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L'Ordre de la Merci en France, 1574-1792 : un ordre voué à la libération des captifs /Cocard, Hugues, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire. / Bibliogr. p. 273-304. Glossaire. Index.
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Thanking in Shakespeare's World : Thanking in Shakespeare's World / Le Remerciement dans le Monde de Shakespeare : contextes et Etudes de CasBeloufa, Chahra 10 November 2017 (has links)
Le Remerciement dans le Monde de Shakespeare : Contextes et Etudes de CasDans cette thèse nous explorons ce que le remerciement signifie à l’époque élisabéthaine et comment il se manifeste. Aussi nous analysons le remerciement tel qu’il est défini dans les dictionnaires d’e l’époque. Nous examinons également les textes religieux, les manuels de courtoisie, les traités de rhétorique qui mentionnent l’acte de remerciement. Après analysé ce contexte, nous abordons le remerciement comme acte de langage à la lumière de la pragmatique.On définit l’existence réelle du mot à partir de son degré d’influence sur le monde réel. Une simple combinaison de mots a le potentiel d’altérer une situation, n’importe laquelle. L’étude du pouvoir de la parole s’est inscrite dans le cadre théorique de ce que l’on appelle « la pragmatique ». Plus précisément, le concept « d’acte de langage » a été exploré non seulement dans la pragmatique mais aussi dans diverses disciplines ; telles que la philosophie du langage et aussi les études littéraires et théâtrales.Catherine Kerbrat Orecchioni (1984) a établi une distinction entre trois types de pragmatique : « énonciative », « illocutoire » et « conversationnelle » . Nous nous proposons d’étudier la seconde théorie qui est la pragmatique illocutoire où les valeurs illocutoires d’un énoncé sont parfaitement exploitées. Dans notre propos, les contextes d’énonciation que nous avons sélectionnés ne sont pas ordinaires. Car notre étude porte sur des fragments théâtraux tirés de Shakespeare avec leur complexité et leur particularité. Le théâtre est bien un lieu où dire est par excellence faire. Donc la parole dramatique est mise au service de l’action. Promettre dans un contexte réel peut s’accomplir différemment sur scène. En prenant l’hypothèse que le langage sert à faire avancer l’action, nous allons nous intéresser au « thank you » qui signifie «merci » en français dans les pièces de Shakespeare tout en étudiant les contextes d’énonciation du remercîment au cours de la période élisabéthaine. Notre objectif est de voir comment les différents concepts de la pragmatique élaborés permettent de dévoiler certains aspects pertinents du remerciement typiquement shakespearien. Cette forme d’analyse alimentera notre réflexion afin d’éclaircir la fonction du remerciement au théâtre. Il est aussi indispensable d’observer les modes de réalisation du remerciement de ces différentes scènes ainsi que le ton et le contexte. Dans un premier temps, l’élucidation de notre concept principal est primordiale. Que veut donc dire « remercier » ou de quoi s’agit-il quand on parle d’un acte de remerciement ?D’après l’Oxford English Dictionary (OED ), « thanks » veut dire : « to express gratitude or obligation to »; « to give the thanks or credit for something to consider or hold responsible »; « ironical use to blame »; « thank you for nothing an ironical expression indicating that the speaker thinks he has been offered nothing worth thanks ». On a aussi le « thank offering » qui a été utilisé en 1536 qui est expliqué « in the Levitical law, an offering presented as an expression of thankfulness or gratitude to god; hence an offering or gift made by way of thanks or acknowledgement ». Dans les textes de Shakespeare le terme « thank » a été employé sous plusieurs formes. Nous citons « thank, thankful, tank, dank, thanks ». On trouve bien aussi « gramercy » qui veut dire « grand merci ». Selon the Harvard Concordance le mot « thank » a été employé trois cent quarante-six fois et « thanks » deux cent deux fois. Citons comme example « Sir, you may thank yourself for this great loss » (TMP, 2.1.124), « I thank god and my cold blood” (ADO, 1.1.130). “I am even poor in thanks but I thank you (HAM, 2.2.273). On trouve aussi le le terme Allemand « dank » qui a aussi été utilisé pour remercier dans « by gar, me dank you for dat » (WIV, 2.3.90). / Scenes of Thanking in Shakespeare’s World examines how Shakespeare makes of the word “thanks” and the expression “thank you” a dramatic art of thanking in his plays. Through this research, thanking scenes are selected according to the frequency of the word “thanks”. However, the occurrence of the word solely does not define a scene of thanking. Shakespeare’s plays incorporate verbal and non-verbal thanking. Verbal thanking occurs as a speech act or a polite answer to acknowledge or praise a benefit received, while a non-verbal thanking is sometimes presented under forms of social rituals and practices such as gift giving, sacrifice, prayer and religious songs. This thesis’ corpus is composed of history plays, Romeo and Juliet, All’s Well that Ends Well, Pericles, Timon of Athens, Coriolanus, and The Winter’s Tale. This selection is based on some criteria considered by the researcher, such as the frequency of the word in the scene or the play and its role in the plot or characters’ state of mind. Shakespeare artfully makes thanking an iconic code on the stage, creating conventionalised forms, expressions and contexts for it to be uttered.
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Réhabiliter les "brebis égarées" : la prison des femmes de Québec (Refuge Notre-Dame de la Merci des Soeurs du Bon-Pasteur de Québec), 1931-1972 / Réhabiliter les « brebis égarées »Francoeur, Julie 21 February 2019 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2018-2019 / Le Refuge Notre-Dame de la Merci a ouvert ses portes en décembre 1931. Tenu par les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec jusqu’en 1972, l’établissement fait office de prison pour femmes à Québec. Ce mémoire vise à cerner les méthodes d'intervention de la Congrégation des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec auprès des prisonnières, et ce, au regard des caractéristiques des femmes incarcérées qui influencent les modèles de réhabilitation proposés par les religieuses. Le Refuge, tout en s’inscrivant dans le réseau d’institutions développées par les Sœurs du Bon-Pasteur depuis 1850, est une institution judiciaire qui vise la répression de la déviance féminine et la réhabilitation des femmes selon les représentations de la féminité et des rôles féminins en vigueur au milieu du XXe siècle. L’institution fournit plusieurs formes d’assistance envers les femmes, donnant aux prisonnières des services peu accessibles autrement avant l’étatisation des services sociaux dans la décennie 1970. L’étude trace également un portrait de la déviance féminine représentée à la prison de Québec à partir des registres d’écrou de l’institution. Les Sœurs du Bon-Pasteur, employées du gouvernement provincial dans ce contexte, disposent d’un pouvoir d’action non-négligeable dans l’organisation de l’horaire quotidien des détenues et dans l’implantation d’activités réhabilitatrices. La teneur de ces activités, axées sur la pratique religieuse et l’apprentissage de travaux ménagers, reste fortement influencée par des stéréotypes genrés déterminant des comportements prescrits, tout en favorisant la diffusion des connaissances spécialisées et l’adoption d’une éthique de travail utiles pour les femmes à leur sortie de prison.
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Weibliche Dandys, blickmächtige Femmes fragiles : Ironische Inszenierungen des Geschlechts im Fin de Siècle /Stauffer, Isabelle. January 2008 (has links)
Univ., Diss.--Zugl.: Zürich. / Erscheint vorauss. Oktober 2008.
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