportementale
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Influence des caractéristiques parentales et de leurs perceptions par l'enfant sur le biais d'évaluation de sa compétence scolaire : un modèle explicatif

Dubois, Valérie January 2010 (has links) (PDF)
La perception de compétence scolaire est reconnue par plusieurs auteurs comme étant déterminante de la motivation et du rendement scolaires de l'élève (Bouffard, Marcoux, Bordeleau & Vezeau, 2003; Gottfried, 1990; Jacob, Lanzaz, Osgood, Eccles & Wigfield, 2002). Bien que la majorité des élèves en viennent à avoir une perception de compétence assez juste avec le temps, certains plus pessimistes s'évaluent à leur défaveur. À ce jour, peu d'études se sont intéressées à ce phénomène et encore moins ont tenté d'en expliquer les causes. La présente étude repose sur l'approche socio-cognitive de Bandura qui accorde aux parents un rôle important dans la construction des perceptions de compétence de leur enfant. Dans le but d'en venir à une meilleure compréhension du phénomène de la sous-évaluation de sa compétence présent chez certains élèves du primaire, différentes caractéristiques parentales ont été retenues; le sentiment d'auto-efficacité du parent, son jugement de la compétence de son enfant, sa conception de l'intelligence, les buts d'apprentissage qu'il valorise et son engagement dans la vie quotidienne et scolaire de son enfant. Un second postulat de la théorie socio-cognitive est le rôle actif que l'enfant joue dans la construction de sa perception de compétence. Ce rôle actif se traduit dans l'interprétation qu'il donne aux événements survenant dans son environnement, aux attitudes, actions et feedback dont il est la cible de la part des agents sociaux importants pour lui. Dans cet esprit, certaines variables ont été retenues chez l'enfant: les buts d'apprentissage perçus, le soutien conditionnel perçu et la perception de compétence qu'il croit que ses parents lui attribuent (réfléchie). L'objectif général de cette étude est de vérifier la validité d'un modèle explicatif des déterminants parentaux et des perceptions qu'en a l'enfant dans le biais d'évaluation de compétence de ce dernier. L'échantillon est constitué de 565 dyades parent-enfant. Le devis de recherche est de type corrélationnel et transversal. Plus précisément, l'échantillon regroupe 278 enfants de 4ème année (133 garçons et 145 filles) et 287 enfants de 5ème année (132 garçons et 155 filles) recrutés dans 17 écoles de la Commission Scolaire de la Rive-Sud de Montréal. Découlant du modèle de socialisation d'Eccles et ses collègues (1998) et de la recension de la littérature, l'étude poursuit deux objectifs spécifiques. Le premier objectif vise à vérifier la valence des liens directs entre les variables retenues chez les enfants et les parents. Ainsi, 22 liens directs ont été postulés. Le deuxième objectif est de vérifier, à l'aide de la méthode acheminatoire de Cohen et Cohen (1983), les liens directs et indirects entre les variables mesurées chez les parents et chez les enfants d'une part, et le biais d'évaluation de compétence de l'enfant d'autre part. Ce dernier objectif, nous amène à proposer un modèle explicatif du biais d'évaluation de compétence. Concernant le premier objectif, les analyses descriptives montrent, à l'instar d'autres études (Marcotte, 2006; Phillips, 1984, 1987), une absence de différences de genre dans le biais d'évaluation de compétence. Toujours relativement aux variables mesurées chez les enfants, peu de différences sont observées entre les filles et les garçons, à l'exception de la perception de compétence réfléchie en français qui est plus élevée chez les filles que chez les garçons. Chez les variables mesurées chez les parents, quelques différences sont observées. Les mères adhèrent davantage à une conception dynamique de l'intelligence et sont plus engagées dans la vie scolaire de leur enfant que les pères. Par ailleurs, ces derniers valorisent davantage un but de performance que les mères. Concernant les liens postulés entre les variables à l'étude dans notre modèle, nos résultats montrent que, sauf rares exceptions, la valence des relations directes modèle est généralement confirmée. Concernant le deuxième objectif, les résultats montrent différentes trajectoires directes et indirectes entre les différentes variables mesurées tant chez le parent que chez l'enfant. Un constat marquant ressort relativement à l'importance des perceptions de l'enfant de ce que son parent pense de lui qui sont fortement liées entre elles et le sont aussi avec son biais d'évaluation de compétence. Le modèle explicatif du biais d'évaluation de compétence découlant de la présente étude prend ses racines du modèle de socialisation d'Eccles, Wigfield et Schiefele (1998) où plusieurs variables parentales sont liées à des variables motivationnelles de l'enfant. Tout comme ce dernier modèle, les résultats obtenus dans la présente étude font ressortir des relations entre certaines croyances parentales, les attentes de réussite entretenues par le parent et les variables de perceptions que l'enfant a de ce que son parent pense de lui. En effet, le sentiment d'efficacité du parent est lié indirectement au biais via la perception de l'enfant du caractère conditionnel du soutien des parents. Pour sa part, le jugement du parent de la compétence de son enfant est lié tant directement qu'indirectement au biais d'évaluation de compétence. À titre d'exemple, les liens indirects l'unissant au biais passent par le but de performance valorisé par le parent qui à son tour est lié au but de performance perçu par l'enfant et au soutien jugé conditionnel. En ce qui a trait aux variables de perceptions de l'enfant, notons que le soutien conditionnel est la variable la plus fortement liée au biais. De façon générale, il est clair que les variables interprétatives insérées dans le modèle se sont avérées cruciales dans la compréhension du biais d'évaluation de compétence de l'enfant et expliquent une grande partie de la variance de ce dernier. Au vu des résultats de cette étude, on observe que les perceptions de l'enfant de ce que son parent pense de lui et certaines caractéristiques propres aux parents affectent négativement la façon dont l'enfant s'évalue. Cette évaluation négative de sa compétence est reconnue pour avoir des conséquences nocives importantes sur le fonctionnement et l'adaptation scolaire de l'enfant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Biais d'évaluation de sa compétence, Illusion d'incompétence, Sentiment d'auto-efficacité parental, Jugement parental de la compétence de l'enfant, Conception de l'intelligence du parent, Soutien conditionnel perçu, Buts d'apprentissage valorisés et perçus, l'engagement parental dans la vie quotidienne et scolaire.
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Les contributions parentales à la compréhension des émotions des enfants en début de scolarisation

Emard, Marie-Josée 11 1900 (has links) (PDF)
Le développement des compétences émotionnelles des enfants (l'expression, la régulation et la compréhension des émotions) est influencé par différentes sources, dont les parents. Ces derniers sont considérés comme les agents de socialisation primaires (Denham, 1998). Trois composantes sous-tendent la socialisation des émotions : 1) le modelage, qui se rapporte à l'expression des émotions des parents; 2) les réactions des parents face aux émotions exprimées par leur enfant; et 3) l'accompagnement ou le guidage de l'enfant par ses parents dans l'univers des émotions. Chacune des composantes se répartit en deux pôles dont un est considéré plus favorable et un second moins favorable au développement des compétences émotionnelles des enfants (Eisenberg, 1998 ; Halberstadt, 1991). Cette thèse met l'accent sur les pratiques parentales de socialisation des émotions et sur la compréhension des émotions des jeunes enfants. Le premier objectif est de préciser les relations entre les différentes mesures parentales de socialisation des émotions (c.-à-d. le modelage, les réactions et l'accompagnement). Le second objectif est de documenter les différences et les similitudes entre les mères et les pères en regard de leurs pratiques de socialisation des émotions. Le troisième objectif est de mieux connaitre les contributions des pratiques parentales de socialisation des émotions à la compréhension des émotions des enfants. Enfin, les effets du sexe de l'enfant sur les variables à l'étude sont examinés. L'échantillon se compose de 88 familles (mères et pères) et de leur enfant en début de scolarisation (5 à 7 ans). Les participants ont été recrutés dans six écoles primaires de la région de Gatineau, en Outaouais. Les parents ont rempli séparément cinq questionnaires auto-rapportés. Les enfants ont participé à deux sessions d'évaluation en vue de mesurer leur niveau de compréhension des émotions et leurs habiletés langagières. Les résultats suggèrent un patron de réponses cohérent parmi les pratiques de socialisation des émotions des mères et des pères. Ces derniers tendent à privilégier une expression positive des émotions, des réactions positives face aux émotions exprimées par leur enfant et un accompagnement positif plutôt qu'une approche plus négative. Pour toutes les mesures recueillies, le score des pôles positifs est supérieur au score des pôles négatifs. Les analyses de comparaison révèlent ensuite certaines différences et similitudes entre les mères et les pères quant à leurs pratiques de socialisation des émotions. De fait, les parents présentent des scores similaires en ce qui concerne leur expression d'émotions négatives (modelage négatif) et le soutien positif qu'ils confèrent à leur enfant dans le monde des émotions (accompagnement positif). Par ailleurs, les deux parents se distinguent au plan du modelage positif : la fréquence à laquelle les mères rapportent exprimer des émotions positives est supérieure à celle rapportée par les pères. De façon analogue, les mères semblent plus enclines à adopter des réactions positives face à l'expression des émotions de leur enfant que les pères. En revanche, les pères rapportent recourir davantage à des réactions négatives face à l'expression des émotions de leur enfant, tout comme ils témoignent de plus d'accompagnement négatif que les mères. Le sexe de l'enfant n'a pas été associé à des effets significatifs dans les présentes analyses. C'est dire que les mères et les pères se ressemblent à certains égards dans leurs pratiques de socialisation des émotions et se distinguent à d'autres égards, et ce, indépendamment du sexe de leur enfant. Le dernier groupe d'analyses implique la compréhension des émotions des enfants. D'abord, nos résultats soutiennent une amélioration progressive du niveau de compréhension des émotions des enfants en fonction de leur âge : les enfants plus âgés obtiennent des scores supérieurs que les plus jeunes. Similairement, les enfants dont les habiletés langagières sont plus développées affichent aussi un niveau de compréhension des émotions plus élevé. Du reste, il n'y a pas de différence attribuable au sexe de l'enfant : les filles et les garçons présentent un niveau de compréhension des émotions comparable. Quant aux contributions des parents à la compréhension des émotions des enfants, les analyses suggèrent que les réactions négatives et l'accompagnement négatif des mères prédisent conjointement un moins bon niveau de compréhension des émotions chez les filles, alors que leur accompagnement négatif prédit un meilleur niveau de compréhension des émotions chez les garçons. En ce qui a trait aux pères, il appert que leur influence est plus manifeste auprès des filles. Plus précisément, les réactions positives des pères et leur accompagnement positif prédisent conjointement un meilleur niveau de compréhension des émotions chez les mères. La discussion met en relief l'apport de la présente recherche à l'avancement des connaissances en regard de la socialisation des émotions par les parents et de leurs contributions à la compréhension des émotions des enfants en début de scolarisation. En outre, l'importance d'intégrer les pères dans les études poursuivies dans ce champ de recherche est soulignée. Au final, les implications de cette thèse sont mises en évidence, notamment à la lumière des antres relations et milieux de vie de l'enfant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Compréhension des émotions, Jeunes enfants, Parents, Socialisation des émotions.
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Les indices de honte et de fierté chez l'enfant d'âge préscolaire : influence du niveau de difficulté de la tâche, du résultat obtenu et de l'évaluation parentale /

Duhamel, Claudie, January 2005 (has links)
Thèse (D. en psychologie)--Université du Québec à Montréal, 2005. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [111]-120. Publié aussi en version électronique.

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