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Typologi och ordbildning.Melefors, Evert. January 1983 (has links)
Akademisk avhandling--Filologi--Uppsala, 1983. / Résumé en allemand. On a joint un résumé en anglais. Bibliogr. p. 216-232.
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Morphogénèse d'une banlieue : OrsainvilleParé, Yves. 07 November 2024 (has links)
L'objet d'étude de ce travail est la morphogénèse d'une banlieue : Orsainville. Par l'utilisation de la théorie de la forme urbaine, nous amorçons un questionnement qui nous fera plonger dans l'histoire. Cette insertion historique aura pour but d'essayer de retrouver des indices qui améliorera notre compréhension du paysage contemporain. Nous intéressant aux rapports qu'a l'homme avec son environnement, nous identifierons trois formes d'occupation, conséquentes de ces relations homme/nature qui déboucheront sur les « affrontements » ville/campagne : le rural, le villégiaturisme et le "r-urbain". Cette recherche se veut aussi un recueil de faits anecdotiques de documents historiques et photographiques pertinents qui semblaient importants de regrouper.
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Aménagement intérieur et fonctions de la maison rurale de l'Ile d'Orléans entre 1761 et 1767 : (d'après 25 inventaires après décès du greffe de Antoine Crespin, père)Gendreau, Suzanne Jean 11 April 2018 (has links)
La vie urbaine, la technologie, les activités humaines, les rapports production-consommation ont opéré une véritable révolution culturelle et sociale de sorte que les rôles et fonctions des individus à l'intérieur d'une communauté précise ont évolué. De même en est-il de la maison qui ne remplit plus les mêmes fonctions qu'autrefois. Celle-ci ne fait plus partie intégrante de l'activité "travail". La spécialisation des espaces et des tâches a amené les hommes et les femmes à s'éloigner de leur maison et à n'y revenir que pour les moments de détente. Mais cela n'a pas toujours été ainsi et tant que l'homme et sa famille travailleront à une même exploitation de type traditionnel (l'exploitation agricole est celle qui nous intéresse le plus), les fonctions que remplira la maison et les activités qu'elle englobera seront à l'image des rapports que la famille rurale entretiendra avec ses biens, son travail, ses animaux, sa production et sa consommation de biens qu'elle a produits ou qu'elle s'est procurés ailleurs. C'est ainsi que la maison rurale du XVIIIe siècle procède d'une occupation toute différente de celle de la maison moderne. Une vie différente appelait un rôle différent de la maison; donc, l'aménagement intérieur de la maison rurale dépend de l'activité rurale de ses occupants. Les contingences matérielles et culturelles sont autant de facteurs importants pour expliquer "l'habitation" de la maison au milieu du XVIIIe siècle. Considérons comme exemple de contrainte matérielle ou technique le facteur "chauffage": tant que les feux fermés n'ont pas été perfectionnés au point d'être très efficaces, la famille n'a pu habiter la maison sur deux étages et même se comprimait-elle dans une seule pièce en hiver pour ne perdre aucune énergie de chaleur. Quant au facteur culturel, ne citons comme témoin que l'organisation spatiale de l'exploitation rurale. Héritant en grande majorité d'une culture venue de l'Ouest français où la ferme en ordre lâche est privilégiée, c'est celle-là qu'on retrouve le plus ici: "d'une part une construction séparée ne servant qu'à l'habitation, d'autre part tous les autres bâtiments de la ferme qui sont souvent aussi nombreux qu'il y a "d'ateliers agricoles". Mais n'aurait-il pas été plus facile pour le cultivateur et sa famille d'opérer dans une maison en ordre serré (maison-bloc) où les lieux maison, grange-étable, écurie et poulailler sont réunis sous un même toit? L'hiver crée des problèmes de froid, d'enlèvement de la neige, de survêtements, etc. Peut-être aurait-on pu s'y soustraire en demeurant sous le même toit pour toutes ses activités. Si des problèmes d'ordre technique ou d'exploitation entrent en jeu telle que la nécessité d'avoir de très grandes granges dû au long hivernement des animaux, il n'en reste pas moins que le choix est important quant au type d'habitation et que la culture guidera ce choix. Pour vérifier l'occupation de la maison, nous avons étudié vingt-cinq inventaires après décès situés entre 1761 et 1767, à l'Ile d'Orléans. Pour voir comment était habitée la maison, nous avons considéré le nombre de pièces dans la maison, la situation de la cheminée, la présence d'un poêle, les pièces de mobilier et les objets concernant les différentes activités qu'on exerçait à l'intérieur, tout cela en essayant de situer les lieux d'activités différentes à l'intérieur de la maison. Cette étude essaiera donc de montrer comment on "habitait" la maison rurale au XVIIIe siècle, entre 1760 et 1767, à l'Ile d'Orléans, d'après les actes du greffe de Crespin. Nous essaierons de voir comment l'aménagement de la maison procède des activités exercées par ceux qui habitent les lieux. Nous voulons montrer quelle était la spécificité de la maison d'hier. Dans le premier chapitre, au moyen d'applications méthodologiques et de définitions, nous présenterons le type d'habitation qui a retenu notre attention. Le chapitre suivant sera consacré au principaux types d'aménagement intérieur de cette maison traditionnelle. Nous donnerons quelques généralités et particularités propres aux types dégagés, au point de vue des matériaux de l'architecture, de la grandeur et de l'organisation des aires d'activités. Le troisième chapitre fera état des activités de la maison en décrivant les principaux objets qui leur étaient associés / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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