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Rome et le Royaume d'Arménie : interactions politiques, militaires et culturelles (65 av. - 224 ap. J.-C.) / Rome and the Kingdom of Armenia : political, military and cultural interactions (65 BC - AD 224)

Kéfélian, Anahide 06 March 2017 (has links)
Pendant près de cinq siècles, Rome ne cessa de tenter de maintenir sous influence l'Arménie face aux ambitions parthes puis sassanides, en raison de la position stratégique de ce royaume. Cette thèse se concentre sur les relations entretenues par Rome depuis la deditio de Tigrane II en 65 av. J.-C., et jusqu'en 224 ap. J.‑C., date de l'arrivée des Sassanides. Généralement, les études de ces relations ne se limitent qu'à donner la vision événementielle de la question. Cette thèse remet en contexte les relations diplomatiques entre Rome et l'Arménie ainsi que les interactions qui en découlent en prenant en considération d'autres sources jusqu'alors peu étudiées. Dans ce but, une analyse thématique, divisée en trois parties, a été réalisée. La première partie analyse la représentation de l’Arménie transmise par Rome par l’étude de son image monétaire et sa représentation dans la sculpture. La seconde remet en contexte les relations diplomatiques, vues précédemment à travers le prisme idéologique des monnaies, pour comprendre les tactiques romaines visant à intégrer et maintenir le royaume d'Arménie dans la sphère romaine. Enfin, la troisième partie se concentre sur la présence romaine dans le royaume d'Arménie en étudiant la répartition des troupes romaines et les interactions culturelles et linguistiques qui en découlent. / For almost five centuries, the Roman Empire tried to keep Armenia under its influence against the ambitions of the Parthians and Sassanians, due to the strategical location of this kingdom. This thesis reviews the relationship of the Roman Empire with Armenia from the deditio of Tigrane II in 65 BC until the arrival of Sassanians in AD 224. Typically, such studies are only based on factual events. In this thesis however, the diplomatic relationship between Rome and Armenia and the resulting interactions are put into context by also taking into account other sources, which have rarely been studied until now. Therefore, a thematic analysis was performed, which is divided in three parts. The first part deals with the depiction of the Armenian Kingdom that Rome conveyed by analysing its monetary iconography and its representation in the sculptures. The diplomatic relationships, beforehand seen through the ideological prism conveyed by the coins, are put into context in the second part. This allows to understand the tactics used to integrate and keep the Armenian Kingdom in the Roman sphere of influence. The third and last part concentrates on the Roman presence in the Armenian Kingdom by studying the distribution of Roman troops and the resulting cultural and linguistic interactions.
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Recherches sur la politique orientale de l’empire romain tardif : Rome, le royaume de Grande Armenie et l’Iran Sassanide dans la seconde moitie du IVeme siecle ap. J.-C. / Researches about the Later Roman Empire policy : Roma, the kingdom of Great Armenia and Sasanid Iran in the second half of the IVth century

Aune, François 19 May 2012 (has links)
A une date mal fixée au cours des années 380, mais généralement placée en 387, l’empereur Théodose, princeps depuis 379, abandonne officiellement les quatre cinquième de l’Arménie aux Perses sassanides. C’est un acte sans précédent : depuis plus de quatre siècles, la plupart de ses prédécesseurs avaient tout mis en œuvre pour maintenir le royaume caucasien dans la sphère d’influence romaine ou, à défaut, neutre face à un Etat iranien menaçant ou jugé comme tel. Dorénavant, la présence de l’Empire y est limitée à une bande de terre étroite située le long de ses frontières orientales et qui s’étend, du nord au sud, de l’extrémité orientale du Pont (Pontus en anglais) à la pointe septentrionale de la Syrie. Le cœur du pays et ses régions les plus importantes d’un point de vue historique et stratégique sont aux mains du grand rival oriental. Comment expliquer ce quasi retrait romain qui établit une situation qui perdurera jusqu’au début du 6ème siècle, une longueur inédite pour un accord entre les deux parties ? L’objectif de notre étude est de répondre à cette interrogation, en distinguant notamment les prémices de cette politique de repli à partir de la seconde moitié du 4ème siècle. / At an uncertain date in the 380's A.D. yet generally set in 387, Emperor Theodose, princeps since 379, officially abandons four fifths of Armenia to the benefit of the Sassanide Persian people. This had never happened before since for over four centuries, most his predecessors had managed to maintain the Caucasian kingdom into the Roman sphere of influence , or even to keep it neutral to a threatening -or considered as such - Iranian state. Now the presence of the Empire is limited to a narrow strip of land located along its oriental borders that stretches over from the eastern end of the Pontus to the northern end of Syria. The heart of the land and its most important regions from a historical and strategical point of view belong to the great opponent from the east. How can we explain this Roman quasi-withdrawal which lead to a situation that will last to the beginning of the 6th century – a period of time for an agreement between the two parties that had never been seen before in history ?Our study aims at answering this question, by identifying more particularly the beginnings of such a withdrawal policy from the second half of the 4th century.

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