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La Politique étrangère de la République de Zambie /

Rham, Gérard de. January 1977 (has links)
Thèse--Sc. pol.--Lausanne, 1976. / Bibliogr. p.251-269.
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La démocratie en Afrique subsaharienne le cas du Cameroun

Demers-Labrousse, Nicolas January 2012 (has links)
La démocratie est actuellement perçue comme le mode de gouvernance par excellence à travers le monde. En Afrique, les années 1990 furent marquées par un élan de démocratisation traversant presque tout le continent. Ce changement politique entraîna dans bien des pays du continent noir la naissance du multipartisme, des modifications aux constitutions, des élections plus justes et mieux encadrées, bref, une meilleure qualité démocratique. Toutefois, cette démocratie est loin d'être parfaite et bien des problèmes subsistent notamment au niveau de la passation de pouvoir ainsi qu'au niveau du caractère occidental du développement de ces démocraties. Pour étudier cette situation, nous concentrerons notre recherche sur l'analyse de la démocratie dans l'État camerounais. Partant de la question à savoir quels sont les facteurs qui influencent la pratique de la démocratie au Cameroun, nous chercherons à dresser un bilan politique de cet État et de tirer des conclusions qui pourraient tout aussi bien s'appliquer à d'autres pays d'Afrique subsaharienne. L'incursion dans l'historique liée à l'émergence des différentes formes et manifestations de processus démocratique en Afrique nous démontre que chacune des périodes a contribué au développement d'un aspect de la situation politique actuelle. Nous voyons aussi que le poids des facteurs extérieurs tels que les puissances occidentales et les institutions économiques (FMI et BM) a un impact direct sur l'exercice de la démocratie dans ces États africains. Au Cameroun, notre pays à l'étude, il nous apparaît clairement que malgré des progrès considérables dans les domaines de l'ouverture au multipartisme, à la liberté de presse et d'association, des entraves majeures entachent encore le processus démocratique. De celles-ci, nous pouvons penser au manque d'alternance au pouvoir et aux fraudes électorales. Notre analyse nous permet aussi de croire qu'une démocratie plus directe, moins représentative, davantage basée sur la tradition et sur les valeurs traditionnelles africaines permettrait une meilleure intégration du système politique de ces États. Finalement, ce travail propose une piste de réflexion sur l'avenir politique du Cameroun, en y reconnaissant les tenants et aboutissants.
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Optimisation des paramètres économiques d'emballages écologiques pour le transport de fruits et légumes en Afrique subsaharienne

Kiemde, Sountongnoma Martial Anicet 29 June 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / La lutte contre la faim est un défi majeur en Afrique subsaharienne. En effet, 24,1 % de sa population souffre de sous-alimentation, et la malnutrition touche plus d'un tiers des enfants de moins de cinq ans. Malgré le fait que la production de fruits et légumes ne cesse de croitre, le problème ne s'améliore pas, car les producteurs d'Afrique subsaharienne font faces à des grosses pertes. Plusieurs solutions sont proposées et déployées pour réduire ces pertes, notamment l'utilisation d'emballages de protection. Cette étude vise à analyser la rentabilité de l'emballage notamment l'emballage biosourcé pour la réduction des pertes des fruits et légumes durant le transport pour le cas de Ouganda. Un état de l'art des pertes de fruits et légumes en Afrique Sub-Saharienne est proposé. Il s'agit précisément d'identifier les causes des pertes, les conséquences, les différentes solutions déployées rencontrées dans la littérature et la cartographie des solutions d'emballage utilisées pour la réduction des pertes. A l'aide de la cartographie des acteurs de la chaîne de valeur des fruits et légumes, de leurs influences pour l'adoption d'emballages et une analyse multicritère avec la méthode MACBETH, nous déterminons quel acteur pourrait acheter des emballages. Cette analyse est basée sur quatre critères, qui ont été sélectionnés après consultation d'experts et d'acteurs de la chaîne de valeur Ougandaise. Les résultats montrent que les distributeurs et les collecteurs sont les plus favorables à l'adoption d'emballages pour la protection des fruits et légumes destinés à la consommation locale. À partir des résultats de l'analyse multicritère, un modèle pour évaluer la rentabilité de l'emballage a été proposé. Il s'agira de déterminer le prix du nouvel emballage en fonction de son efficacité. Nous introduirons Efficience Économique Relative de l'Emballage (EERE) qui permettra de comparer le nouvel emballage aux emballages existants sur le marché. Ce modèle nous permet d'effectuer une étude de cas sur la banane en Ouganda. Cette étude de cas a permis de déterminer les paramètres tels que l'efficacité et le pourcentage investis par l'acteur pour l'achat de l'emballage. / The fight against hunger is a major challenge in sub-Saharan Africa. Indeed, 24.1% of its population is undernourished, and malnutrition affects more than a third of children under five. Even though fruit and vegetable production continues to grow, the problem is not improving, as producers in sub-Saharan Africa are facing large losses. Several solutions are proposed and deployed to reduce these losses, including the use of protective packaging. This study aims to analyze the cost-effectiveness of packaging, particularly biobased packaging, in reducing losses of fruits and vegetables during transport in the case of Uganda. A state-of-the-art of fruit and vegetable losses in Sub-Saharan Africa is proposed. It is precisely to identify the causes of losses, the consequences, the different solutions deployed meet in the literature and the mapping of packaging solutions used for the reduction of losses. With the help of the mapping of actors in the value chain of fruits and vegetables, their influences on the adoption of packaging, and a multi-criteria analysis with the MACBETH method, we determine which actor could buy packaging. This analysis is based on four criteria selected after consultation with experts and stakeholders in the Ugandan value chain. The results show that distributors and collectors are the most favorable to the adoption of packaging to protect vegetables for local consumption. Based on the results of the multi-criteria analysis, a model to assess the cost-effectiveness of packaging was proposed. The aim is to determine the price of the new packaging according to its efficiency. We will introduce the EERE which will allow us to compare the new packaging to existing packaging on the market. This model allows us to conduct a case study on bananas in Uganda. This case study allowed us to determine a seeming solution for parameters such as efficiency and the percentage invested by the actor for the purchase of the packaging.
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Le contrat face à l'imprévision dans les pays francophones d'Afrique subsaharienne : essai d'une analyse normative socio-économique.

Agbam, Komlanvi Issifou 02 February 2024 (has links)
Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada, Docteur en droit (LL. D.) et Université de Nantes, Nantes, France. / À rebours des droits originellement africains, les droits modernes africains, tel qu'ils ont été hérités de la colonisation peinent à satisfaire l'aspiration des sociétés africaines à un minimum de normativisation des relations sociales. Le refus du juge d'adapter le contrat déséquilibré en cas d'un changement de circonstances imprévisible en droit civil des pays francophones d'Afrique au Sud du Sahara, résultant du mimétisme du Code civil français de 1804, en témoigne. Par son refus obstiné, le juge poursuit une politique coloniale, en dépit de l'indépendance des pays concernés. Le Code civil français de 1804 qui s'applique presque intégralement dans les pays francophones d'Afrique au Sud du Sahara, a été profondément réformé en 2016. S'est ainsi créé, un fossé considérable entre le droit contractuel africain resté fidèle au Code civil français de 1804 et un droit des obligations français en modernisation et en adéquation avec les pratiques contractuelles de la société française. À la différence du nouveau droit français des contrats, les systèmes juridiques des pays francophones d'Afrique au Sud du Sahara, ne reconnaissent pas le pouvoir au juge d'adapter le contrat surpris par le fait imprévisible. Or, en Afrique traditionnelle tout comme moderne, il ne fait aucun doute que la relation contractuelle est plus solidaire et moins individualiste. Au Québec, la réforme du Code civil en 1994 a marqué une avancée de la justice contractuelle sur la stabilité contractuelle. Cependant, tout comme le C.c.B.C dont la rédaction a été influencée par le Code civil français de 1804, le Cc.Q ne prend pas en considération la théorie de l'imprévision. Cette étude vise à démontrer d'une part que le refus de l'imprévision dans le droit civil africain résulte du mimétisme du Code civil français de 1804. Elle vise à démontrer d'autre part que la prise en considération de l'imprévision dans les sociétés africaines, par le biais de la théorie relationnelle du contrat, est en harmonie avec les pratiques contractuelles des sociétés africaines. / In contrast to the original african laws, the modern african laws, as inherited from colonization, have difficulty to meet the yearning of contemporary african societies for a minimum of "normativization" of social relationships. The judge's refusal to adapt an imbalanced contract, following unforeseeable circumstances change in the civil law of the French-speaking countries of Africa South of the Sahara resulting from the mimicry of the French Civil Code of 1804, is evidence of this. By his obstinate refusal, the judge pursues a colonial policy, despite the independence of the countries concerned. The French Civil Code of 1804, which applies almost in French-speaking countries of Africa South of the Sahara, has been extensively reformed in 2016. A significant gap was thus emerged between African contract law, which remained faithful to the French Civil Code of 1804, and a French law of obligations in modernizing and in line with the contractual practices of French society. Unlike the new French contract law, the legal systems of French-speaking countries of Africa South of the Sahara, do not recognize the power of the judge to adapt the contract startled by the unforeseeable event. Yet, in both traditional and modern Africa, there is no doubt that the contract relation is more united and less individualistic. In Quebec, the reform of the Civil Code in 1994 led to an advance of the contractual justice on the contractual stability. However, just as the C.c.B.C, the drafting of which has been influenced by the French Civil Code of 1804, the C.c.Q does not take into account the theory of unforeseeabilityThis study seeks to show, on the one hand, that the failure of taking into account the unforeseeability in african civil law as well as in Quebec civil law, is the result of the mimicry of the French Civil Code of 1804. She intends to demonstrate on the other hand that the consideration of unforeseeability in African societies through the relational theory of contract is in line with the contractual practices in African society.
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Evaluation and strategy to reduce the greenhouse gas emissions and the losses in the fruit and vegetable sector in sub-Saharan Africa during the transport and waste treatment phases

Tapsoba, Lionel Dylan Sidlawende 26 May 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles / L'accès à la nourriture reste un problème crucial en Afrique subsaharienne (ASS). En effet, 24,1 % de sa population souffre de sous-alimentation et la malnutrition touche plus d'un tiers des enfants de moins de cinq ans. Ce problème sera exacerbé, car la population de l'Afrique subsaharienne devrait doubler d'ici 2050. Pour résoudre ce problème, il est impératif d'améliorer considérablement l'accessibilité des fruits et légumes pour la population en réduisant les pertes avant consommation qui se chiffrent à 50 %. Il existe de nombreux domaines où des solutions peuvent être mises en place pour réduire ces pertes. Ces domaines sont : le stockage frigorifique, les méthodes de récolte et les traitements avant stockage, le conditionnement, le transport vers le marché, et la phase de commercialisation. La réduction des pertes alimentaire en ASS nécessite la mise en œuvre de bonnes pratiques dans tous ces domaines. Après analyse, il apparaît que l'emballage devrait susciter davantage d'intérêt en raison de sa relative facilité de mise en œuvre pour supporter d'autres technologies comme la chambre froide. Les produits emballés devraient être transporté dans des camions lourds, en effet, une analyse réalisée dans cette thèse montre que le camion lourd est le véhicule qui génère le moins de pertes et d'émissions de gaz à effet de serre par rapport aux autres véhicules utilisés pour le transport des fruits et légumes en Afrique subsaharienne tels que les camions légers et les motos. L'emballage qui donne les meilleurs résultats en ce qui concerne la réduction des pertes de fruits et légumes est l'emballage plastique. Les boîtes en plastique peuvent prévenir les pertes, mais la technologie pour les traiter ou les recycler après usage n'est pas disponible en Afrique subsaharienne. Le développement des emballages biosourcés, fabriqués à partir de matériaux locaux permettrait de faire face à l'enjeu environnemental que représente le traitement des emballages en plastique en fin de vie. Pour être efficaces en ce qui concerne la réduction des pertes alimentaires et la réduction des émissions de gaz à effet de serre, les emballages biosourcés doivent permettre une réduction des pertes entre 0 et 37 %, et des émissions d'au moins 80 % par rapport à la solution actuellement utilisée en Afrique subsaharienne, qui consiste à utiliser un camion lourd avec des emballages en bois et à traiter les déchets dans une décharge. Une alternative efficace à cette solution consisterait à utiliser des emballages biosourcés avec des camions lourds. Afin d'offrir de meilleurs résultats en ce qui concerne la réduction des pertes et des émissions, il serait mieux d'utiliser les pertes générées lors du transport pour alimenter un biodigesteur. / Access to food remains a crucial problem in sub-Saharan Africa (SSA). Indeed, 24.1% of its population suffers from undernourishment and malnutrition affects more than a third of children under five. This problem will be exacerbated as the population of sub-Saharan Africa is expected to double by 2050. To solve this problem, it is imperative to considerably improve the accessibility of fruits and vegetables for the population by reducing pre-consumption losses which amount to 50%. There are many areas where solutions can be put in place to reduce these losses. These areas are cold storage, harvesting methods and pre-storage treatments, packaging, transport to market, and the marketing phase. Reducing food losses in SSA requires the implementation of good practices in all these areas. After analysis, it appears that the packaging should arouse more interest because of its relative ease of implementation to support other technologies such as the cold room. The packaged products should be transported in heavy trucks, indeed, an analysis carried out in this thesis shows that the heavy truck is the vehicle that generates the least losses and greenhouse gas emissions compared to other vehicles used for the transport of fruits and vegetables in sub-Saharan Africa such as light trucks and motorcycles. The packaging that gives the best results in terms of reducing fruit and vegetable losses is plastic packaging. Plastic boxes can prevent losses, but the technology to treat or recycle them after use is not available in sub-Saharan Africa. The development of biosourced packaging, made from local materials, would make it possible to deal with the environmental challenge represented by the treatment of end-of-life plastic packaging. To be effective in reducing food losses and reducing green house gas emissions, bio-based packaging must allow a reduction of losses between 0 and 37%, and emissions of at least 80% compared to the solution currently used in sub-Saharan Africa, which consists of using a heavy truck with wooden packaging and treating the waste in a landfill. An effective alternative to this solution would be to use biosourced packaging with heavy trucks. To offer better results in terms of reducing losses and emissions, it would be better to use the losses generated during transport to feed a biodigester.
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Étude de la dégradation des sols due à la dynamique agricole au Sud du Mali

Loyer, Cyrielle January 2011 (has links)
La présente recherche répond au besoin actuel d'évaluer l'impact des activités humaines sur les ressources naturelles de manière à encourager une exploitation durable de ces ressources. On s'intéresse précisément ici à une centaine de parcelles situées autour du terroir d'Umarbugu au Sud du Mali, une région particulièrement sensible au phénomène de dégradation des sols. L'application du modèle SLEMSA aux données caractérisant les parcelles agricoles mentionnées précédemment a permis d'obtenir des estimations annuelles des taux de pertes en sols. Celles-ci reflètent la grande variabilité et l'intensité du climat avec des années de sécheresse et très peu de pertes en sols mais aussi des années dans la moyenne, 850 mm de précipitations répartis sur environ quatre mois, ou davantage, avec des épisodes de pluies beaucoup plus intenses et de fait des pertes beaucoup plus alarmantes pouvant dépasser les 35 t/ha/année. L'analyse des estimations obtenues a également permis d'identifier certains facteurs aggravant tels que la culture du coton ou les champs ayant une grande superficie. Le modèle choisi permet de tenir compte d'éventuelles pratiques de conservation et l'on sait que certains propriétaires des champs d'Umarbugu commencent à utiliser la culture en courbes de niveau, ce qui réduit l'écoulement et favorise la rétention de l'eau. On a donc effectué quelques simulations afin d'évaluer l'impact de telles pratiques et l'on a abouti à une diminution d'environ 60 % des taux de pertes de sols.
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Les organisations bureaucratiques dans une "cité éducative" : le cas de l'Afrique noire

Loueke, Basile 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Conception d'un dispositif numérique de formation dans un contexte universitaire africain francophone : le cas des MOOC au Bénin

Tessy, Djossè Roméo 01 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 26 février 2024) / L'industrialisation de la formation est devenue un enjeu capital pour les universités africaines afin de faire face aux effectifs pléthoriques des apprenants et aux besoins de formation de plus en plus importants. Alors que les MOOC ont connu un fort intérêt depuis 2012, c'est en 2015 que ce dispositif de formation en ligne a été introduit dans certaines universités d'Afrique francophone subsaharienne, notamment à travers « MOOC Afrique », un projet de l'université suisse École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Il en découle un transfert de technologie et de son contenu vers des pays d'Afrique francophone. Je me suis interrogé sur l'appropriation locale de cette technologie en m'intéressant à ce que font les acteurs. La question principale est de savoir si ces acteurs dans leur démarche de conception ont tout simplement imité la manière de faire les MOOC au Nord ou bien s'ils ont cherché à « l'endogénéiser ». Pour répondre à cette question, je me suis appuyé sur un cadre conceptuel alimenté par la sociologie de l'acteur- réseau (SAR), la sociologie des usages et les théories décoloniales. La SAR a permis d'étudier l'implication des acteurs humains et non humains et leurs collaborations à travers leur mobilisation, leur enrôlement et leur intéressement. Les théories décoloniales ont permis d'adopter un point de vue critique sur ce transfert de technologie avec comme dimensions : le design du dispositif, la langue des cours, ainsi que les relations entre le centre et la périphérie. Pour étudier le cas de l'introduction des MOOC à l'Université d'Abomey-Calavi au Bénin, des récits ont été recueillis auprès des acteurs sur leur expérience de concepteur de MOOC. La description du dispositif tel qu'il existe actuellement et l'analyse documentaire ont permis de nuancer les propos recueillis. Les principaux résultats de cette thèse montrent une dualité dans le processus de conception des MOOC à l'UAC. D'abord, on constate une volonté d'imiter les MOOC premiers dans leur design, contrebalancée par les contraintes techniques liées au contexte béninois. Ensuite, une volonté de s'ouvrir aux savoirs du Nord, en acceptant de proposer sur la plateforme, des MOOC conçus à l'EPFL. D'un autre côté, il y a une appropriation qui s'exprime par le désir d'adapter le concept de MOOC pour accompagner la formation présentielle, de proposer des contenus faits localement et qui tiennent compte des réalités du contexte béninois (MOOC locaux), et de construire une synergie entre acteurs pour atteindre l'objectif visé. Cependant, il existe un risque de colonialité que les acteurs doivent prendre en compte s'ils veulent résolument aller vers des MOOC plus justes, au service de la collectivité. / The industrialisation of training has become a key challenge for African universities in order to cope with overcrowding and growing training needs. While MOOCs have been attracting a great deal of interest since 2012, it was only in 2015 that this online training system was introduced in some universities in French-speaking sub- Saharan Africa, notably through "MOOC Afrique", a project run by the Swiss university École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). The result is a transfer of technology and content to French-speaking African countries. I looked at the local appropriation of this technology by looking at what the players are doing. The main question is whether these players, in their design process, have simply imitated the way MOOCs are produced in the North, or whether they have sought to 'endogenise' it. To answer this question, I used a conceptual framework based on the sociology of the actor-network (SAR), the sociology of uses and decolonial theories. SAR enabled me to study the involvement of human and non-human actors and their collaboration through their mobilisation, enrolment and interest. Decolonial theories have made it possible to adopt a critical viewpoint on this technology transfer, with dimensions such as device design, course language and relations between center and periphery. Decolonial theories have made it possible to adopt a critical viewpoint on this transfer of technology, focusing on the design of the system, the language of the courses and relations between the centre and the periphery. In order to study the case of the introduction of MOOCs at the University of Abomey- Calavi in Benin, accounts were collected from stakeholders about their experience of designing MOOCs. A description of the system as it currently exists and an analysis of the literature helped to qualify the accounts gathered. The main results of this thesis show a duality in the MOOC design process at the UAC. Firstly, there is a desire to imitate the first MOOCs in their design, counterbalanced by the technical constraints linked to the Beninese context. Secondly, there is a willingness to open up to knowledge from the North, by agreeing to offer MOOCs designed at the EPFL on the platform. On the other hand, there is an appropriation expressed by the desire to adapt the MOOC concept to accompany face-to-face training, to offer locally produced content that takes account of the realities of the Beninese context (local MOOCs), and to build synergy between players to achieve the desired objective. However, there is a risk of coloniality that stakeholders must take into account if they want to move resolutely towards fairer MOOCs that serve the community.
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Analyse de l'impact de la politique d'aide internationale féministe (PAIF) sur les relations commerciales du Canada avec l'Afrique subsaharienne

Hien, Hervé 12 April 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 8 avril 2024) / La présente étude a pour objectif de déterminer l'impact de la politique d'aide internationale féministe (PAIF) sur les flux commerciaux et sa contribution à un commerce plus inclusif en Afrique subsaharienne. À partir du modèle de gravité et par l'estimateur PPML, nous avons déterminé d'une part l'apport de la politique d'aide internationale féministe sur les flux commerciaux du Canada en Afrique subsaharienne et, d'autre part analyser l'impact des différentes composantes de la politique sur le commerce inclusif en Afrique subsaharienne. Les résultats de nos estimations montrent que même si les composantes de la politique d'aide internationale féministe n'ont pas d'impact significatif entrainant une augmentation des flux commerciaux, elles fondent cependant les bases d'une pratique commerciale plus inclusive touchant un plus grand nombre de personnes avec pour objectif l'amélioration de leurs conditions socio-économiques. / The purpose of this study is to determine the impact of the feminist international assistance policy (FAIP) on trade flows and its contribution to more inclusive trade in sub-Saharan Africa. Using the gravity model and the PPML estimator, we determined the contribution of the feminist international assistance policy to Canada's trade flows in sub-Saharan Africa and analyzed the impact of the various components of the policy on inclusive trade in sub-Saharan Africa. The results of our estimations show that even if the components of the feminist international aid policy do not have a significant impact leading to an increase in trade flows, they nevertheless lay the foundations for a more inclusive trade practice reaching a greater number of people to improve their socio-economic conditions.
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Comprendre les (non) interventions militaires de la France en Afrique subsaharienne à l'aide de la théorie cohabitationniste / Comprendre les (non) interventions militaires de la France en Afrique subsaharienne à l'aide de la théorie cohabitationniste

Zoungni, Fiacre, Zoungni, Fiacre January 2019 (has links)
Malgré la fin de la colonisation dans les années 1960 en Afrique, la France est demeurée présente sur le continent par le biais de plusieurs accords et conventions signés avec ses anciennes colonies afin d’établir des coopérations dans plusieurs domaines (économique, monétaire, politique, culturel, défense). Grâce à une politique militaire particulière, la France intervient militairement dans plusieurs conflits civils en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, elle se refuse parfois à intervenir dans d’autres. La problématique de cette recherche est d’expliquer les raisons pour lesquelles la France intervient militairement dans certains conflits civils en Afrique subsaharienne et pourquoi elle se refuse à intervenir dans d’autres. Pour résoudre cette énigme, cette thèse développe la théorie de la cohabitation ou la théorie cohabitationniste basée sur le principe transactionnel de la délégation du pouvoir développé par les néo-institutionnalistes du choix rationnel qui vise à évaluer la performance démocratique des régimes politiques. Cette théorie, composée de deux modèles, affirme qu’à cause des contraintes institutionnelles et politiques qui naissent durant les périodes de cohabitation, il est difficile pour un gouvernement français d’initier une intervention militaire en Afrique subsaharienne. Cette situation, propre aux régimes semi-présidentiels, explique certains refus de la France à intervenir militairement dans certains conflits civils. Par contre, en période de gouvernement unifié, il est plus aisé de déclencher une intervention militaire puisqu’il y a une cohérence et une concordance des politiques gouvernementale et présidentielle. De façon empirique, nous avons démontré que le refus de la France à intervenir en Côte d’Ivoire en 1999 après le coup d’État militaire, en République Centrafricaine après les mutineries de 1998 et 2001, était en substance lié au conflit institutionnel engendré par la troisième cohabitation (1997 – 2002). Durant cette période, nous avons noté qu’en dépit du fait que plusieurs questions écrites aient été envoyées au gouvernement par des parlementaires français pour connaitre l’attitude de la France par rapport à ces instabilités politiques, l’option d’une intervention militaire n’a pas été retenue. En revanche, après les élections présidentielles des 21 avril et 5 mai 2002 et les élections législatives des 9 et 16 juin 2002, la France a amorcé une nouvelle ère de gouvernement unifié. C’est durant cette période que le gouvernement français a pu initier l’Opération Licorne en envoyant des troupes armées en Côte d’Ivoire en 2002 et l’Opération Boali en 2003 en République Centrafricaine. / Malgré la fin de la colonisation dans les années 1960 en Afrique, la France est demeurée présente sur le continent par le biais de plusieurs accords et conventions signés avec ses anciennes colonies afin d’établir des coopérations dans plusieurs domaines (économique, monétaire, politique, culturel, défense). Grâce à une politique militaire particulière, la France intervient militairement dans plusieurs conflits civils en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, elle se refuse parfois à intervenir dans d’autres. La problématique de cette recherche est d’expliquer les raisons pour lesquelles la France intervient militairement dans certains conflits civils en Afrique subsaharienne et pourquoi elle se refuse à intervenir dans d’autres. Pour résoudre cette énigme, cette thèse développe la théorie de la cohabitation ou la théorie cohabitationniste basée sur le principe transactionnel de la délégation du pouvoir développé par les néo-institutionnalistes du choix rationnel qui vise à évaluer la performance démocratique des régimes politiques. Cette théorie, composée de deux modèles, affirme qu’à cause des contraintes institutionnelles et politiques qui naissent durant les périodes de cohabitation, il est difficile pour un gouvernement français d’initier une intervention militaire en Afrique subsaharienne. Cette situation, propre aux régimes semi-présidentiels, explique certains refus de la France à intervenir militairement dans certains conflits civils. Par contre, en période de gouvernement unifié, il est plus aisé de déclencher une intervention militaire puisqu’il y a une cohérence et une concordance des politiques gouvernementale et présidentielle. De façon empirique, nous avons démontré que le refus de la France à intervenir en Côte d’Ivoire en 1999 après le coup d’État militaire, en République Centrafricaine après les mutineries de 1998 et 2001, était en substance lié au conflit institutionnel engendré par la troisième cohabitation (1997 – 2002). Durant cette période, nous avons noté qu’en dépit du fait que plusieurs questions écrites aient été envoyées au gouvernement par des parlementaires français pour connaitre l’attitude de la France par rapport à ces instabilités politiques, l’option d’une intervention militaire n’a pas été retenue. En revanche, après les élections présidentielles des 21 avril et 5 mai 2002 et les élections législatives des 9 et 16 juin 2002, la France a amorcé une nouvelle ère de gouvernement unifié. C’est durant cette période que le gouvernement français a pu initier l’Opération Licorne en envoyant des troupes armées en Côte d’Ivoire en 2002 et l’Opération Boali en 2003 en République Centrafricaine. / Despite the end of colonization in the 1960s in Africa, France remained present on the continent through several agreements and conventions signed with its former colonies in order to establish cooperation in several fields (economic, monetary, political, cultural, defense). Thanks to a particular military policy, France intervenes militarily in several civil conflicts in sub-Saharan Africa. At the same time, it sometimes refuses to intervene in others. The problematic of this research is to explain the reasons why France intervenes militarily in certain civil conflicts in sub-Saharan Africa and why it refuses to intervene in others. To solve this enigma, this thesis develops the theory of cohabitation or cohabitationist theory based on the transactional principle of the delegation of power developed by the neoinstitutionalist rational choice that aims to assess the democratic performance of political regimes. This theory, composed of two models, states that because of the institutional and political constraints that arise during periods of cohabitation, it is difficult for a French government to initiate a military intervention in sub-Saharan Africa. This situation, peculiar to the semi-presidential regimes, explains France's refusal to intervene militarily in certain civil conflicts. On the other hand, in times of unified government, it is easier to trigger a military intervention since there is a coherence and a concordance of government and presidential policies. Empirically, we have shown that the refusal of France to intervene in Côte d'Ivoire in 1999 after the military coup and in the Central African Republic after the mutinies of 1998 and 2001, was in essence linked to the institutional conflict engendered by the third cohabitation (1997 - 2002). During this period, we noted that despite the fact that several written questions were sent to the government by French parliamentarians to know the attitude of France with regard to these political instabilities, the option of a military intervention was not selected. On the other hand, after the presidential elections of 21 April and 5 May 2002 and the legislative elections of 9 and 16 June 2002, France has entered a new era of unified government. It was during this period that the French government was able to initiate Operation Licorne by sending armed troops to Côte d'Ivoire in 2002 and Operation Boali in 2003 to the Central African Republic. / Despite the end of colonization in the 1960s in Africa, France remained present on the continent through several agreements and conventions signed with its former colonies in order to establish cooperation in several fields (economic, monetary, political, cultural, defense). Thanks to a particular military policy, France intervenes militarily in several civil conflicts in sub-Saharan Africa. At the same time, it sometimes refuses to intervene in others. The problematic of this research is to explain the reasons why France intervenes militarily in certain civil conflicts in sub-Saharan Africa and why it refuses to intervene in others. To solve this enigma, this thesis develops the theory of cohabitation or cohabitationist theory based on the transactional principle of the delegation of power developed by the neoinstitutionalist rational choice that aims to assess the democratic performance of political regimes. This theory, composed of two models, states that because of the institutional and political constraints that arise during periods of cohabitation, it is difficult for a French government to initiate a military intervention in sub-Saharan Africa. This situation, peculiar to the semi-presidential regimes, explains France's refusal to intervene militarily in certain civil conflicts. On the other hand, in times of unified government, it is easier to trigger a military intervention since there is a coherence and a concordance of government and presidential policies. Empirically, we have shown that the refusal of France to intervene in Côte d'Ivoire in 1999 after the military coup and in the Central African Republic after the mutinies of 1998 and 2001, was in essence linked to the institutional conflict engendered by the third cohabitation (1997 - 2002). During this period, we noted that despite the fact that several written questions were sent to the government by French parliamentarians to know the attitude of France with regard to these political instabilities, the option of a military intervention was not selected. On the other hand, after the presidential elections of 21 April and 5 May 2002 and the legislative elections of 9 and 16 June 2002, France has entered a new era of unified government. It was during this period that the French government was able to initiate Operation Licorne by sending armed troops to Côte d'Ivoire in 2002 and Operation Boali in 2003 to the Central African Republic.

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