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Vers une meilleure gestion des défis interculturels dans les implantations chinoises à l'étranger /

Vanelslande, Eve. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (de maîtrise)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 96-105. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Économie politique des investissements directs chinois en Afrique subsaharienne

Lankoandé, Youmani Jérôme 16 April 2018 (has links)
La République Populaire de Chine, appelée communément Chine, connaît la plus grande croissance économique soutenue des pays en développement (PED) de la dernière décennie. Alors que la plupart des PED peinent à trouver le chemin de la croissance, le modèle de développement économique de la Chine fait de plus en plus des envieux en Afrique. Fort de cette réussite, la Chine se positionne désormais comme un partenaire et un investisseur de premier plan pour les pays africains. La croissance des investissements chinois en Afrique plus que d'actualité est au centre de la politique et de l'économique internationale. L'objectif de ce mémoire est d'expliquer la croissance des investissements directs chinois en Afrique subsaharienne et d'identifier les déterminants économiques et politiques qui influencent les choix de destination de ces investissements. Il sera établi que pour soutenir la croissance économique chinoise, les investissements directs des sociétés d'État chinois sont orientés vers les pays à fortes potentialités en ressources naturelles. En outre, les résultats suggèrent que durant la période de 2003 à 2007, la taille du marché, la stabilité macroéconomique et politique, et la corruption n'ont pas d'influence sur la localisation des IDE chinois dans les pays d'Afrique subsaharienne. Les résultats révèlent enfin que, plus un pays de cette région est ouvert au commerce international, moins les sociétés chinoises s'orientent vers ce pays. Finalement, nos résultats nous laissent croire que l'approche chinoise des IDE sortants défie l'approche traditionnelle qui met de l'avant la stabilité politique et économique des pays récipiendaires, pour affirmer le besoin de changement de paradigme dans ce domaine.
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Vers une meilleure gestion des défis interculturels dans les implantations chinoises à l'étranger

Vanelslande, Eve 13 April 2018 (has links)
Suite à l'émergence fulgurante de la Chine depuis 1978, le pays suscite l'intérêt des pays du monde entier. Après avoir accueilli de nombreux investissements étrangers, la plupart provenant des pays occidentaux, c'est au tour de la Chine de déployer ses ailes à l'étranger et d'investir outre-mer. Voulant bénéficier de ce nouveau tournant, le Québec souhaite jouir de ces investissements au sein de son économie. Cependant, les processus d'affaires peuvent s'avérer être complexes et difficiles tant la culture de chacune des parties prenantes diffère. Les résultats principaux révélés suite à l'enquête mettent en lumière les cibles d'amélioration, lesquelles sont regroupées sous le modèle des « 6C » : le Comportement, la Communication, la Coopération, la Connaissance de l'étranger, la Confiance et le Contrôle. Afin de relever le défi de la gestion interculturelle des implantations chinoises à l'étranger, les entreprises doivent accorder une importance toute particulière à ces six points dans le cadre du modèle de gestion de l'entreprise, c'est-à-dire aux niveaux de la planification, de l'organisation, de la direction et du contrôle.
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Investissements chinois et fragmentation urbaine à Sihanoukville au Cambodge

Laillé, Robin 12 1900 (has links)
Dans un contexte de déploiement des nouvelles routes de la soie, la ville portuaire et balnéaire de Sihanoukville au Cambodge est ciblée par des investissements chinois importants. Ces investissements s’accompagnent par la présence de multiples acteurs chinois – investisseurs, commerçants, ouvriers, touristes – qui produisent un nouvel urbain à Sihanoukville. Ainsi, de nombreux casinos se développent aux côtés de zones économiques spéciales, d’hôtels, de quartiers fermés et de commerces variés. La ville portuaire apparaît comme un front pionnier où les ressources touristiques, commerciales, industrielles et stratégiques doivent être exploitées et où les acteurs chinois jouissent d’une marge de manoeuvre conséquente. Ceci est possible car les élites cambodgiennes, autorités et propriétaires terriens en tête, mettent en place un cadre économique et politique favorable pour attirer les investissements chinois et ainsi profiter du développement de la ville. La nouvelle production urbaine de Sihanoukville limite l’accès aux ressources à certaines populations, ce qui mène à des dynamiques de fragmentation urbaine. Par-delà l’idée d’une opposition entre riches investisseurs chinois et habitants cambodgiens défavorisés, la récente production urbaine de Sihanoukville met plutôt en lumière des clivages entre ceux qui ont accès aux ressources et ceux qui n’y ont pas accès. Loin de l’image officielle mise de l’avant par Pékin concernant les nouvelles routes de la soie, la présence chinoise à Sihanoukville conduit à une production urbaine fragmentée. / In a context of deployment of the Belt and Road Initiative (BRI), the coastal city of Sihanoukville, Cambodia, is targeted by massive Chinese investments. Those investments come with the arrival of many Chinese stakeholders – investors, sellers, workers, tourists – who produce a new urbanization in Sihanoukville. Many casinos are being developed in the city, alongside special economic zones, hotels, gated communities, and various other businesses. The city seems to be a frontier where touristic, commercial, industrial, and strategic resources must be exploited, and where the Chinese stakeholders enjoy a certain autonomy. Based on neoliberal logics, Cambodian elites, authorities, and landowners above all, build a favorable economic and political environment to attract Chinese investments and take advantage of the situation. The new urbanization produced in Sihanoukville limits the access to the resources to certain populations, which leads to urban fragmentation. Beyond the idea of an opposition between rich Chinese investors and disadvantaged Cambodian inhabitants, the new Sihanoukville highlights divisions between those who have access to the resources and those who have not. Far from BRI’s official image putting forward by Beijing, the Chinese presence in Sihanoukville comes with a fragmented urban production.
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Étude des investissements directs étrangers sud-africains et chinois en Afrique : les préférences politiques et les implications idéologiques

Gaudreault, Francis 19 April 2018 (has links)
L'exemple de réussite économique des pays émergents fait de plus en plus d'envieux en Afrique. La croissance des investissements des pays émergents en Afrique est maintenant au centre de la politique économique internationale et deux pays sont grandement actifs en Afrique : l'Afrique du Sud et la Chine. L'objectif de ce mémoire est d'expliquer l'action politique et économique sud-africaine et chinoise en Afrique et d'identifier les déterminants politiques qui influencent les choix de destination de ces investissements. Les résultats révèlent que les investissements directs étrangers des corporations multinationales sud-africaines et chinoises en Afrique subsaharienne sont dirigés de préférence vers les pays ayant un régime politique autocratique en 2009 et 2010. Les résultats révèlent également que l'Afrique du Sud et la Chine ne prennent pas en considération lors de leurs investissements en Afrique subsaharienne le respect des droits humains. Finalement, nos résultats nous laissent croire que les deux pays émergents à l'étude, la Chine et l'Afrique du Sud, défient l'approche traditionnelle qui met habituellement de l'avant la bonne gouvernance démocratique et le respect des droits humains lors du choix des pays récipiendaires. L'action de ces deux pays émergents semble ainsi montrer un changement de paradigme à propos du développement économique.
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La recherche d'un équilibre entre l'investisseur chinois et l'Etat africain d'accueil de l'investissement / The mitigation of risks by both the Chinese investor and the African host state

Sodalo, Rosalie 19 December 2013 (has links)
La présence chinoise en Afrique est généralement présentée par les médias occidentaux sous un angle défavorable. Les Chinois porteraient atteinte à la bonne gouvernance locale, ils ne respecteraient pas les droit africains du travail ou ne transféreraient pas suffisamment leur technologie. La thèse confirme l'existence de ces risques en démontrant notamment le manque de transparence des investissements directs chinois et les difficultés de l'Afrique subsaharienne à protéger ses intérêts. Mais à travers l'analyse du système juridique sud-africain et camerounais, l'auteur prouve que les risques que peuvent présenter les investissements chinois pour les Africains diffèrent d'un pays à l'autre, en fonction du droit local des affaires. La démonstration soulève par ailleurs un point peu traité des relations Chine-Afrique : les investissements directs chinois à destination du continent noir nécessitent, plus que ceux des Occidentaux, d'être sécurisés. L'auteur y voit deux raisons. Premièrement, la coopération juridique et judiciaire sino-africaine, par rapport à celle qui existe entre l'Occident et l'Afrique, est limitée. Deuxièmement, les investissements chinois en Afrique soulèvent des problèmes de droit international privé inédits. Entre autres, la détermination de la loi applicable peut être difficile en cas de litige opposant un investisseur chinois à son cocontractant africain. Face à cette situation de risques partagés entre l'investisseur chinois et l’État africain hôte de l'investissement, l'auteur souligne les limites du droit international et des traités bilatéraux d'investissement sino-africains tout en proposant des solutions pour équilibrer les contrats. / Western media typically portrays Chinese presence in Africa unfavorably. Chinese are accused of impairing good governance, breaching local labour laws, and impeding the transfer of technologies. This PhD thesis examines these risks; including the Jack of transparency on the part of Chinese investors and the difficulties faced by African states in protecting their interests. Analysis of South African and Cameroonian legal systems shows that the degree of risk facing African countries depends greatly on local business laws. In addition, the thesis makes a point seldom raised in debates about China-Africa relations: Chinese direct investments need, more than western countries, to be secured. According to the author, this is for two reasons. Firstly, Sino-African legal and judiciary cooperation, compared to existing relationships between the West and Africa, is limited. Secondly, Chinese investments into Africa present unanticipated problems with private international law. Among others, determining applicable laws can be problematic in the event of a conflict between a Chinese investor and his African partner. In situations where risks are shared by both the Chinese investor and the African host state, the author addresses the limits of international investment law, as well as the failings of Sino-African bilateral investment treaties, and proposes solutions to balance the scales and mitigate risks.

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