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The poetics of Etienne Jodelle theory, structure, and style.Crouse, Gale K. January 1974 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1974. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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Le Cothurne d'Alecton : la fureur dans la tragédie française (1553-1653) / Alecto’s Cothurnus : fury in French Tragedy (1553-1653)Sprogis, Frédéric 23 May 2019 (has links)
À partir du geste de Jodelle, qui fait de sa Cléopâtre une furieuse en 1553, la tragédie des XVIe et XVIIe siècles n’a eu de cesse de reprendre le motif de la fureur qui engage tout l’ethos des personnages dans un risque de destruction intime, de dérèglement intérieur, d’emportement passionnel. Cette thèse se propose de questionner l’intérêt que les dramaturges tragiques ont trouvé à la fureur pour la conserver malgré toutes les évolutions et les transformations du genre, de la Cléopâtre captive jusqu’en 1653, date de l’échec de Pertharite. La fureur, au cœur de l’écriture tragique plutôt que de sa théorie, nous permet d’envisager une forme d’unité de ces cent ans de tragédies dans la pratique même du genre. Le travail constant du motif furieux par les auteurs éclaire ainsi la manière dont ils envisagent la représentation des passions exacerbées de la Renaissance jusqu’à la tragédie galante. Nous explorerons d’abord le cœur de l’élaboration complexe du motif, hérité de l’Antiquité mais recréé par l’écriture dramatique. Nous pourrons montrer, ensuite, que la fureur permet de relire notre large corpus pour faire émerger de nouvelles influences dramatiques et comprendre comment chacun des auteurs intègre le motif à son écriture spécifique – ou, au contraire, le refuse. Dès lors, il sera possible d’analyser les enjeux théoriques de la fureur tragique dont le contenu « vide » permet d’engager librement des questionnements esthétiques, éthiques et politiques. Enfin, c’est à la représentation problématique de la fureur que nous nous attacherons : la dimension spectaculaire du motif, dès ses origines, impose d’interroger ses modes d’expression. Comment les auteurs, puis les comédiens, parviennent-ils à faire entendre et faire voir au public la déraison incontrôlable grâce à l’écriture poétique et scénique ? / After Jodelle’s 1533 initial play, in which he made his Cleopatra a furious character, the Tragedy genre throughout the 16e and 17e centuries never stopped questioning the motif of Fury, a force which profoundly undermined the characters’ ethos, jeopardized as they were by the threat of personal destruction, innermost disorders, and outbursts of passion. My thesis endeavour to elucidate the reasons why Tragedy’s playwrights probed so enduringly into Fury, which persisted as a motif, irrespective of all the metamorphoses of the genre, from Jodelle’s ‘Cléopâtre captive’ until the fiasco of ‘Pertharite’ in 1653. Although Fury appeared peripheral to the theory of Tragedy, it was central to its writing. Thus, from the standpoint of the material, it provides a form of unity in over a century of varied production. Subsequently, the perpetual reworking of the motif of Rage by these authors sheds light on the manner in which they envisioned the representation of extreme passions, from the Renaissance to the tragédie galante. First of all, the complex elaboration of the motif is investigated, exploring how Antiquity’s legacy was being reinvented by dramatic writing. Then, through the prism of Fury, the large corpus of plays under scrutiny is given fresh insight, revealing new dramatic influences and how the motif was espoused by the authors and interwoven with their personal style – or rejected. After that, owing to the fact that Fury was devoid of any clear theoretical and moral contents, it is detailed how it became a field where authors could engage freely in aesthetical, ethical and political discussions. Eventually, the problematic rendition of Fury on stage is investigated: from the outset, the spectacular quality of the motif begs the question of its various modes of representation. By means of poetic and scenic writing, how did the authors and then the comedians appeal to the audience and bring this uncontrollable madness to life?
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