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A II Guerra Mundial no teatro de revista português (1939-1945)Carvalho, Maria Lúcia da Silva Oliveira January 1995 (has links)
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From golden age to silver screen: French Music-Hall Cinema from 1930-1950Bias, Rebecca H. 13 July 2005 (has links)
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Démystification et réhabilitation des héroïnes de music-hall chez ColetteMatte, Virginie January 2006 (has links) (PDF)
S'appuyant sur les théories féministes, cette recherche vise à se questionner sur la démystification des héroïnes de music-hall ainsi que sur la fabrication des traits sémantiques qui participent à leur réhabilitation dans cinq textes de Colette: Music-Halls (dans le recueil Les Vrilles de la vigne, 1908), La Vagabonde (1910), L'Envers du music-hall (1913), Mitsou ou Comment l'esprit vient aux filles (1919) et Gribiche (dans le recueil Bella-Vista, 1937). Après avoir effectué une présentation des textes à l'étude ainsi qu'une synthèse du music-hall parisien de la Belle Époque, nous montrerons comment Colette crée une corporéisation de ses héroïnes qui révèle le malheur et la souffrance (sous-alimentation, exposition aux températures excessives, surmenage, maladie, pleurs, etc.) remettant en cause la représentation de certains idéaux corporels de la féminité exacerbés dans l'univers du spectacle (minceur, activité, santé, sourire, etc.).
Ensuite, nous allons démontrer comment les états sociaux des héroïnes sont novateurs et transgressifs en ce qu'ils s'opposent à la conception traditionnelle qui cantonne la féminité aux situations de mère et d'épouse. Colette défie la fixité de l'ordre patriarcal en négociant pour ses héroïnes un espace fictionnel pour les identités féminines plurielles: travailleuses à l'extérieur du foyer au music-hall, mères hors du mariage, divorcées et célibataires. À partir de ce mouvement subversif qui anticipe sur l'Histoire, nous verrons comment les préjugés sociaux marginalisent les personnages. Après avoir étudié la démystification des héroïnes de music-hall sur les plans corporel et social, nous verrons, au troisième chapitre, comment l'écriture de Colette témoigne de sa filiation avec les héroïnes dans le plaidoyer qu'elle formule en leur faveur: en fabriquant pour ses anciennes compagnes de métier des traits sémantiques positifs (résistance, fierté, vaillance, etc.) dont l'effet est de les valoriser, Colette renouvelle leur image et détermine leur réhabilitation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Colette, Music-hall, Féminisme, Démystification, Réhabilitation.
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Musique et spectacle : le théâtre lyrique arabe : esquisse d'un itinéraire, 1847-1975 /Garfi, Mohamed, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Musicologie--Paris 4, 2000. Titre de soutenance : Les formes de composition dans le théâtre lyrique arabe. / Bibliogr. p. 492-496.
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A Coal Miner's ShadowPelissero, Adam 09 July 2012 (has links)
Light and shadow have the capacity to move us emotionally and create atmospheres that allow us to better understand stories. This thesis explores how light and shadow can propel the design of a music hall and museum space to commemorate the miners that lived and worked in the former industrial landscapes of Cape Breton, Nova Scotia, Canada.
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American popular stage music, 1860-1880Root, Deane L. January 1900 (has links)
Revision of thesis (Ph. D.)--University of Illinois, 1977. / Includes index. Bibliography: p. [253]-257.
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Déshabiller la danse : Les scènes de café-concert et de music-hall (Paris, 1864-1908) / Undressing the dance : Café-concert and music-hall scenes (Paris, 1864-1908)Paillet, Camille 21 June 2019 (has links)
À mi-chemin entre un café, un jardin d’agrément, un bal et une scène théâtrale, les cafés-concerts et les music-halls représentent les divertissements les plus importants du XIXe siècle. Espaces spectaculaires qui accueillent des sociabilités hétérogènes et qui combinent une double fonction artistique et festive, l’identité socioculturelle de ces nouveaux loisirs s’est d’abord élaborée par opposition au statut du lieu d’art. Le postulat de la rareté des répertoires et des artistes issus des cafés-concerts et des music-halls dans l’historiographie des arts scéniques, et dans la transmission des savoirs en danse, nous a conduits à enquêter sur les raisons et les enjeux de cette mise à l’écart. « Lieux dangereux et vulgaires », « spectacles immoraux », « artistes insipides », sont les expressions symptomatiques d’une perception négative fondée sur un ensemble idéologique qui concourt à dessiner les contours d’une illégitimité culturelle. Une première étape de la recherche vise à analyser les principes de distinction sociale et de hiérarchisation artistique en œuvre dans le processus de délégitimation des cafés-concerts et des music-halls, en puisant dans les sources produites par les institutions en charge du contrôle des spectacles au XIXe siècle. Catégorisés en tant qu’objets populaires, les arguments déployés par les instances administratives et la police des théâtres révèlent en premier lieu le fondement d’une idéologie de classe, focalisée sur les origines prétendues populaires de ces divertissements. Entre le Second Empire et la Troisième République, l’histoire des cafés-concerts et des music-halls est traversée par un phénomène de féminisation qui bouleverse les pratiques et les représentations associées à ces espaces et participe à resémantiser leurs premières attributions sociales et symboliques. La seconde phase de ce travail s’intéresse aux effets d’un processus qui interagit sur les plans socioculturel, professionnel et symbolique par une présence féminine érotisée et qui tend à bâtir la catégorie du divertissement comme appartenant au genre féminin. Afin d’interroger les échanges entre altérités féminines et corporéités populaires sur les scènes des cafés-concerts et des music-halls durant la seconde moitié du XIXe siècle, la thèse mobilise deux catégories d’artistes féminines — les effeuilleuses et les danseuses de chahut-cancan — réunies autour d’un geste scénique et érotique commun : le déshabillage. L’étude de ce geste ouvre un troisième champ de questionnements sur les rapports entre l’érotique et l’illégitime dans les pratiques professionnelles de femmes qui exercent un métier artistique au sein d’un lieu spectaculaire à la fois déconsidéré et hautement érotisé. À travers les différentes étapes qui jalonnent cette recherche, la réflexion cherche à rendre compte de l’impact du déshabillage érotique sur la sensibilité d’une époque, sur le statut social des femmes, mais également sur les mouvements internes de professionnalisation des artistes de café-concert et de music-hall au XIXe siècle, et plus globalement, sur l’héritage historiographique de ces divertissements. / Halfway between a café, a pleasure garden, a ball and a theatrical stage, café-concert and music hall are the main entertainment places in the 19th century. Spectacular spaces that welcome heterogeneous sociability and combine a dual artistic and festive function, the socio-cultural identity of these new leisure activities was first developed as opposed to the status of the art place. The postulate of the rarity of repertoires and artists from café-concert and music hall in the historiography of performing arts, and in the transmission of knowledge in dance, has led us to investigate the reasons of this exclusion and the issues at stake. "Dangerous and vulgar places", "immoral performances", "insipid artists", are symptomatic expressions of a negative perception based on an ideological set that contributes to drawing the contours of cultural illegitimacy. The first stage of the research consists in analysing the principles of social distinction and artistic hierarchy in the process of delegitimization of café-concert and music hall, based on the sources from the institutions responsible for controlling 19th century performances. Categorized as popular objects, the arguments put forward by the administrative authorities and the theatre police reveal first and foremost the basis of a class ideology, focused on the supposedly popular origins of these entertainments. Between the Second Empire and the Third Republic, the history of café-concert and music hall was marked by a phenomenon of feminization that disrupted the practices and representations associated with these places and helped to redefine their first social and symbolic attributions. The second stage of this work focuses on the effects of a process that interacts socioculturally, professionally and symbolically through an eroticized female presence, and that tends to build the entertainment category as belonging to the female gender. In order to question the exchanges between female otherness and popular corporealities on the stages of café-concert and music hall during the second half of the 19th century, the thesis focuses on two categories of female artists — the effeuilleuse (strippers) and the chahut-cancan dancers — gathered around a common scenic and erotic gesture: undressing.
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Rekonstrukce multifunkčního sálu hudební školy s důrazem na akustiku / Reconstruction of the multifunctional room music school with an emphasis on acousticsSehnal, František January 2020 (has links)
The aim of the diploma thesis was to design the reconstruction of the music hall in the existing building of the private music school D-Music. The building is located in Kromeriz, cadastral area Kromeriz. I emphasize the design from the perspective of acoustics. The thesis also evaluated the noise load from the adjacent road II. class, for design hole fillings. It is a five-storey building with one underground and four above-ground floors. The music hall is located on the first floor and is designed multifunctionaly - for music with mobile acoustic absorbers for speech.
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“A Mere Clerk”: Representing the urban lower-middle-class man in British literature and culture: 1837-1910Banville, Scott D. 24 August 2005 (has links)
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Music Hall and the Age of Resistance / Music Hall and the Age of Resistance: A Study of the Censorship Practices Which Influenced the Form of the Victorian Music Hall Leading to the 1912 Royal Command Performance and BeyondFeldner, Kirsten January 2019 (has links)
Building on Penelope Summerfield’s argument that the end of the Victorian music hall in the early twentieth century signaled not “death” but a class-conscious evolution of the genre prompted by a “process of deliberate selection later made to look natural and inevitable,” this project examines the acts of censorship and resistance which characterised the final years of the Victorian music hall. Selecting the 1912 Royal Variety or Royal Command Performance as the “end” point of the genre, and limiting my focus to London music halls, this project examines competing aims of working, middle, and upper class participants: it suggests that the upper-class aspirations of the managers of London’s music halls, paired with middle-class moral desire for social control over the working-classes, eventually enforced by the London County Council in the mid-late nineteenth century, saw the rise of “respectability” in the genre while severing its ties to London’s working classes. Juxtaposing ephemeral evidence produced by or focused on London music halls in the late nineteenth century (leading up to and including the 1912 Royal Command Performance) with contemporary research on the classed nature of social control and censorship practices, this thesis intends to make the classed-struggle for power and ownership over the identity of London’s music halls evident. In doing so, the thesis alludes to the potential success of a third wave of music hall or the neo-music hall, to replace out-dated reflections of the music hall revival sparked by “The Good Old Days” and nostalgia post World War II. / Thesis / Master of Arts (MA) / This thesis pairs an analysis of meeting minutes, newspaper articles, song-sheets, and theatrical programmes from London’s Victorian music halls with contemporary music hall scholarship and studies of censorship to add to the discussion of the genre’s “end” or “death.” Using the work of Judith Butler, this thesis is divided into a study of how censorship transformed the music hall’s landscape, content, and culminating performance from its onset. As a result, this thesis argues that the controlling factors which shaped the genre led to what other music hall scholars have considered its end. By identifying the styles and modes of censorship used in the evolution of the English music hall genre, and in in-period methods of resistance to social control, this project suggests the radical potential of the music hall form as a contemporary style of theatre.
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