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Imaginaire mythique de l’Afrique subsaharienne à l’âge classique / The imaginary mythical sub-Saharan Africa of the classical age

Alves Vaz, Paulo 29 November 2013 (has links)
Différents voyageurs ont décidé de leur fait ou de par leurs obligations gouvernementales, religieuses ou commerciales de visiter et d’explorer l’Afrique. Ce qu’ils ont pu observer de la population des côtes va être généralisé aux peuples de toute l’Afrique. Dès leur arrivée, les voyageurs sont frappés par la différence qui existe, entre la population africaine, la faune et la flore et celle du reste du monde. La découverte d'un monde différent est très certainement à la source de la fascination pour l’Afrique. L’Afrique est seule capable, de produire des prodiges au niveau de la nature, des royaumes et de leurs souverains, ainsi que des animaux et des hommes. C’est de l’observation et de l’écriture que naissent les mythes. Alors que l’Afrique est décrite comme un continent avec des peuples pauvres, ignorants, superstitieux, de sauvages et d’anthropophages, les auteurs font part de terres où les pierres précieuses et l’or poussent à même le sol, quand ils ne sont pas transbordés après la pluie par les fleuves en crue. Dans les terres inconnues, au-delà de la domination de l’Islam, se conçoit l’existence de régions fabuleusement riches en or, authentiques paradis terrestres. Là est localisé l’Ophir de Salomon, mais aussi le royaume de la Reine de Saba, riche en or et encens. C’est là que se trouve, quelque part, l’Empire du Royaume du Prêtre Jean, symbole d’une chrétienté idéale, mais aussi le fabuleux royaume du Monomotapa, dirigé par le Mwenemutapwa, où habitent les Amazones. / Different travellers decided to visit and explore Africa either on their own or because of government, religious or commercial obligations. They had various motivations : some were really interested in this continent and wanted to know more about it, others went there to satisfy a desire of discovery and to share unknown lands for trade. As soon as they arrived visitors were struck by the difference - in physionomy - between the African population and the rest of the world. Travel stories - reports of bygone days - bring back the African peoples who were seing white people for the first time. The discovery of a new world, its exploration and literature are the root of the fascination for Africa. In this context the representation and the enchantment - that Sub-Saharan Africa aroused in the collective imagination of the Classical Age travellers - will be studied. Africa has become over the centuries a name which sounds mysterious, suggesting to the minds of men a stream of unusual landscapes. Myths were born from the observation of unknown lands through writing. In fact thanks to different travellers from previous centuries Africa shows in the collective imagination of Europeans from the 16th, 17th and 18th centuries two mythical and real pictures, opposed but complementary. This continent is described as a huge desert territory filled with fabulous beings where precious stones and gold grow or are washed away by the rivers flooded after rain. Africa is then described as a contintent with poor, ignorant, superstitious peoples : savages and cannibals. Everything looks different for travellers : men, civilisations, plants and lands so myths linked with Africa sprouted from them. The symbolic value of the myth is transferred in travel books and provide a common background of marvellous pictures.
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Le Christianisme dans l'oeuvre de Chinua Achebe. / Christianity in Chinua Achebe's writings.

Yombe, Giscard Vivien 28 March 2017 (has links)
Cette thèse s'ajoute aux rares études consacrées à la dimension religieuse et spirituelle dans les écrits de Chinua Achebe (1930-2013). Etudier le christianisme dans l'oeuvre d'Achebe, c'est prendre part, en compagnie de l'auteur de "Morning Yet on Creation Day", à ce qu'il désignait par 'my ritual return and homage'. Ce rite, loin d'être un retour aveugle aux sources natales et une exaltation du passé, est au contraire une cérémonie pénitentielle et oecuménique qui relie le passé, le présent et l'avenir, et s'ouvre aux valeurs spirituelles africaines et chrétiennes pour relever les défis du monde contemporain. Tel est l'alpha et l'oméga de la vocation littéraire et artistique. Né au Nigeria dans une famille ibo convertie au christianisme anglican pendant l'époque coloniale, baigné dans la révélation chrétienne dès sa tendre enfance, Albert Chinualumogu Achebe de son vrai nom, ne fut pas un homme d'Eglise mais un écrivain de la fidélité et de l'espérance. Chinua Achebe n'a cessé de revendiquer son enracinement africain et en même temps sa foi chrétienne. Dans son oeuvre, les références à la Bible sont légion et, la tradition animiste africaine (héritage précolonial) et la religion chrétienne (héritage colonial) s'opposent, s'interpénètrent et dialoguent.Auteur engagé et à la pensée complexe, Achebe récuse un christianisme dépourvu de sa substance qui fornique avec l'hydre impérialiste. Loin d'être rigide comme un 'ikenga', l'auteur reconnaît et se laisse "visiter" par l'esprit du christianisme qui brise les chaînes du désespoir et des pesanteurs d'ici-bas. La vision du romancier est une vision d'espoir, de libération socio-politique, économique et culturelle qui se moque des certitudes absolues, des fanatismes paralysants et des pensées uniques. L'artiste et l'oeuvre, le sujet et l'objet, à l'instar du pénitent, entreprennent une odyssée thérapeutique afin d'atteindre la plénitude de l'être et de la communion avec le Cosmos. / To study Christianity in Chinua Achebe's writings is to perform a ritual ceremony. Such a ceremony was known as 'my ritual return and homage' by the author of "Morning Yet on Creation Day". It is not a mere homecoming and recover of the African past, but it is above all an act of atonement which binds past, present and future throughout the ritual of penitence and therapeutic ecumenism. In the writings of the novelist, animistic precolonial heritage and christian colonial one collide and open up in a philosophical and spiritual dialogue. Albert Chinualumogu Achebe was born in an igbo family converted to Anglican Christianity during colonial Africa. Far from being frozen as an 'ikeng', the writer never rejected his chritian heritage. The protest and complex writer simply condemned colonial Christianity brought by the missionaries who came to save children of darkness. He recognizes however the essence of Christianity and the Gospel taught by Jesus that gives Hope and sets free all men and women, Jews and Gentiles.The prophetic vision of the writer is a vision of a political, economic and social liberation. Human values contained in Christian as well as in African beliefs ought to conscientize and transcend the foibles of modernity. Like a penitent, Art and the artist, the objet and the subject undergo a spiritual voyage to reach harmony within the entire universe.

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