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Évaluation du Bevacizumab par voie intra-péritonéale en association à une chirurgie de cytoréduction dans le traitement des carcinoses péritonéales d'origine non gynécologique / Evaluation of bevacizumab intraperitoneally in combination with cytoreductive surgery in the treatment of peritoneal carcinomatosis from non gynecologic origin

Passot, Guillaume 09 December 2014 (has links)
Grâce au progrès de la chimiothérapie systémique, la prise en charge de la carcinose péritonéale a connu une révolution avec le développement de la chirurgie de cytoréduction. L'association d'une chirurgie de cytoréduction à une chimiothérapie systémique et intra-péritonéale a permis de proposer à certains patients sélectionnés un traitement à visée curative et représente le traitement de référence pour la plupart des carcinoses d'origine non gynécologique. Toutes les carcinoses et tous les patients sont différents, c'est pourquoi de nombreux travaux ont permis de préciser les facteurs permettant la sélection des patients pouvant bénéficier d'un tel traitement. Le principal facteur pour proposer un traitement curatif d'une carcinose péritonéale est la possibilité de réaliser une résection complète. Malgré ces progrès dans le traitement et la sélection des patients, les résultats restent insuffisants et trop peu de patients présentent une maladie résécable accessible à un traitement curatif. L'apparition des biothérapies et notamment les anti-VEGF offre une nouvelle voie de recherche. Le bevacizumab, anticorps anti-VEGF, a montré une efficacité significative dans le traitement des maladies métastatiques. Il augmente l'efficacité du traitement par chimiothérapie systémique. Le VEGF semble également présenter un rôle important dans le développement et l'agressivité des carcinoses péritonéales. Pour permettre d'augmenter l'efficacité du traitement curatif des carcinoses péritonéales, se discute d'associer du bevacizumab. Cependant, administré par voie systémique il peut majorer la morbidité faisant contre-indiquer son association avec une chirurgie abdominale lourde déjà grevée d'une morbidité importante. L'hypothèse qui a justifié ce travail est que l'administration intra-péritonéale de bevacizumab pourrait augmenter la résécablité et la survie des patients atteints par une carcinose péritonéale d'origine non gynécologique en limitant la morbidité. Le but de ce travail est au travers d'études cliniques et expérimentales d'évaluer la faisabilité et l'efficacité d'un traitement par bevacizumab intra-péritonéale en association au traitement chirurgical de référence pour la prise en charge des CP d'origine non gynécologique / Advances in systemic chemotherapy permitted revolution in the management of peritoneal carcinomatosis with the development of cytoreductive surgery. The combination of cytoreductive surgery with systemic and intraperitoneal chemotherapy offer to selected patients a hope of cure and is considered as the treatment of choice for most carcinomatosis of non-gynecological origin. All carcinomatosis and all patients are different and numerous studies tried to determine factors for selecting patients eligible for such treatment. The mains prognostic factor for curative treatment is the ability to perform a complete cytoreduction. Despite these advances in the treatment and selection of patients, the results are still insufficient and few patients have resectable disease accessible to a cure. The development of biotherapies including anti -VEGF provides a new way of research. Bevacizumab, anti - VEGF antibody, showed significant efficacy in the treatment of metastatic diseases. It increases the efficiency of treatment by systemic chemotherapy. VEGF appears to have an important role in the development and aggressiveness of peritoneal carcinomatosis. To increase the effectiveness of curative treatment of peritoneal carcinomatosis, the combination of bevacizumab to the current standard treatment can be proposed. The bevacizumab administered intravenously may increase morbidity prohibiting its association with major abdominal surgery already burdened with significant morbidity. The hypothesis of this work is that the intraperitoneal administration of bevacizumab may increase resectability and survival of patients with peritoneal carcinomatosis of non- gynecologic origin and limit the morbidity. The aim is through clinical and experimental studies to evaluate the feasibility and the efficacy of treatment with intraperitoneal bevacizumab in combination with standard surgical treatment of peritoneal surface malignancy
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Vers une méthodologie intégrée pour la supervision en temps-réel et l'optimisation in vivo des Chimio-Hyperthermies Intra-Péritonéales (CHIP)

Ladhari, Taoufik 16 January 2007 (has links) (PDF)
La Chimio-Hyperthermie Intra-péritonéale (CHIP) s'est révélée comme un traitement efficace et nécessaire pour les cancers d'origine digestive. La combinaison du vecteur hyperthermie et chimiothérapie a prouvé ses résultats cytotoxiques indéniables pour les cellules cancéreuses. Cependant l'application de cette technique à ventre fermé ne garantit pas une homogénéité de la température désirée dans l'ensemble de la cavité abdominale. L'étude développée se focalise essentiellement sur la modélisation de certains aspects de la CHIP et propose une ouverture sur le développement d'une méthodologie de supervision en temps réel et in vivo. Les acquisitions des mesures in vivo s'effectuent à l'aide d'un appareil homologué ; dédié aux CHIP : le CAVITHERM (Société EFS). La modélisation du transfert de chaleur entre le liquide porteur de la chimiothérapie et les différents organes du patient a été abordée. Un modèle adaptatif non-linéaire nonstationnaire reconstituant le procédé dans la cavité abdominale est présenté ainsi que sa validation à l'aide de données réelles ; acquises in vivo au cours de plusieurs CHIP réalisées au sein des Centres hospitaliers partenaires du projet de recherche : CH Lyon-Sud (CHLS) ; CHU Bellevue (Saint-Etienne). Un prototype d'outil informatique " SUP-CHIP " est proposé en vue d'une supervision en emps-réel globale de la CHIP. Cet outil permet aux médecins et aux anesthésistes d'avoir une information globale en temps-réel sur l'évolution de l'état du patient au cours d'une CHIP. Le développement d'algorithmes de commande sur la base du modèle adaptatif de la CHIP et leur intégration dans le cadre d'un système intégré à base de connaissances " SUP-CHIP " fournira un moyen efficace pour la conduite optimale des CHIP in vivo.
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Approches thérapeutiques de la carcinose péritonéale d’origine appendiculaire récidivante

Gaudreau, Annie 11 1900 (has links)
Objectif: Le traitement de la carcinose péritonéale (CP) d’origine appendiculaire récidivante demeure sous-étudié. L’objectif est d’évaluer le traitement à offrir aux patients présentant une récidive de la maladie. Méthodologie: Depuis 2003, les données de tous les patients avec CP d’origine appendiculaire traités dans notre centre ont été recueillies. Le traitement de la maladie primaire consistait en une cytoréduction chirurgicale complète de la CP suivie d’une chimiothérapie hyperthermique intra-péritoneale (CHIP) à l’oxaliplatine. Lors d’une récidive, une deuxième cytoréduction avec une CHIP à la mitomycine C était offerte aux patients rencontrant certains critères de sélection. Résultats: Un total de 58 patients ont subi une cytoréduction complète suivie d’une CHIP avec l’oxaliplatine. Durant la période de suivi, 22 patients démontrèrent une maladie récidivante (39%). Le péritoine était le site de récidive le plus fréquent. Les survies sans maladie étaient statistiquement différentes selon le grade histopathologique et le degré de complétude de la cytoréduction. Parmi ces 22 patients, huit patients ont reçu une deuxième cytoréduction suivie d’une CHIP à la mitomycine C, un patient a subi une cytoréduction complète seule et 13 patients avaient une maladie non résécable. La survie globale moyenne des patients ayant reçu un deuxième traitement fut de 28 mois. Les taux de morbidité et de mortalité suite à une deuxième cytoréduction suivie d’une CHIP furent de 25% et 0%, respectivement. Conclusion: Une cytoréduction suivie d’une CHIP demeure une intervention possible chez les patients qui présentent une maladie récidivante, mais certains critères doivent être appliqués afin de maximiser la survie et minimiser la morbidité et la mortalité de cette approche. / Background: Additional treatment in patients presenting recurrent peritoneal carcinomatosis (PC) has been much overlooked in the literature. The aim of this study is to assess the effects of additional treatment in patients with recurrent disease despite a first CRS with HIPEC. Methods: Since 2003, data from all patients with PC arising from the appendix treated in our center were prospectively collected. Treatment of primary disease consisted in CRS followed by hyperthermic intraperitoneal chemotherapy (HIPEC) with oxaliplatin. When recurrent disease occurred, second CRS followed by HIPEC with mitomycin C were offered to patients meeting some selection criteria. Results: A total of 58 patients underwent CRS followed by HIPEC with oxaliplatin. During follow-up, 22 patients developed recurrent disease (39%). Peritoneum was the most common site of treatment failure. In the entire series, histologic grades and completeness of CRS were significant independent predictors of disease-free survival. Among patients with recurrent disease (n=22), eight patients underwent second CRS followed by HIPEC with mitomycin C, one patient received a CRS alone, and thirteen patients had unresectable disease. Mean overall survival for patients who received a second treatment (n=8) was 28 months. Morbidity and mortality rates following second CRS and HIPEC were 25% and 0%, respectively. Conclusions: CRS followed by HIPEC remains a possible intervention in patients with recurrent disease, but some selection criteria should be applied in order to maximise survival and minimise morbidity and mortality of this approach.

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