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Arrière-effet des rotations de cultures sur les traits racinaires du maïs fourrager et du soya

Pelletier, Kassandra 03 June 2024 (has links)
Les rotations de cultures ayant des avantages pour la santé des sols peuvent améliorer le rendement des cultures, alors que leurs effets sur les traits racinaires restent à être définis. L'objectif de cette étude était de mesurer l'effet des rotations de cultures typiques des fermes laitières sur les traits racinaires du maïs fourrager (*Zea mays* L.) et du soya (*Glycine max* [L.] Merr.). Sur une argile limoneuse de l'est du Canada, six rotations ont été comparées, en variant les espèces (vivaces et/ou annuelles) et les sources d'azote (lisier de bovins laitiers et/ou engrais minéraux) durant cinq ans. Les racines du maïs (année 6) et du soya (année 7) ont été échantillonnées par carottage (0-45 cm), lavées et numérisées pour l'analyse des images. Les rotations incluant des cultures pérennes plutôt qu'annuelles uniquement ont entraîné une augmentation de la biomasse (+31%) et de la densité racinaire (+106%) pour le maïs, ainsi qu'une plus grande proportion de racines fines dans le maïs et le soya. Par rapport au mélange de luzerne et de graminées, le mélange de graminées exclusivement a entraîné une augmentation de la biomasse (+23%) et de la densité racinaire (+54%) pour le maïs. Une durée plus longue (5 vs. 3 ans) du mélange luzerne-graminées a amélioré la densité racinaire du maïs (+37%) ainsi que la proportion de racines fines du maïs et du soya en profondeur, ce qui suggère des avantages au maintien des plantes fourragères vivaces dans le temps. Les applications répétées de lisier de bovins laitiers n'ont pas eu d'effet constant sur les racines. Nos résultats mettent en évidence la réaction positive des traits racinaires du maïs et du soya à la présence, à la composition en espèces et à la durée des plantes fourragères pérennes. Leur présence est d'autant plus justifiée dans une rotation de cultures. / Benefits for soil health associated with crop rotations can improve crop aboveground yield, although the effect on root traits is unclear. The aim of this study was to measure the legacy effect of crop rotations typical of dairy farms on root traits of subsequent forage corn (*Zea mays* L.) and soybean (*Glycine max* [L.] Merr.). On a silty clay in eastern Canada, six rotations were compared, varying in crop species (perennials and/or annuals) and nitrogen sources (dairy cattle slurry and/or mineral fertilizer) for 5 years. Roots of subsequent corn (year 6) and soybean (year 7) were sampled by coring (0-45 cm), washed, and digitized for image analysis. Crop rotations including perennial crops rather than only annual crops resulted in greater corn root biomass (+31%) and root length density (+106%), and in a greater fine root length fraction in corn and soybean. Compared to the alfalfa- grass mixture, the grass-only mixture resulted in a greater corn root biomass (+23%) and root length density (+54%). A longer duration (5 vs. 3 years) of the alfalfa-grass mixture improved corn root length density (+37%) as well as corn and soybean fine root length fraction at depth, suggesting benefits from maintaining perennial forage stands over time. There was no consistent effect of repeated dairy cattle slurry applications on root traits. Our results highlight the positive response of corn and soybean root traits to the presence, species composition, and duration of perennial forage crops, extending further their benefits within rotations.
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Le millet perlé sucré et le sorgho sucré comme cultures énergétiques en conditions québécoises : potentiel de production, utilisation de l'azote, morphologie des racines et apport de carbone au sol

Thivierge, Marie-Noëlle 23 April 2018 (has links)
Le millet perlé sucré [Pennisetum glaucum (L.) R.BR.] et le sorgho sucré [Sorghum bicolor (L.) Moench] sont des cultures annuelles dont la sève sucrée peut être transformée en éthanol. Ces cultures semblent avoir des besoins limités en azote, mais leur efficacité d’utilisation de l’azote n’a pas été démontrée dans les conditions de l’est du Canada. De plus, la morphologie des systèmes racinaires de ces espèces a peu été étudiée, alors qu’elle pourrait fournir des explications concernant l’efficacité d’utilisation de l’azote. Les objectifs de cette étude étaient de (i) comparer le millet perlé sucré et le sorgho sucré quant à leur rendement et leur utilisation de l’azote (N), (ii) déterminer la réponse des deux espèces à des doses croissantes d’azote minéral, (iii) comparer leur réponse à l’azote minéral et l’azote de source organique (lisiers de porc et de bovin), (iv) comparer leurs traits racinaires et ceux du maïs-grain (Zea Mays L.), l’espèce actuellement utilisée pour produire de l’éthanol dans l’est du Canada, et (v) comparer l’apport en carbone au sol de ces trois espèces. Les espèces ont été cultivées à deux sites expérimentaux situés au Québec. Les doses d’azote favorisant les plus hauts rendements en sucres chez le millet et le sorgho ont été de 86 et 91 kg N ha-1, selon le site. La fertilisation minérale a généré des rendements plus élevés que l’utilisation de lisiers, lesquels ont montré une efficacité fertilisante variant de 15 à 52 % de celle de l’engrais minéral. Le sorgho a donné des rendements en sucres 68 % plus élevés que ceux du millet. Le millet et le sorgho ont récupéré dans leurs parties aériennes 54 à 82 % de l’azote minéral appliqué. Alors que la biomasse racinaire et l’apport annuel en carbone ont été supérieurs pour le maïs, la longueur des racines et la proportion de racines très fines étaient plus élevées pour le millet perlé sucré et le sorgho sucré. Les résultats démontrent la haute efficacité avec laquelle le millet et le sorgho utilisent l’azote ainsi que les faibles risques environnementaux associés, et suggèrent que la morphologie racinaire contribue à cette efficacité. / Sweet pearl millet [Pennisetum glaucum (L.) R.BR.] and sweet sorghum [Sorghum bicolor (L.) Moench] are annual crops from which the sweet sap can be fermented to ethanol. They appear to have a high nitrogen (N) use efficiency, but this remains to be demonstrated in eastern Canada. Studying the morphological traits of their rooting system could help understanding their N use efficiency. The main objectives of this study were to (i) compare both species for yield and N use efficiency, (ii) determine their response to increasing mineral N rate, (iii) compare their response to mineral vs. organic N sources (liquid swine and liquid dairy manures), (iv) compare their root morphological traits with those of grain corn (Zea Mays L.), the sole feedstock used for ethanol production in eastern Canada, and (v) compare annual carbon input to soil from these three species. Species were grown at two experimental sites in Quebec. The N rates that led to maximum sugar yield for sweet pearl millet and sweet sorghum were 86 and 91 kg N ha-1, depending on site. Mineral N fertilization resulted in greater yields than the liquid manures, which showed fertilizer N equivalences varying from 15 to 52%. Fifty-four to 82% of applied mineral N fertilizer was recovered in the aboveground biomass of sweet pearl millet and sweet sorghum. While root biomass and annual carbon input were greater with corn, the length of the rooting system and the proportion of very fine roots were greater with sweet pearl millet and sweet sorghum. Our results show a high N use efficiency of sweet pearl millet and sweet sorghum, and therefore indicate low environmental risk associated with their fertilization. Moreover, our results suggest that the peculiar root morphology of these crops contribute to their high N use efficiency.

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