Texte remanié de: Thèse de doctorat--Lettres--Poitiers, 1973. / Bibliogr. p. 385-395. Index.

The problem with which this study is concerned is that of citing the themes which occur most often in the essays of Maurice Maeterlinck, and of tracing the development of these themes in selected representative essays. Since no detailed study of the essays has appeared since the time of Maeterlinck's death, the major sources of information are the essays themselves.

Academisch proefschrift--Groningen. / Bibliography: p. [vii]-x.

Thesis--Munich. / Vita. Includes bibliographical references (p. [vi]-viii).

Thesis--Munich. / Vita. Includes bibliographical references (p. [vi]-viii).

Thesis (Ph. D.)--Washington University, 1970. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 144-146).

Thesis (M.A.)--University of Wisconsin--Madison, 1942. / Typescript. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 80-81).

Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire de l'art--Université libre de Bruxelles, 2005. / Publ. à l'occasion de l'exposition "Le musée imaginaire de Maurice Maeterlinck" organisée au Musée provincial Félicien Rops, Namur, Belgique, du 19 janvier au 13 avril 2008. Notes bibliogr. Index.

On découvre en Maeterlinck deux hommes: le poète et le naturaliste: le poète avec sa délicatesse et sa sensibilité, et le paysan flamand d`une constitution lourde et carrée. Maurice Maeterlinck naquit en 1862 dans la villa familiale d‘Oostacker, près de Gand. Le paysage belge lui fournit la scène pour Les Sept Princesses: une terre noire de marais, avec des chênes et des saules, des châteaux sombres sur des voûtes, et des canaux sinueux où flottent des cygnes. Le milieu mélancolique de Gand l’inclinait vers le fatalisme de ses premiers ouvrages. Il cherchait toujours la solitude; il aimait beaucoup le silence. Même les sports qu’il choisissait le menèrent d`être seu1: en été, il faisait de longues promenades en barque sur les sombres canaux, il fuyait en bicyclette au bord des grandes prairies solitaires; en hiver, il patinait. Il resta paysan toute sa vie. Il reçut son éducation au Collège des Jésuites aux bords de la Lys. Il détestait les Jésuites; leur enseignement religieux terrifiait son imagination de petit garçon sensible. La peur de l’enfer, qu’ils lui enseignaient laissa indélébile une marque sur sa vie, et sur son être. “On ne devrait pas avoir le droit,” disait-il, “de déformer ainsi de futurs hommes.” (l) Pour faire plaisir à ses parents, il devint avocat, mais son inaptitude à la profession juridique était bien apparente. Après son dernier procès: “C’est fini, je ne plaiderai plus [...]

No description available.