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Arab woman : different culture, different feminismZairi, Olfa January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire sur l’évolution de la condition féminine de 1945 à nos jours : Etude comparative d’après les ouvrages de: - Le Deuxième sexe de Simone de Beauvoir - Fausse route d’Elisabeth BadinterFahlstedt-Martin, Kristina January 2013 (has links)
Ce mémoire n’a pas la prétention d’aborder la totalité des combats menés par ces deux personnalités, Simone de Beauvoir et Elisabeth Badinter, pour la libération des femmes. Cependant, il permet de mettre en évidence, voire en parallèles les actions essentielles de deux femmes de générations différentes. Avec une même sensibilité et une pugnacité sans faille malgré les difficultés et critiques rencontrées, elles ont permis à l’ensemble des hommes et surtout des femmes de prendre conscience des inégalités à combattre pour un meilleur « vivre ensemble ».
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Création et procréation : métaphores chez Hélène Cixous et Nancy HustonVoyer-Léger, Catherine January 2017 (has links)
Cette thèse de maîtrise s’intéresse à une métaphore commune qui trouve ses racines dans la pensée grecque de Platon et qui se déploie sous diverses formes jusqu’à nos jours : la création artistique comme procréation. Nous proposons la lecture de deux essais écrits par des écrivaines de la deuxième moitié du XXe siècle, « La venue à l’écriture » de Hélène Cixous (1977) et Journal de la création de Nancy Huston (1990). Au croisement de la réflexion sur la métaphore d’usage et des débats sur l’essence féminine dans la création littéraire, nous nous interrogeons sur le rôle que joue cette métaphore dans une prise de parole souhaitant revaloriser l’écriture des femmes. Cette thèse montre que si la métaphore d’usage peut être revivifiée par des choix formels, le recours répété à une image biologique de la création tend tout de même à conforter la thèse féministe différentialiste selon laquelle la création féminine serait différente par essence de la création masculine.
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La dégradation de l'environnement et les mouvements verts : une exploration anthropologique du concept de nature en OccidentPlamondon, Stéphanie January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Féminisme et pornographie : exploration du rapport qu'entretiennent les jeunes femmes féministes à la pornographieVan Winden, Myriam 03 October 2024 (has links)
Ce mémoire explore le rapport qu'entretiennent de jeunes féministes québécoises à la pornographie, habituellement considérée comme sexiste et anti-féministe. Plus précisément, il cherche à comprendre comment ces jeunes féministes négocient leur consommation de pornographie et leur identification au féminisme. En effet, la pornographie est un point de dissension important au sein des féminismes où s'affrontent deux positions sur le sujet : la position féministe majoritaire dite anti-pornographie ou abolitionniste et celle du féminisme dit pro-sexe. L'analyse proposée prend appui sur une série d'entrevues semi-dirigées menées auprès de 12 jeunes femmes québécoises (âgées de 20 à 27 ans) s'identifiant comme féministes. En plus d'examiner les façons par lesquelles ces jeunes femmes concilient leurs pratiques féministes et leur consommation de pornographie, notamment au regard des perceptions sociales de la pornographie, l'analyse souligne comment le rapport de ces femmes à la pornographie peut se comprendre en termes de réception féministe, de prise de position et d'agentivité sexuelle. Cette étude exploratoire prend ancrage dans un cadre conceptuel empruntant aux approches des *cultural studies* féministes et des *porn studies* (Attwood, 2005 ; Paasonen, 2021 ; Vörös, 2015). Les résultats montrent que les jeunes féministes ne s'identifient plus tant au féminisme majoritaire, anti-pornographie, qu'à celui de la quatrième vague dont les idéaux se rapprochent davantage de ceux du féminisme pro-sexe. Le courant majoritaire au sein du féminisme québécois reste toutefois marqué par une opposition forte à la pornographie, perçue comme profondément sexiste et violente, et sur le plan social, la pornographie demeure taboue. Ce contexte crée une ambivalence notable chez les jeunes féministes quant à leurs choix de contenu pornographique et leur identification féministe. L'analyse montre toutefois que ces choix relèvent d'une prise de position agentique des jeunes féministes, à l'égard tant de la pornographie et que de l'engagement féministe. / This master's thesis delves into the relationship that young Quebecois feminists have with pornography, which is often considered as sexist and anti-feminist. Specifically, it aims to understand how these young feminists negotiate their consumption of pornography and their identification with feminism. Indeed, feminism has been divided on pornography, with two main positions: anti-pornography or abolitionist feminism, and pro-sex feminism. The analysis is based on a series of semi-structured interviews conducted with 12 young Quebecois women (aged 20 to 27) who identify as feminists. In addition to exploring how these young women reconcile their feminist values with their consumption of pornography, particularly given societal views on it, the analysis highlights how their relationship with pornography can be understood through the concepts of feminist reception, positioning, and sexual agency. This exploratory study draws from Feminist Cultural Studies and Porn Studies (Attwood, 2005; Paasonen, 2021; Vörös, 2015). The findings suggest that young feminists are less likely to align with anti-pornography feminism and more inclined towards fourth-wave feminism, which shares principles with pro-sex feminism. However, mainstream Quebecois feminism remains largely opposed to pornography, viewing it as deeply sexist and violent, and pornography remains socially taboo. This leads to ambivalence among young feminists regarding their pornographic consumption choices and feminist identity. Nonetheless, the analysis shows that these choices reflect the agency of young feminists in both their engagement with pornography and feminism.
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Les féministes et le changement social en Belgique. Programmes, stratégies et réseaux/ Feminists and social change in Belgium (1918-1968). Program, strategy and netvvorks.Jacques, Catherine 13 December 2007 (has links)
Les Féministes et le changement social en Belgique (1918-1968). Programmes, stratégies et réseaux. Catherine Jacques.
Thèse de doctorat présentée sous la direction de Mme Eliane Gubin (Université libre de Bruxelles)et de Mme Christine Bard (Université d’Angers) en vue d’obtenir le titre de docteure en histoire.
Alors que l’histoire des femmes est relativement bien implantée en Belgique, il n’existe encore aucune étude qui envisage l’ensemble des mouvements féministes dans leur rapport à la société civile et politique. L’époque choisie s’étend de 1918 à 1968. Si les prémisses du féminisme et ses activités jusqu’en 1914, ainsi que sa reconversion durant les années de guerre, ont fait l’objet d’un certain nombre d’études, en revanche de multiples pans de l’activité féministe de l’entre-deux-guerres aux années 1960 demeurent largement méconnus. Pour les aborder, il convient d’évaluer d’abord l’impact de la guerre 14-18 sur les mouvements féministes et sur la condition des femmes. En effet le conflit les a profondément marquées, et les féministes en particulier qui s’étaient fortement impliquées dans le courant pacifiste de la Belle Epoque. Pendant la guerre, toutes ou presque, se sont engagées dans des activités patriotiques ou caritatives et certaines, au lendemain des hostilités, les prolongent au sein du mouvement féministe, dont elles deviennent d’importantes représentantes.
L’armistice conclue, les différentes associations féministes se reconstituent mais elles adaptent leurs revendications au contexte nouveau : la thèse analyse entre autres les relations entre féministes d’avant et d’après guerre, afin d’évaluer dans quelle mesure il y eut transmission (ou non) d’un savoir militant et d’expériences antérieures. En effet, aux côtés des associations féministes existant avant 1914 et reconstituées après 1918, naissent de nouveaux groupes, surtout à partir de la fin des années 1920. Ils se composent de femmes venues d’horizons sociaux relativement différents des militantes précédentes. Souvent universitaires, engagées dans une vie professionnelle, ces féministes formulent des revendications nettement plus radicales : c’est le cas par exemple du Groupement belge de la porte ouverte (1929) qui s’oppose clairement à toute législation protectionniste du travail différenciée selon les sexes, telle qu’elle est prônée par le Bureau international du Travail ; c’est le cas d’Egalité, une association dirigé par l’avocate et future sénatrice cooptée libérale Georgette Ciselet, qui affiche un programme féministe relativement radical en matière d’égalité civile et politique.
Le contexte a ici toute son importance : le féminisme d’entre-deux-guerres est en effet confronté à la mise en place de nouveaux processus d’intervention de l’Etat et aux conséquences des politiques natalistes menées par tous les gouvernements. L’idéal féminin que l’on tente d’imposer est marqué par l’assimilation quasi totale de l’identité féminine à la fonction maternelle et à la fécondité. Cette tendance, déjà forte avant guerre, s’accentue encore sous la pression de la grande crise et du chômage, que l’on croit pouvoir résorber en dégageant des postes de travail par le renvoi des femmes au foyer. Or ces tendances sont en totale contradiction avec l’implication des femmes dans l’espace public (elles sont devenues électrices communales), avec leur accès à de nouvelles filières professionnelles (infirmières, assistantes sociales), avec leur arrivée plus nombreuse dans l’enseignement secondaire et même supérieur.
De quelle manière et dans quelle mesure les deux générations de militantes ont-elles collaboré ? En d’autres termes, comment et par quels biais s’est assurée la transmission féministe ? Ces questions sont également abordées pour la période qui suit immédiatement la Seconde Guerre Mondiale. Celle-ci reste un domaine pratiquement inexploré, complètement occulté par l’explosion du néo-féminisme des années 1970. Longtemps, on a cru qu’en signalant l’accès des femmes au suffrage en 1948, on avait tout dit ; pour beaucoup, ces années seraient caractérisées par un mouvement féministe affadi, en léthargie en quelque sorte. Cette version, généralement admise, doit être largement nuancée. Les années 1950 et 1960 voient fleurir au contraire des revendications réformistes, même si elles adoptent encore un ton mineur et qu’elles doivent être replacées dans le contexte de l’époque. Elles sont énoncées de manière telle que les contemporains puissent les entendre. Ce féminisme en réalité très vigoureux engrange des succès et mène des combats fondamentaux, tels que l’accès complet à la citoyenneté des femmes, la féminisation des études supérieures, la réforme du code civil et des régimes matrimoniaux. Il balise à bien des égards la voie pour les revendications de la seconde vague féministe, il est donc erroné et réducteur de les présenter en rupture totale.
La thèse privilégie une approche thématique des revendications féministes : une partie traite des avancés dans la sphère publique (pour l’essentiel la question du droit à la citoyenneté économique et politique) et l’autre dans l’espace privé (réforme du code civil, droits des mères et réflexions sur la sexualité).
Ce type d’analyse permet de mieux contextualiser les revendications en les mettant en rapport avec les enjeux contemporains. A terme les éléments dégagés éclairent les processus de construction des citoyennetés civile, politique et sociale des femmes.
Les stratégies élaborées par les féministes sont au cœur de notre réflexion. Une attention particulière est accordée aux personnes qui conçoivent et portent ces revendications, de manière à réintégrer dans le processus d’émancipation des femmes des réseaux et des relais insérés dans des courants autres que féministes (partis politiques, syndicats, associations féminines). La mise en évidence de ces relais montre comment certaines idées, nées au sein des mouvements féministes, ont pénétré dans des groupes qui réfutaient toute adhésion à la cause féministe mais qui, à terme, en ont adopté les demandes et les ont diffusées dans un public plus large. La manière dont ces revendications féministes parviennent à “ remonter ”, à la fois au sein de structures politiques et associatives, et atteindre ainsi un grand nombre de femmes (et d’hommes) est central dans l’analyse proposée.
Mais faire l’étude des mouvements ou des associations sans tenir compte des personnes qui les composent, laisse subsister des zones d’ombre. La sociabilité des militantes est interrogée. Celle-ci est, sans doute, un élément d’explication à la constance de certains engagements.
Notre étude si elle se situe sur le plan national, envisage conjointement l’impact de l’international sur l’évolution du féminisme belge. Au plan international, l’ensemble des organisations faîtières dont dépendent de nombreuses associations nationales trouvent leur place dans notre étude : le Conseil international des Femmes qui chapeaute le Conseil national des Femmes belges, l’Open Door pour le Groupement belge de la Porte Ouverte, ..etc. L’angle d’approche n’est pas l’organisation faîtière en tant que telle mais bien les rapports entretenus avec l’association nationale. Sans oublier les instances internationales (SDN puis ONU, OIT, BIT,..etc.) auprès desquelles les associations internationales féministes exercent depuis leur création un lobbying serré en faveur des intérêts féminins qui, mesuré aux nombres des conventions et des accords en tout genre indiquent que leur influence est réelle et attestent de l’existence de véritables stratégies féministes dans l’entourage des organismes internationaux.
Au terme, la thèse permet de mieux comprendre le processus d’inclusion des femmes dans la société belge et éclaire sur les mécanismes de démocratisation de celle-ci par l’intégration de ses citoyennes./Feminists and social change in Belgium
(1918-1968)
Program, strategy and networks
Although women history is rather well established in Belgium, no survey has been made on all the women movements in the frame of their relationship with civil and political society. The studied area spans from 1918 till 1968.
The context is important : feminism for the inter bellum period and after the second world war must face the increasing impediment of the State in public life, generating new discriminations. This thesis uses predominantly a thematic approach of the different feminist demands : one part will deal with the progress made in the public domain (mainly the issue of the right to economic and political citizenship) and another one in the private domain (civil code reform, mothers’ rights and considerations on sexuality).
In the long run, the points brought forward bring to light the building process of civil, political and social citizenship of women.
The strategies elaborated by the feminists lie at the heart of our thought. A special point of attention is made for the people conceiving and bringing forward these demands, in order to integrate in the emancipation process of women the networks and relays used outside the women sphere (political parties, unions, women societies).
Even if this survey is made at the national level, it also involves the impact of what is happening at the international level on Belgian feminism.
Eventually, the purpose of this thesis is to better understand the inclusion process of women in Belgian society and to bring to light the impact the integration of women had on the democratization mechanism of the same Belgian society.
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De Rosario Ferré à Mayra Santos Febres : hacia otra forma de narrar la marginalidadSauriol, Lise January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Une lecture féministe et bakhtinienne de l'oeuvre romanesque de Francine Noël, une traversée des apparencesBarrett, Caroline January 1999 (has links) (PDF)
No description available.
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Les femmes des Premières nations et la Loi sur les foyers familiaux situés dans les réserves : déconstruction de discours idéologiques à la lumière de la théorie féministe postcolonialeCourchesne, Guyanne January 2017 (has links)
En juin 2013, après un quart de siècle de débats quant à l’opportunité, la nature et l’étendue d’une intervention législative éventuelle pour régler les questions relatives à l’occupation et au partage des biens immobiliers matrimoniaux situés dans les réserves, le Parlement canadien a adopté la Loi sur les foyers familiaux situés dans les réserves et les droits ou intérêts matrimoniaux. Bien que cette loi entende concilier les positions du gouvernement canadien et des organisations autochtones, principalement l’Assemblée des Premières nations et l’Association des femmes autochtones du Canada, elle demeure controversée, d’aucuns étant d’avis qu’elle compromet les droits des femmes et des peuples autochtones visés par son application. La présente thèse a pour objet l’analyse critique des discours idéologiques de certains des acteurs-clés ayant contribué aux débats parlementaires concernant la Loi sur les foyers familiaux situés dans les réserves et les droits ou intérêts matrimoniaux afin de déterminer dans quelle mesure cette loi est susceptible de compromettre les droits des femmes des Premières nations.
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Identity, translation and embodiment in migrant and minority women's writings in Japan, English Canada and QuébecYamade, Yuko January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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