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Die Chinesische Revolution in der Berichterstattung der Basler Mission /Rüegg, Willy, January 1988 (has links)
Diss.--Zürich--Philosophische Fakultät 1, 1988. / Bibliogr. p. 419-430.
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L’oeuvre italienne de Matteo Ricci : anatomie d’une rencontre chinoise / Matteo Ricci’s Italian Work : Anatomy of a Chinese EncounterAvarello, Vito 25 March 2011 (has links)
Cette recherche a pour objet l’étude de la question de la rencontre dans l’œuvre italienne de Matteo Ricci, à partir d’une lecture biographique des Lettere et du Della entrata della Compagnia di Giesù e Christianità nella Cina. Le propos entend ajouter à la figure de l’écrivain sino-chrétien, celle d’un Matteo Ricci auteur d’une œuvre italienne digne intérêt, tant d’un point de vue civilisationnel que littéraire. Notre démarche s’appuie sur une lecture de ses écrits comme anatomie de sa rencontre avec le Céleste Empire et comme biographie d’un voyage littéraire, ce corpus étant appréhendé comme phénoménologie littéraire de la rencontre. Une réflexion autour du concept d’altérité permet d’analyser les textes ricciens en tant que biographie d’un regard particulier sur la Chine et les Chinois, une vision qui promeut, à partir d’une interprétation humaniste et chrétienne, la rencontre sensible avec l’Autre lointain, portée par le désir. Nous avons voulu mettre en évidence la façon dont Matteo Ricci, au fil de son œuvre missionnaire et littéraire, élabore une nouvelle herméneutique du monde chinois, en rupture avec l’imagologie issue de l’Europe médiévale. Le dernier volet de notre analyse entend l’écriture de Ricci comme la biographie d’une parole et comme la proposition d’une mystique et d’une esthétique de la rencontre. Fidèle à la tradition chrétienne, il redéfinit néanmoins les rapports entre l’Occident et l’altérité païenne par la promotion d’un nouveau langage : l’inculturation. D’un point de vue littéraire, son écriture propose une démarche stylistique singulière qui mêle esthétique du divers, historiographie en tension vers l’épique et apologétique chrétienne. / This thesis aims at studying the question of the encounter in Matteo Ricci’s Italian work, starting from a biographical reading of Lettere and of Della entrata della Compagnia di Giesù e Christianità nella Cina.This study supplements the figure of the Sino-Christian writer with that of Matteo Ricci as the author of an Italian work that is worthy of interest both from the point of view of civilisation and of literature. My approach relies on a reading of his writings as an anatomy of his encounter with the Celestial Empire and as a biography of a literary travel, the set of texts being apprehended as a literary phenomenology of the encounter.Reflecting on the concept of alterity allows one to analyse Ricci’s texts as the biography of a particular look on China and Chinese people — a vision which, from a Humanist and Christian interpretation, promotes the tangible encounter with a distant Other, born by desire. Throughout his missionary and literary work, Matteo Ricci constructs a new hermeneutics of the Chinese world that breaks away from the imagology produced by medieval Europe.The final section of the analysis envisages Ricci’s writing as the biography of a discourse, as putting forward a religious interpretation and an aesthetics of the encounter. Being faithful to the Christian tradition, he however redefines the relationships between the Western world and pagan otherness by promoting a new language — inculturation. From a literary point of view, his writing proposes a singular stylistic approach, one that mingles aesthetic diversity and historiography which gestures towards the epic and Christian apologetics.
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Le rôle des cinq jésuites Mathématiciens de Louis XIV en Chine aux XVIIe et XVIIIe sièclesDesbiens, Frédérick 23 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016 / La France du XVIIe siècle s’ouvre sur le monde et Louis XIV pose son regard sur l’Asie. Point important du développement politique et économique des puissants royaumes d’Europe, plusieurs régions asiatiques figurent au centre des ambitions politiques et économiques des royautés européennes, dont le Japon, l’Inde et la Chine. Dans l’objectif de servir les désirs d’expansion du roi français, Jean-Baptiste Colbert (1619-1683) orchestre une mission en Asie, avec comme principal but, l’établissement de missionnaires jésuites français en Chine. Ces ardents religieux et intellectuels aguerris ont pour mandat de contribuer à l’édification de l’Église de Chine par la diffusion du christianisme et le développement d’un clergé français. De plus, les jésuites français, membres de l’Académie royale des sciences de Paris, ont pour mission d’étudier la Chine en profondeur et parfaire les connaissances européennes de ce pays lointain en divers domaines, notamment pour la géographie, les sciences, la politique, la faune et la flore, l’urbanisme, la langue et biens d’autres sujets. Enfin, les missionnaires doivent représenter la France auprès de l’empereur Kangxi dans l’objectif de développer des relations diplomatiques entre les deux royaumes.
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Étude comparée des missions médicales de Norman Bethune en Espagne et en Chine (1936-1939)Dufour-Bergeron, Pierre-Luc 23 April 2018 (has links)
Dans la seconde moitié des années 1930, de nombreux conflits éclatent dans le monde. La Guerre civile espagnole, qui oppose le gouvernement républicain et les troupes nationalistes du général Francisco Franco, débute en 1936. En 1937, c’est la Seconde Guerre sino-japonaise qui débute en Asie. Les besoins médicaux sont alors énormes dans les deux cas. Le médecin canadien Norman Bethune se rend successivement en Espagne et en Chine afin d’y apporter sa contribution professionnelle. Il se retrouve alors confronté à des conditions médicales aux antipodes de ce qu’il avait connues dans sa pratique antérieure. À Madrid, il développe son unité mobile de transfusion sanguine, une solution permettant d’acheminer d’importantes quantités de sang d’un hôpital à l’autre et de soigner plusieurs soldats blessés au front. Dans le nord de la Chine, région contrôlée par les communistes, il doit cependant en faire beaucoup plus. Il invente notamment des instruments, prend en charge la formation du personnel médical, met sur pied un hôpital-école et pratique un très grand nombre d’opérations. Bien qu’il se dévoue à sa cause dans les deux cas, il devient, après sa mort, un héros national en Chine mais pas en Espagne. Plusieurs points expliquent pourquoi et comment ses missions se sont déroulées de façon totalement différente et pourquoi les résultats n’ont pas été les mêmes dans les deux pays.
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Le financement canadien-français de la mission chinoise des Jésuites au Xuzhou de 1931 à 1949C. Fleury, Samuel 20 April 2018 (has links)
Les Jésuites du Québec œuvraient à l'accomplissement de la mission chinoise de Xuzhou que le Saint-Siège leur confiait en 1931. Ceux-ci captaient le soutien de nombreux bienfaiteurs canadiens-français gagnés aux causes missionnaires. Un musée d'art chinois et la revue missionnaire Le Brigand étaient les principales publicités de leurs activités en Chine. De juin 1931 à août 1950, plus de 1,1 million de dollars canadiens était donné à l'Église du Xuzhou via la Procure des Missions Étrangères de Chine, une institution jésuite fondée à Québec pour financer la mission. La pauvreté, les imprévus climatiques et l'instabilité politique maintenaient la communauté catholique du Xuzhou dans un état de dépendance face aux dons de l'Église canadienne-française. Favorisant le financement des institutions d'enseignement de l'Église du Xuzhou, les Jésuites du Québec ont formé peu de prêtres chinois avant leur expulsion de la Chine par le Parti communiste chinois à partir de 1949. / The Quebec Jesuits were given the Chinese mission of Xuzhou by the Holy See in 1931. They were supported by many French Canadian donors convinced of the importance of missionary causes. A museum of Chinese arts and the missionary review Le Brigand were the principal publicity of their activities in China. From June 1931 to August 1950, more than 1.1 million of Canadian dollars were given to the Church of Xuzhou by the Procure des Missions Étrangères de Chine, a Jesuit institution founded at Quebec to fund the mission. Poverty, climate instability and political insecurity maintained the Catholic community of Xuzhou in a state of dependence towards the French Canadian Church's generosity. Prioritizing the financing of the schools of the Church of Xuzhou, the Quebec Jesuits trained few Chinese priests before their exile of China by the Chinese Communist Party, starting in 1949.
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