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Phylogenetic Models of Language Diversification

Ryder, Robin 10 January 2010 (has links) (PDF)
Language diversi cation is a stochastic process which presents similarities with phylogenetic evolution. Recently, there has been interest in modelling this process to help solve problems which traditional linguistic methods cannot resolve. The problem of estimating and quantifying the uncertainty in the age of the most recent common ancestor of the Indo-European languages is an example. We model lexical change by a point process on a phylogenetic tree. Our model is speci cally tailored to lexical data and in particular treats aspects of linguistic change which are hitherto unaccounted for and which could have a strong impact on age estimates: catastrophic rate heterogeneity and missing data. We impose a prior distribution on the tree topology, node ages and other model parameters, give recursions to compute the likelihood and estimate all parameters jointly using Markov Chain Monte Carlo. We validate our methods using an extensive cross-validation procedure, reconstructing known ages of internal nodes. We make a second validation using synthetic data and show that model misspeci cations due to borrowing of lexicon between languages and the presence of meaning categories in lexical data do not lead to systematic bias. We fit our model to two data sets of Indo-European languages and estimate the age of Proto-Indo-European. Our main analysis gives a 95% highest posterior probability density interval of 7110 9750 years Before the Present, in line with the so-called Anatolian hypothesis for the expansion of the Indo- European languages. We discuss why we are not concerned by the famous criticisms of statistical methods for historical linguistics leveled by Bergsland and Vogt [1962]. We also apply our methods to the reconstruction of the spread of Swabian dialects and to the detection of punctuational bursts of language change in the Indo-European family.
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Le comportement electoral dans les communautes mixtes/Voting behaviour in mixed communities

Zamfira, Andreea-Roxana 16 April 2010 (has links)
Le comportement électoral dans les communautés mixtes (Résumé) Andreea ZAMFIRA Objectifs du travail Le travail s’inscrit dans la lignée des études de géographie électorale et il comprend deux volets: (a) l’étude comparée exploratoire de huit pays où le facteur ethno-linguistique joue un rôle courant dans la vie politique et (b) la construction théorique de l’objet interdisciplinaire de la recherche. Le premier volet a comme objectif central l’élaboration d’un tableau des comportements électoraux dans les communautés hétérogènes du point de vue ethno-linguistique. A travers le second volet du travail, nous mettons en question, à partir de la littérature secondaire et des résultats de notre étude comparée exploratoire, les considérations théoriques concernant le comportement électoral dans les configurations spatiales mixtes. Dans les travaux de sociologie électorale, aucune analyse n’a été consacrée exclusivement et systématiquement aux communautés biculturelles historiques. Les articles disparates qui abordent tangentiellement le sujet en question accréditent principalement l’hypothèse d’une option fondée invariablement sur clivage ethno-linguistique. Structure du travail Le texte est structuré en trois parties. La première partie fixe le cadre théorique et met en exergue la problématique intellectuelle de notre démarche scientifique. La seconde partie inclut trois études de cas appartenant à l’Europe Centrale et Orientale: la Roumanie, la Bulgarie et la Slovaquie. La dernière partie analyse cinq pays occidentaux: la Belgique, la Suisse, le Canada, l’Italie et l’Espagne. Dans l’économie du travail, deux des cas étudiés apparaissent comme étant plus proéminents- la Roumanie et la Belgique. Les deux sont présentées comme des cas extrêmes pour deux raisons. En premier lieu, la Roumanie et la Belgique se trouvent aux deux pôles extrêmes sur l’axe de la fragmentation ethno-linguistique en Europe, axe construit à travers l’index de Rae et Taylor (Tableau 1). En second lieu, les deux pays diffèrent le plus du point de vue du système administratif (unitaire vs. fédéral) et électoral (unitaire vs. séparation des collèges linguistiques). Tableau 1 Le positionnement des pays selon l’index de fragmentation ethno-linguistique ( - ) .………………………………………………………………………… ( + ) Index (F) 0,19 0,24 0,25 0,27 0,46 0,54 0,59 0,62 Pays Roumanie Italie Slovaquie Bulgarie Espagne Suisse Belgique Canada Les hypothèses et la méthodologie Les hypothèses de recherche sont liées à la dimension linguistique et à la dimension idéologique du vote dans les communautés mixtes. Elles sont testées par des méthodes quantitatives (employées principalement à travers le logiciel SPSS) et qualitatives (analyse du discours, analyse secondaire, etc.). Le travail est conçu comme une étude exploratoire, réalisée à travers la perspective comparée. Il est fondé principalement sur la littérature secondaire et intègre des analyses empiriques utilisées exclusivement dans le but heuristique. L’asymétrie des données disponibles pour les huit pays (études de cas athéoriques ou descriptives) représente le principal obstacle pour l’utilisation d’une méthodologie commune et, implicitement, pour l’établissement de généralisations empiriques. Par conséquent, les résultats de notre étude sont présentés sous la forme des «monographies parallèles». La valeur du travail consiste en principal dans la revue comparative de la littérature secondaire, centrée sur une question jamais abordée de manière systématique jusqu’ici- la relation entre le comportement électoral et l’appartenance ethno-linguistique. Le tableau final a le rôle de mettre les bases de la construction théorique et celui de fournir un cadre de comparaison plus large pour les cas d’étude séparés. Le bilan des résultats Dans le chapitre des conclusions, les résultats de la recherche sont présentés de deux manières différentes: par pays et par hypothèses. Sans offrir des conclusions empiriques homogènes, le tableau final met en évidence quelques points communs. Dans un premier temps, l’appartenance ethno-linguistique a un rôle déterminant dans la plupart des cas, le nombre des votes trans-clivage étant généralement très réduit. Dans un deuxième temps, le facteur linguistique est moins déterminant aux élections locales qu’au niveau national. A cet égard, plusieurs cas intéressants (en Transylvanie, Trnava, Nitra, Tyrol du Sud, au Pays basque, etc.) nous ont attiré l’attention. Contrairement à la thèse du vote fondé sur clivage ethno-linguistique, généralement acceptée dans les études sur les sociétés hétérogènes, nous observons que plusieurs types de vote sont possibles (Tableau 2). Tableau 2 Types des votes dans les communautés mixtes selon l’offre électorale Offre Offre générale, bidirectionnelle (Deux destinataires) ↓ Offre limitée, unidirectionnelle (Un seul destinataire) ↓ Vote 1. Vote fondé sur clivage ethno-linguistique, pur 2. Vote trans-clivage, pur 3. Vote fondé sur clivage ethno-linguistique, pur 4. Vote sur clivage institutionnellement induit (Vote trans-clivage, induit) A. La dimension ethno-linguistique du vote (a) Dans le seul cas analysé où l’offre électorale est unilingue (unidirectionnelle), et, implicitement, le vote est fondé sur clivage ethno-linguistique (le cas des élections fédérales en Belgique), nous avons observé que l’option et l’attachement partisane coïncident. Dans ce cas précis, nous avons donc identifié un vote sur clivage, pur (qui, même dans l’hypothèse d’une adjonction des collèges linguistiques et des listes, reste fondé sur clivage). Cette situation pourrait être symptomatique des pays fédéraux ou complètement régionalisés, où les communautés linguistiques historiques sont territorialement concentrées et le système national de partis est linguistiquement divisé. Aux élections nationales canadiennes et suisses, puisque le système de partis ne reflète pas les différences ethno-linguistiques, le vote sur clivage est institutionnellement induit. (b) Quand l’offre électorale est générale (bilingue ou bidirectionnelle), l’appartenance linguistique des électeurs a un rôle déterminant dans la majorité des cas, tant aux élections locales qu’aux scrutins législatifs et régionaux. Les cas atypiques surviennent dans des situations très diverses, raison pour laquelle il est très difficile d’établir un système de variables fixes. Si nous prenons comme exemple le cas roumain, alors nous pouvons considérer que le vote trans-clivage se produit plus fréquemment dans les communautés roumano-allemandes et que le rapport numérique minorité-majorité n’est pas toujours relevant (ni même pour les élections tenues dans les localités roumano-hongroises). Certainement, les contextes favorables (définis par une distance sociale réduite, des stéréotypes positifs quant à l’Autre, des relations intra-communautaires amiables, etc.) jouent un rôle très important. Les Roumains votent massivement pour un parti représentant une minorité qui jouit d’une image très bonne dans le mental collectif; en Espagne, les Espagnols qui soutiennent le parti basque se distinguent des autres par le fait d’être plus attachés à la région qu’au pays. Probablement, plus le contexte est favorable, moins le rapport numérique minorité-majorité compte. De surcroît, plus le message bidirectionnel est rendu explicite, plus les gens sont disposés à soutenir un parti représentant un versant auquel ils n’appartiennent pas. Et cela se passe surtout aux élections locales parce que les enjeux non nationaux dépassent intrinsèquement les intérêts d’ordre ethno-linguistique, les gens sont plus inclinés à voter pour des raisons économiques et les leaders politiques les plus visibles (compétents, charismatiques) réussissent à gagner la confiance d’un électorat mixte beaucoup plus facilement que dans les compétitions nationales. B. La dimension idéologique du vote Bien qu’aucune affirmation générale sur la dimension idéologique du vote dans les communautés mixtes ne soit possible, vu la grande diversité des situations rencontrées au cours de cette recherche, nous voudrions remarquer toutefois que les scores de l’extrême droite dans les communautés homogènes ne sont pas toujours supérieurs à ceux obtenus dans les communautés mixtes. Ce constat nous amène en arrière, aux théories des appartenances superposées, qui soutiennent que les opinions et les comportements sont plus modérés quand les gens appartenant à des cultures différentes interagissent. Une circonstanciation plus exacte de cette thèse s’impose donc. Interprétation et théorisation des résultats de la recherche Somme toute, nous essayerons maintenant de passer en revue les principaux enseignements théoriques extraits de cette recherche. (1) Le premier point à discuter concerne la diversité des comportements électoraux dans les communautés mixtes. Nous avons observé que le vote qui transcende le clivage ethno-linguistique se produit dans des communautés très différentes du point de vue du degré de fragmentation (F), tant dans des pays fédéraux, complètement régionalisés, que dans des pays ayant un système administratif unitaire, dans des systèmes où un seul ou, bien, plusieurs partis ont une implantation régionale à base ethno-linguistique. Cette observation apporte un élément de nouveauté dans la sociologie électorale. On a cru longtemps que le vote dans les communautés mixtes est invariablement fondé sur clivage linguistique. Or, nous découvrons que l’impact de la langue, en tant que déterminant structurel, peut être réduit ou intensifié par une série de facteurs. En ce sens, nous avons indiqué quelques pistes qui mériteraient d’être explorées: le degré de fragmentation et le rapport quantitatif minorité-majorité, le type de communauté minoritaire (par contingence vs. par essence), la distance sociale et les stéréotypes réciproques, le type des cultures (convergentes vs. divergentes), la structure des appartenances et des clivages, le type d’offre électorale (unidirectionnelle vs. bidirectionnelle), etc. Tableau 2 x 2 Axe 1 : territorial (niveau de régionalisation/ décentralisation) Système administratif unitaire/ régionalisation partielle Système administratif fédéral/ régionalisation complète Axe 2 : représentation politique (nombre des partis ayant une implantation électorale régionale à base ethnique/ linguistique évidente) Un parti au moins Bulgarie (F= 0,27) Roumanie (F= 0,19) Canada (F= 0,62) Suisse (F= 0,54) Plusieurs partis Italie (F= 0,24) Slovaquie (F= 0,25) Belgique (F= 0,59) Espagne (F= 0,46) (2) Le deuxième point important à souligner concerne l’évolution du vote dans les communautés mixtes. Dans un important nombre de cas étudiés, nous avons observé que le vote fondé sur clivage ethno-linguistique a évolué d’un vote de bloc vers un vote stratégique. Cette situation, observable dans les régions de Transylvanie, Bolzano, Valée d’Aoste, au Pays basque, en Catalogne, etc., représente une conséquence directe des différentes modifications qui ont eu lieu au niveau politique. A cet égard, l’intégration progressive de la dimension territoriale (au détriment de la dimension ethno-linguistique) dans les programmes des partis de défense de la périphérie et la présentation d’offres électorales générales ou bidirectionnelles sont parmi les modifications les plus importantes. Nous avons, donc, affaire à un phénomène de type top-down. (3) Le troisième point qui retient notre attention est lié à la comparaison Est-Ouest. Les résultats de notre recherche montrent que la séparation entre l’Est et l’Ouest n’est pas entièrement rigide et immuable. Toute proportion gardée, la comparabilité est beaucoup plus évidente quand les pays sont caractérisés par des degrés de décentralisation/ régionalisation plus proches. Monographiés parallèlement, les huit cas ont révélé la diversité des relations entre les partis et l’électorat dans les communautés mixtes et, en plus, sinon une tendance, l’émergence d’une variété de comportements électoraux dans les systèmes où les offres bidirectionnelles sont explicites. De surcroît, l’étude comparée exploratoire Est-Ouest nous a fourni quelques contextes significatifs pour réfléchir sur la formation et la nature du vote trans-clivage.
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A morpho-syntactic analysis of Marshallese determiner phrases

Provencher, Catherine 02 1900 (has links) (PDF)
Le but de cette recherche est d'examiner les syntagmes déterminants du Marshallais. Plus spécifiquement, nous tenterons de déterminer si nous avons réellement affaire à des déterminants et à des adjectifs démonstratifs ou bien si ces éléments appartiennent à une autre catégorie lexicale. Pour ce faire nous analyserons plusieurs structures correspondant aux syntagmes déterminant du Marshallais. Nous proposons également que ces éléments grammaticaux soient en fait des affixes flexionnels nominaux et, de plus, nous supposons que la nature affixale de ces éléments grammaticaux découle du fait que la tête du syntagme déterminant est phonétiquement vide en Marshallais. Ce travail se fera dans le cadre de la Théorie de l'asymétrie morphologique telle que proposée par Di Sciullo (2005a; 2005b). Puisqu'en morphologie les relations entre morphème sont purement asymétriques c.-à-d. que l'ordre linéaire ne peut être changé, l'affixation est sujette à des contraintes et à des opérations spécifiques de la grammaire. Il y a plusieurs types d'affixes: affixe de prédicat, affixe modifieur, et affixe opérateur-variable. Puisque chaque affixe possède des propriétés propres, on s'attend à ce que les déterminants et adjectifs démonstratifs du Marshallais correspondent aux propriétés des affixes flexionnels nominaux plutôt qu'à celles des déterminants. Les résultats de cette analyse s'accordent avec notre hypothèse de départ; non seulement les morphèmes qui composent les déterminants et adjectifs démonstratifs du Marshallais agissent en fonction des caractéristiques propres aux affixes flexionnels mais en plus, chaque structure des syntagmes déterminants du Marshallais que nous avons analysées semblent indiquer qu'on ne retrouve jamais d'éléments grammaticaux prononcés dans la position tête des syntagmes déterminants du Marshallais. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Théorie de l'asymétrie, affixation, syntagmes déterminants, le Marshallais.
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L'expression de la transitivité en itivimiut

Carrier, Julien 09 1900 (has links) (PDF)
L'alignement morphosyntaxique des dialectes de la langue inuite est du type ergatif, et il est intéressant de noter qu'il existe un syncrétisme morphologique parfait entre les constructions génitives et ergatives lorsque l'objet de ces dernières est à la troisième personne (du singulier ou du pluriel). De plus, à l'exception des constructions passives, il y a dans la langue deux types de constructions syntaxiques qui expriment sémantiquement un agent et un patient : les constructions ergatives et les constructions antipassives. Récemment, plusieurs linguistes ont relevé une transition vers l'accusativité dans les dialectes inuktitut, où la construction antipassive est en train de devenir la construction transitive de base (Johns, 1999, 2001, 2006 et 2012; Spreng, 2005 et 2012; Allen, à paraître). L'étude de la transitivité dans les dialectes inuktitut est donc digne d'intérêt à plusieurs égards. La transitivité est une notion centrale en linguistique, mais sa manifestation dans les langues est loin d'être uniforme. L'étude des langues plus exotiques a justement aidé à en formuler une nouvelle définition typologique, qui traite les différentes constructions des langues selon un continuum de transitivité à partir de traits formels et sémantiques (Hopper & Thompson 1980; Tsunoda 1985; Kittila 2002; Naess 2007). Ce mémoire adoptera cette approche de la transitivité, et se penchera sur l'analyse de son expression en itivimiut, qui est un sous-dialecte inuktitut du Nunavik et sur lequel aucune étude récente n'a porté. L'analyse visera à rendre compte aussi bien des caractéristiques des constructions transitives en itivimiut d'un point de vue synchronique que des changements qui s'y sont produits récemment. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : itivimiut, inuktitut, alignement morphosyntaxique, transitivité, langues eskimo-aléoutes.
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Die temporalen Elemente des Englischen und deren Zeitbezug in fiktionalen narrativen Texten : Semantik, Pragmatik und nicht-monotone Inferenzen in einem indexikalischen Modell temporaler Bedeutung /

Panitz, Florian. January 1998 (has links)
Diss.--Oldenburg, 1996. / Bibliogr. p. [291]-302.
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Verben, Ereignisse und das Lexikon /

Engelberg, Stefan. January 2000 (has links)
Diss.--Wuppertal, 1998. / Bibliogr. p. [337]-350. Index.
527

Tempus und Temporalität in geschriebenen und gesprochenen Texten /

Hennig, Mathilde. January 2000 (has links)
Diss.--Leipzig, 1999. / Bibliogr. p. [199]-211.
528

Über "w-Exklamativsätze" im Deutschen /

Avis, Franz-Josef d', January 2001 (has links)
Diss.--Tübingen, 1998. / Bibliogr. p. [155]-159.
529

Progressiv im Deutschen : eine empirische Untersuchung im Kontrast mit Niederländisch und Englisch /

Krause, Olaf, January 2002 (has links)
Diss.--Hannover, 2000. / Bibliogr. p. [249]-255.
530

Principes d'identification et de catégorisation du sens : le cas de "avec" ou l'association par les canaux /

Mari, Alda, January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Sémantique formelle--Paris--EHESS, 2000. Titre de soutenance : Polysémie et décidabilité : "avec" ou l'association par les canaux. / Bibliogr. p. 445-463. Index.

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