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Three essays on Public Finance and Growth / Trois essais sur les finances publiques et la croissance

Labouré, Marion 10 March 2016 (has links)
Cette thèse s'intéresse aux fondements de la croissance et des déficits budgétaires. Elle se compose de trois essais distincts. Le premier essai examine les déterminants économiques et politiques des déficits budgétaires. Le second essai s'intéresse à la transmission de l'inflation aux revenus et dépenses dans la zone euro. Le troisième essai analyse l'interaction entre les dépenses publiques et la croissance économique lors du développement économique d'un pays. Dans le premier chapitre, je présente une modélisation des biais de comportement du politicien avec un facteur reflétant la probabilité pour le gouvernement de rester au pouvoir. Si un gouvernement est incertain concernant ses perspectives de réélection, il aura tendance à négliger l'avenir davantage qu'il ne l'aurait fait autrement. Sur le plan empirique, ce papier contribue à formaliser la relation entre déficit budgétaire, comportement de l'homme politique et contexte économique. Dans le second chapitre, afin d'étudier la relation entre dépenses publiques/revenus et inflation en France, j'utilise l'analyse de cointegration et de causalité du modèle de Granger. Les résultats indiquent que les dépenses/recettes publiques et l'inflation sont fortement cointégrées et qu'il existe donc une relation d’équilibre à long terme entre ces variables. De plus, nous estimons le déficit budgétaire `a partir de l'inflation et d'autres variables explicatives telles que les élections, la croissance économique et le taux de croissance du chômage. En outre, ce chapitre souligne que les revenus (cotisations sociales, impôts directs nets) sont fortement et positivement corrélés `a l'inflation en Europe Occidentale. En revanche, les dépenses publiques sont faiblement mais positivement corrélées `a l'inflation. Dans le troisième chapitre, nous analysons l'influence de la composition des dépenses publiques sur le taux de croissance au cours du développement économique. Nous constatons une forte corrélation entre le développement du pays et l'utilité des citoyens au fil du temps. Les pays pauvres déboursent fortement en dépenses productives tandis que les pays riches ont une proportion plus élevée de dépenses improductives. Nous illustrons nos résultats avec un panel de données de 147 pays. En utilisant une estimation GMM en système sur panel dynamique, nous constatons que les salaires publics, les paiements d'intérêt, les subventions et les dépenses de consommation finale du gouvernement ne stimulent pas la croissance contrairement aux dépenses d'éducation et de santé. En outre, nous observons que la réaffectation des dépenses d'éducation est associée à une augmentation de la croissance. / This dissertation addresses the interconnections between growth and public finance. It is made of three distinct essays. The first essay investigates the economic and political determinants of budget deficits. The second essay focuses on the transmission of inflation to public finance in the euro zone. The third essay analyses the two-ways interaction between government spending and economic growth over the course of a country's economic development. In the first essay, I consider the modelling of politician behaviour bias which diverges from the typical citizen by a factor reflecting the probability for governments to stay in power. If a government is sure it will stay in power, it will discount the future in an optimal way, otherwise it will tend to discount the future more heavily. On the empirical side, our paper contributes to formalize the impact of politician behaviour and economic context on budget deficit. In the second essay, I analyze the relationship between highly granular public expenditures/revenues growth and inflation in France. I use the cointegration analysis and Granger Causality Model and find that public expenditures/revenues and inflation are cointegrated and thus there exists a long-term equilibrium relation between these variables. We forecast in detail budget deficit in France based on inflation and other explanatory variables such as elections, economic growth and unemployment growth rates. Also, this paper emphasizes that Eurozone governments' total revenues are highly and positively correlated to inflation in particular net social contribution and direct taxes while government expenses are lowly but positively correlated to inflation. In the third essay, I investigate the influence of public expenditures composition on countries growth performance along their economic development. We find citizen utility significantly evolves as the country develops and significantly changes the role and intervention of governments. Poorer countries rely heavily on productive spending while richer countries have a higher proportion of unproductive spending. We illustrate our findings with a data panel of $147$ low-, medium- and high-income countries covering the period $1970-2008$. Using dynamic panel GMM estimators, we show that public wages, interest payments, subsidies and government consumption are not growth-enhancing while spending on education and health positively impact growth. We observe that a reallocation involving an increase in education spending is associated with higher growth.
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Three essays in applied macroeconometrics / Trois essais en macroéconométrie appliquée

Lhuissier, Stéphane 23 October 2014 (has links)
Cette thèse présente trois essais en macroéconométrie appliquée. Leur dénominateur commun est l’emploi conjoint de méthodes non-linéaires et bayesiennes afin de rendre compte de cycles économiques. Le choix de ces méthodes s’appuie sur deux constats fondamentaux. Premièrement, la plupart des séries temporelles macroéconomiques et financières présentent de soudains changements dans leur comportement résultant d’évènements tels que les crises financières, les changements brutaux de politiques fiscales et monétaires, l’alternance de phases d’expansion et de récession, etc. La prise en compte de ces changements discontinus et occasionnels nécessite une modélisation non-linéaire, c’est-à-dire la conception de modèles dont les paramètres évoluent au cours du temps. Deuxièmement, l’analyse économétrique moderne des modèles à vecteur autorégressif (VAR) et des modèles dynamiques et stochastiques d’équilibre général (DSGE) soulève de nombreux problèmes auxquels peut répondre un cadre bayesien. Tout d’abord, les modèles DSGE correspondent à une représentation partielle et simplifiée de la réalité, cette dernière étant généralement trop compliquée pour être formalisée ou trop coûteuse en termes de ressources computationnelles ou intellectuelles. Cette mauvaise spécification, inhérente aux modèles DSGE, s’ajoute en général à une pénurie de données informatives nécessaires à l’obtention de réponses précises. Dans un cadre bayesien, le praticien introduit une information supplémentaire, une distribution a priori, qui rend l’inférence des paramètres du modèle plus accessible aux macroéconomistes. S’agissant des modèles DSGE, la distribution a priori, construite à partir d’informations microéconomiques telles que les élasticités agrégées ou les taux de croissance moyens des variables macroéconomiques à long terme, permet de déplacer la fonction de vraisemblance du modèle dans les régions économiquement interprétables de l’espace de paramètres. Ceci, en vue de parvenir à une interprétation raisonnable des paramètres structurels du modèle, rendant ainsi l’inférence beaucoup plus précise. [...] / This dissertation presents three essays in applied macroeconometrics. Their common denominator is the use of Bayesian and non-linear methods to study of business cycle fluctuations. The first chapter of this dissertation revisits the issue of whether business cycles with financial crises are different, in the euro area since 1999. To do so, I fit a vector autoregression in which equation coefficients and structural disturbance variances are allowed to change over time according to Markov-switching processes. I show that financial crises have been characterized by changes not only in the variances of structural shocks, but also in the predictable and systematic part of the financial sector. By predictable and systematic part of the financial sector, I mean equation coefficients that describe the financial behavior of the system. I then examine the role of financial sector in financial crises and standard business-cycle fluctuations. The evidence indicates that the relative importance of financial shocks (“non-systematic part”) is significantly higher in periods of financial distress than in non-distress periods, but the transmission of these shocks to the economy appears linear over time. Counterfactual analyses suggest that the systematic part of financial sector accounted for up to 2 and 4 percentage points of output growth drops during the downturn in 2001-2003 and the two recessions, respectively. The second chapter examines the quantitative sources of changes in the macroeconomic volatility of the euro area since 1985. To do so, I estimate a variety of large-scale Dynamic Stochastic General Equilibrium (DSGE) models in which structural disturbance variances are allowed to change according to a Markov-switching process. The empirical results show that the best-fit model is one in which all shock variances are allowed to switch between a low- and a high-volatility regime, where regime changes in the volatilities of structural shocks are synchronized. The highvolatility regime was in place during the pre-euro period, while the low-volatility regime has been prevailed since the euro introduction. Although the size of different types of shock differs between the two shock regimes, their relative importance remains unchanged. Neutral technology shocks and shocks to the marginal efficiency of investment are the dominant sources of business cycle fluctuations. Moreover, the decline in the variance of investment shocks coincide remarkably well with the development of the European financial market that has increased access to credit by firms and households, suggesting that investment shocks reflect shocks originating in the financial system. [...]
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Theoretical and empirical essays on inflation targeting and central bank transparency / Essais théoriques et empiriques sur les régimes de ciblage d’inflation et les politiques de transparence des banques centrales

M'Baye, Cheick Kader 28 June 2013 (has links)
Cette thèse contribue au débat sur les politiques de ciblage d’inflation et de transparence des banques centrales en présentant notamment trois essais théoriques et empiriques sur le sujet. Dans le premier essai, nous étudions théoriquement les conditions sous lesquelles il serait optimal pour une banque centrale d’adopter explicitement un régime de ciblage d’inflation. Nous proposons un nouveau cadre théorique qui combine les deux principales raisons avancées dans la littérature pour expliquer les effets réels à court terme de la politique monétaire et qui sont d’une part, la présence d’informations hétérogènes entre les agents économiques (Phelps, 1970 ; Lucas, 1972), et d’autre part, la rigidité des salaires ou des prix (Taylor, 1980 ; Calvo, 1983). Nous analysons ensuite notre problématique dans ce nouveau cadre en considérant l’interaction entre le degré de rigidité des prix, et le degré de complémentarités stratégiques dans la fixation de prix des firmes. Nos résultats montrent que l’adoption d’un régime de ciblage d’inflation dépend fortement de l’importance relative des paramètres du modèle. En particulier, nous montrons que le ciblage d’inflation devrait être toujours adopté lorsque les complémentarités stratégiques sont faibles, alors que dans le cas contraire, il est optimal uniquement lorsque les prix sont assez rigides et que la banque centrale détient des informations suffisamment précises sur les fondamentaux de l’économie. Dans le second essai, nous utilisons la macroéconomie expérimentale afin d’évaluer dans quelle mesure l’annonce de la cible d’inflation est pertinente dans un cadre de ciblage de l’inflation. Nos résultats montrent que lorsque la banque centrale ne se soucie que de la stabilisation de l’inflation, l’annonce de la cible d’inflation n’apporte pas de gain supplémentaire en termes de performances macro-économiques, par rapport à une politique monétaire active (type règle de Taylor). Cependant, si la banque centrale intègre également la stabilisation de l’activité économique dans ses objectifs, la communication de la cible contribue à réduire la volatilité de l’inflation, du taux d’intérêt, et de l’écart de production, bien que leurs niveaux moyens ne soient pas affectés. Ce résultat fournit ainsi une justification pour l’adoption d’un régime de ciblage flexible d’inflation par la majorité des pays ciblant l’inflation. Enfin dans le troisième essai, nous appliquons une analyse transversale ainsi que la technique des variables instrumentales, afin d’analyser les effets de la transparence des banques centrales sur les résultats macroéconomiques dans les pays émergents. Nous construisons un nouvel indice de transparence qui combine certains aspects de l’indice de transparence globale d’Eijffinger et Geraats (2006), avec ceux de l’indice de transparence sur le comité de politique monétaire de Hayo et Mazhar (2011). Nous analysons ensuite le rôle individuel de chaque composante du nouvel indice en termes de réduction du niveau de l’inflation et de sa volatilité, ainsi que de la volatilité du produit. Contrairement à la littérature antérieure, nous trouvons que le nouvel indice de transparence ainsi que ses aspects économique, politique, procédurale et de transparence sur la politique monétaire impactent négativement le niveau moyen de l’inflation, mais pas sa volatilité dans ces pays. L’unique composante du nouvel indice qui permet de réduire à la fois la volatilité de l’inflation et celle de la production est la transparence opérationnelle. Ces résultats s’avèrent robustes aux différentes spécifications de modèles économétriques utilisés dans cet essai. / This dissertation contributes to the debate on inflation targeting and central bantransparency by presenting three theoretical and empirical essays on the topic. In the first essay, we theoretically investigate the conditions under which it would be optimal for a central bank to explicitly adopt an inflation targeting regime. We propose a new theoretical framework that combines the two main frictions put forward in the literature to explain the real short run effects of monetary policy that is, heterogeneous information among agents (Phelps, 1970; Lucas, 1972), and wage or price rigidities (Taylor, 1980; Calvo, 1983). We then analyze our issue in this new framework by considering the interaction between the degree of price stickiness, and the degree of strategic complementarities in firms’ price setting. Our results show that adopting an inflation targeting regime crucially depends on the relative importance of the model’s parameters. In particular, we show that inflation targeting should always be adopted when strategic complementarities are low, while in the opposite case, it is optimal only if prices are sticky enough and the central bank holds sufficiently accurate information on the fundamentals of the economy. In the second essay, we use experimental macroeconomics to evaluate to what extent communication of the inflation target is relevant in an inflation targeting framework. Our results show that first, when the central bank only cares about inflation stabilization, announcing the inflation target does not make a difference in terms of macroeconomic performance compared to a standard active monetary policy. However, if the central bank also cares about the stabilization of the economic activity, communicating the target helps to reduce the volatility of inflation, interest rate, and output gap although their average levels are not affected. This finding provides a rationale for the adoption of flexible inflation targeting by the majority of inflation targeting countries. In the third essay, using a cross-sectional analysis and instrumental variables technique, we analyze the impact of central bank transparency on macroeconomic outcomes in emerging economies. We build a new index of transparency that combines some aspects of the overall Eijffinger and Geraats (2006) transparency index, with those of monetary policy committee transparency developed in Hayo and Mazhar (2011). We then analyze the individual role of each component of the new index in mitigating inflation and its volatility, as well as output volatility. By contrast to the previous literature, we interestingly find that the overall new index of transparency as well as its political, economic, procedural, and policy aspects negatively impact the average level of inflation, but not its volatility in these countries. The unique component of the new index that reduces the volatility of both inflation and output is operational transparency, and these results are robust to different econometric and instruments setting specifications.

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