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La monarchie et l'opposition islamiste au Maroc : le cas de Jamaat al-Adl wal-Ihsan

Eddaoui, Mohamed 15 November 2023 (has links)
L'Association al-Adl Wal-Ihsan (Justice et bienfaisance (AWI)) est un mouvement islamiste marocain d'orientation soufiste et un projet pacifiste de changement politique. En dépit de son refus de reconnaissance du statut religieux du monarque comme Commandant des croyants, et son refus de participer aux élections, la monarchie marocaine la tolère d'une façon inhabituelle. Certes, l'AWI souffre de certaines mesures répressives de la monarchie, mais ces mesures restent limitées. Les facteurs qui expliquent cette tolérance sont les principes idéologiques de la jama'a, à savoir le refus de la violence, de la clandestinité, et de la coopération avec des forces étrangères, ainsi que sa flexibilité et sa rationalité. La monarchie voit l'AWI comme un mouvement facilement pénétrable et parie sur sa cooptation avec le temps. Ces facteurs se convergent pour confirmer que l'AWI, et les acteurs islamistes en général, au Maroc, ne constituent pas un défi sérieux pour la monarchie. / The Association al-Adl wal-Ihsan (Justice and Benevolence (AWI)) is a Moroccan Islamist movement with a Sufi orientation and a pacifist project for political change. Despite its refusal to recognize the religious status of the monarch as Commander of the Faithful, and its refusal to participate in the electoral process, the Moroccan monarchy tolerates it in an unusual way. Admittedly, the AWI suffers from certain repressive measures of the monarchy, but these measures remain limited. The factors that explain this tolerance are the ideological principles of the jama'a, namely the rejection of violence, its refusal to operate underground, and its autonomy from foreign actors, as well as its flexibility and rationality. The monarchy sees the AWI as an easily penetrable movement and is betting on its co-optation over time. These factors converge to confirm that the AWI, and Islamist actors in general, in Morocco, do not pose a serious challenge to the monarchy.
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Le déclin de la gauche au Maghreb : le cas du Maroc

El Harchiche, Abdellah 02 February 2024 (has links)
La gauche marocaine a connu le même sort que les autres partis et organisations de gauche dans la majorité des pays arabes. Elle n’a pas su répondre aux aspirations populaires et transformer ses slogans en révolution en vue de conquérir le pouvoir. Après avoir porté le flambeau de l’opposition pendant des décennies, la gauche marocaine a progressivement perdu son ancrage auprès des masses populaires ainsi que son rôle de lutte contre le despotisme et l'oppression. En outre, elle a perdu son rôle social de défenseur des intérêts des travailleurs et des classes défavorisées. D’une force politique redoutable appuyée par des organisations étudiantes et syndicales, la gauche lutte pour sa survie. Elle n’a pas réussi à résister aux stratégies d’usure du régime qui a forcé certains membres des courants de gauche à abandonner leurs principes et à devenir des collaborateurs de l’autoritarisme. L’attitude adoptée par certains partis politiques de gauche durant le soulèvement populaire de 2011 est révélatrice de la fracture qui existe entre ces partis et la société civile. Outre leur rôle marginal et limité dans le Mouvement du 20 février dont le programme et les valeurs s’identifiaient pourtant aux idéaux de la gauche, certains dirigeants de partis ont manifesté de vives critiques et oppositions aux manifestants. Ils ont clairement exprimé leur refus de soutenir les revendications de ce mouvement qu’il sont qualifié de suspect. Ces soulèvements, à l’instar de ceux qui ont marqué l’histoire politique moderne du Maroc, ont dévoilé au grand jour l’incapacité des partis et des organisations de gauche à avoir une résonance auprès des bases populaires. Ce mémoire consiste à analyser les principaux facteurs qui sont derrière le repli de la gauche marocaine. / The Moroccan Left has faced the same fate as leftist parties and organizations of other Arab countries. It has failed to respond to the popular aspirations and transform its slogans into a revolution and conquer power. After having been the torchbearer of opposition for decades, the left-wing has gradually lost its anchorage amongst the masses and its role of fighting against despotism and oppression. Moreover, it lost its social role as a representative of the interests of the workers and proletarian class. After being a formidable political force supported by students and union organizations, the left is now fighting for its survival. It failed to resist to the regime wear and tear strategies that forced some members of the current left to abandon their principles and become collaborators of the authoritarianism. The attitude shown by some left-wing political parties during the popular upheaval of 2011 is a signal of the rupture between these left-wing parties and civil society. In addition to its marginal and limited role in the February 20th Movement which claims were close to the program and values defended by leftists, some leaders of left-wing parties manifested strong criticism and opposition to the protesters. They expressed clearly their rejection to support the movement’s demands and described theFebruary 20th Movement as suspicious. These popular uprisings like those that have marked the modern political history of Morocco, have revealed the inability of the parties and groups affiliated to the Left to appeal to popular bases. The aim of this thesis is to analyze the objective and subjective causes of the regression of the Left inMorocco.
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Le rôle de l'État et l'impact du contexte islamique sur l'évolution du Crédit populaire du Maroc, 1961-1995

Darhouani, Lahcen 24 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La municipalité de Fez à l'époque du Protectorat (1912-1956)

Yakhlef, Mohamed M.B.L. January 1990 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les politiques européennes de promotion de la démocratie: une analyse des rôles du Parlement et de la Commission dans les cas tunisien et marocain, 2006-2012 / European democracy promotion policies: an analysis of the Parliament and Commission's roles in Tunisia and Morocco, 2006-2012

Mouhib, Leila 26 March 2013 (has links)
Partant du constat de la constitution de la promotion de la démocratie comme enjeu des relations internationales et de politique étrangère, la présente recherche s’interroge sur les politiques menées en la matière par l’Union européenne dans le cadre des relations avec ses voisins méditerranéens, particulièrement le Maroc et la Tunisie. L’analyse se concentre sur l’Instrument européen pour la démocratie et les droits de l’homme, sur la période 2007-2012.<p>L’objectif est de comprendre et d’expliquer les pratiques des différents groupes d’acteurs impliqués dans ces politiques, au sein de la Commission (DG Relex/SEAE, DG Devco, délégations) et du Parlement (sous-commission DROI).<p>La position défendue est la suivante :les pratiques européennes de promotion de la démocratie au Maroc et en Tunisie sont fonction de l’identité des groupes institutionnels qui les mettent en œuvre. Pour chaque groupe institutionnel, peuvent être mis en évidence des normes, intérêts et ressources qui contribuent à défendre et renforcer l’identité institutionnelle. Dès lors, des pratiques qui peuvent paraître incohérentes au premier abord (pourquoi agir au Maroc et pas en Tunisie ?pourquoi créer l’IEDDH et, parallèlement, évincer l’objectif de promotion de la démocratie de la coopération bilatérale avec la Tunisie ?) prennent tout leur sens lorsqu’on parvient à restituer la fonction sociale qu’elles assurent.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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