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Les effets de la variabilité du taux de change réel sur le commerce extérieur : le cas de la Tunisie / The Effects of Real Exchange Rate Variability on Foreign Trade. Case of Tunisia.Chnaina, Khaled 12 September 2013 (has links)
L’objet de cette thèse est l’analyse des effets de la variabilité du taux de change réel effectif (TCRE) sur le commerce extérieur de la Tunisie global et sectoriel sur la période de 1975-2009. La variabilité du TCRE signifie la volatilité et le mésalignement. La volatilité est mesurée par l’écart type mobile (ETM) et le modèle GARCH(1,1). Cependant le mésalignement du TCRE est mesurée par la déviation par rapport aux taux d’équilibre donnés par trois théories du taux de change d’équilibre à savoir le modèle d’Edwards, de BEER et du NATREX. A l’aide des estimations des modèles d’exportations et d’importations sans/avec ruptures, les résultats ont montré que les effets de la volatilité sur le commerce extérieur ne sont pas très pertinents à long terme. Quant aux effets du mésalignement du taux de change, ceux-ci apparaissent très pertinents essentiellement lorsque il s’agit des flux commerciaux sectoriels. / The purpose of this thesis is the analysis of the variability of the real effective exchange rate (REER) on foreign trade total and sectoral of Tunisia over the period 1975-2009. Variability REER means volatility and misalignment. Volatility is measured by the mobile standard deviation (ETM) and the GARCH (1, 1). However, the misalignment of REER is measured by the deviation from the equilibrium rate given by three theories of exchange rate equilibrium namely the Edwards model, BEER and NATREX. Using estimates of exports and imports models with / without breaks, the results showed that the effects of volatility on trade are not very relevant in the long term. But the effects of the exchange rate misalignment appear very relevant mainly when the sectoral trade flows are used.
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Variabilité du taux de change, flux commerciaux et croissance économique : le cas de Madagascar / Exchange rate Variability, trade flows, economic growth : the case of MadagascarRazafindramanana, Olivasoa Miaranirainy 30 November 2015 (has links)
De change, les flux commerciaux ou commerces et la croissance économique de Madagascar. En d’autres termes nous avons étudié les effets de la volatilité et le mésalignement du taux de change sur les exportations, les importations, et la croissance économique. Pour pouvoir réaliser cette étude, nous avons utilisé des données annuelles entre la période 1971-2012 pour les exportations et importations globales, et la période 1990-2011 pour les exportations et importations par secteur. Nous avons mesuré la volatilité à l’aide de deux méthodes, et nous avons obtenu la volatilité par l’écart-type mobile et la volatilité calculée par le GARCH. La méthode de cointégration a été utilisée pour l’étude des variables. Avec le modèle NATREX, le mésalignement a été calculé comme la différence du TCER à l’instant t et TCER d’équilibre. Sur la dernière partie du travail et afin de répondre à notre problématique, nous faisons appel à la méthode SUR (Seemingly Unrelated Regression). Cette méthode nous a permis d’estimer notre modèle à deux equations pour les exportations en volume et les importations en volume. En bref, pour le cas Madagascar, d’une part en considérant l’exportation, le mésalignenemt a un impact positif significatif sur l’exportation globale quelle que soit la définition de la volatilité, en effet la sur-évaluation de l’Ariary augmente l’exportation. Par ailleurs, la volatilité a un impact positif significatif sur l’exportation globale uniquement avec la prise en compte du VOLGARCHTCEN. D’autre part en considérant l’importation, le mésalignenemt a un impact positif significatif sur l’importation globale avec la prise en compte du VOLMASDTCER, et du VOLMASDTCEN, la sur-évaluation de l’Ariary augmente l’importation. La volatilité a un impact positif significatif sur l’importation pour les trois cas suivants : VOLMASDTCEN, VOLGARCHTCER, VOLGARCHTCEN. Avec l’exportation globale ou l’importation globale, le mésalignement n’a pas d’impact significatif sur le taux de croissance, par contre la volatilité a un impact négatif significatif sur le taux de croissance en considérant le VOLMASDTCER, et le VOLMASDTCEN. / In this thesis, we tried to know the relationship between the variability of exchange rates, trade flows and economic growth in Madagascar. In other words, we have studied the effects of volatility and misalignment of the exchange rate on exports, imports, and economic growth. To conduct this study, we used annual data from the 1971-2012 period for global exports and imports, and the 1990-2011 period for exports and imports by sector. We measured the volatility using two methods, and we got the volatility by moving standard deviation and volatility calculated by the GARCH. The method of cointegration was used to study the variables. With NATREX model, the misalignment was calculated as the difference between REER at time t and REER equilibrium. On the last part of this work and to resolve our problem, we use the method SUR (Seemingly Unrelated Regression). This method allowed us to estimate our model with two equations for export volumes and import volumes.Finally, the results show that for the case of Madagascar, considering exports, misalignment has a significant positive impact on overall export whatever the definition of volatility, indeed over-evaluation increases export. Then, volatility has a significant positive impact on overall export only with the inclusion of VOLGARCHTCEN. Moreover considering imports, misalignment has a significant positive impact on the overall import with the inclusion of VOLMASDTCER, and VOLMASDTCEN, over-evaluation increases import. The volatility has a significant positive impact on the import in the case of : VOLMASDTCEN, VOLGARCHTCER, VOLGARCHTCEN. With the global export or import, misalignment has no significant impact on the growth rate, however volatility has a significant negative impact on growth rates considering VOLMASDTCER, and VOLMASDTCEN.
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Economic catching-up and monetary integration of Central and Eastern European countries / Rattrapage économique et intégration monétaire des pays d'Europe centrale et orientaleGérard, Marc 28 January 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse au défi que représente le rattrapage des niveaux de prix pour la stabilité macroéconomique des pays en transition d’Europe centrale et orientale, dans la perspective de leur future participation à la zone euro. A cet égard, une modélisation du taux de change réel d’équilibre suggère que l’appréciation réelle liée au rattrapage économique recouvre des évolutions de prix relatifs différentes suivant les régimes de change, dont témoignent des trajectoires d’endettement extérieur contrastées. Dans les économies en changes flexibles, la hausse du taux de change nominal favorise une appréciation endogène des termes de l’échange à moyen terme, en orientant les investissements directs étrangers et la réalisation des gains de productivité vers le secteur exposé de l’économie, ce qui se traduit par une appréciation du taux de change réel d’équilibre et une amélioration des comptes extérieurs. Dans les économies en changes fixes, les effets de valorisation liés à la hausse des prix relatifs domestiques tendent à orienter les investissements vers le secteur abrité de l’économie, entraînant une érosion de la compétitivité extérieure, dont témoigne le gonflement de la dette externe. Par ailleurs, l’intégration monétaire comporte des risques spécifiques pour la stabilité macroéconomique des économies en rattrapage, dans la mesure où elle s’accompagne d’un processus marqué de convergence des conditions de financement entre Etats membres, dès lors que la perspective de l’adhésion à l’espace monétaire commun devient crédible. Un modèle dynamique à anticipations rationnelles permet de montrer que face au choc de demande lié à une telle convergence financière, l’appréciation du taux de change nominal se révèle cruciale pour limiter la surchauffe de l’économie. A l’inverse, dans les économies en régime de change fixe, l’abaissement des primes de risque pays est susceptible de provoquer une montée de l’endettement extérieur, suivi d’enchaînements déflationnistes une fois dans l’union monétaire. / This research investigates the challenges of price level catching-up for macroeconomic stability in Central and Eastern European transition countries seeking to enter the Euro area. In this respect, an equilibrium real exchange rate model suggests that the process of real appreciation observed along economic catching-up in these countries can be ascribed to different relative price developments, depending on the exchange rate regime, as exemplified by contrasted external debt trajectories. In flexible exchange rate economies, the increase in the nominal exchange rate fosters an endogenous appreciation of the terms of trade in the medium run, by channelling foreign direct investment and associated productivity gains to the exposed sector of the economy, thus appreciating the equilibrium real exchange rate and strengthening the current account over time. In fixed exchange rate economies, positive valuation effects associated with the increase in domestic relative prices tend to divert investment to the sheltered sector, thus undermining external competitiveness and bringing about higher external debt. Furthermore, monetary integration entails specific risks for macroeconomic stability in catching-up economies, because it implies a process of rapid convergence in the financing conditions across member States, which takes place as soon as the perspective of accession to the common monetary area appears credible. A dynamic, rational expectations model shows that the appreciation of the nominal exchange rate becomes crucial to curtail the economic overheating triggered by the demand shock associated with financial convergence. By contrast, diminishing country risk premia under fixed exchange rate regimes are likely to cause ‘boom bust’ cycles, with an increase in external indebtedness followed by deflationary developments once in the monetary union.
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Exchange rate and monetary policy: selected comparative experiences during the pre- and post 1997 Asian financial crisis.Goo, Si Wei January 2008 (has links)
The aim of this thesis is to examine empirically the relationship between the exchange rate, the instruments of monetary policy and the measures of economic performance for Indonesia, Korea and Thailand during the pre- and post 1997 Asian financial crisis. The first core chapter (Chapter 2) assesses the possible linkages between the increase in domestic inflation and the exchange rate targeting policy adopted in these countries. Using the cointegration technique and a simple monetarist inflation model, Chapter 2 finds strong evidence that the exchange rate policy that generates a predominant domestic currency undervaluation has caused an increase in the domestic inflation rate for Indonesia and Korea. However, the exchange rate targeting policy that brings about a predominant baht overvaluation especially during the pre-crisis period has lowered Thailand’s inflation. Soon after the outbreak of 1997-crisis, instead of using the exchange rate as the nominal anchor, all three countries have implement their monetary policy around an inflation target following an inflation targeting framework. Owing to this significant structural break, the second core chapter (Chapter 3) uses a Markov-switching VAR framework to determine if the effects of monetary policy shocks have changed across different monetary policy regimes in these economies. Chapter 3 finds that regime switches occur in mid-1997 to 2000 for Indonesia, which coincides with the period after the onset of 1997-crisis and the economic recovery period; and in 1999 for Korea and Thailand, which coincides with the period when the inflation-targeting framework is adopted. From the regime-dependent impulse response functions, the responses of macroeconomic variables to monetary policy shocks have changed significantly across different regimes only for the case of Korea and Thailand. From the above discussions, Chapter 2 found that exchange rate targeting policy caused higher domestic inflation in Indonesia and Korea especially during the pre-crisis period; while Chapter 3 found that inflation targeting policy seemed to cause structural changes in Korea and Thailand. Therefore using a structural VAR framework, the third core chapter (Chapter 4) explores further the role of the exchange rate and inflation targeting policy on the economic performances of these economies during the pre- and post crisis periods. Chapter 4 finds that in the case of Indonesia and Korea, the foreign exchange market does create most of its own shocks during the pre-crisis period but not during the post crisis period. For Indonesia and Thailand, the soft US dollar peg policy during the pre-crisis period has caused additional distortions in the domestic economy. Moreover the role of the exchange rate as a shock absorber has increased during the post crisis period only for the case of Indonesia and Thailand. For all three economies, following the introduction of the inflation targeting policy, domestic short-term interest rates have been adjusted systematically to offset inflationary pressure following the real and nominal shocks. Moreover, in the case of Indonesia and Thailand, the unsystematic part of monetary policy plays a smaller role in explaining the variations in domestic economy during the post crisis period. / http://proxy.library.adelaide.edu.au/login?url= http://library.adelaide.edu.au/cgi-bin/Pwebrecon.cgi?BBID=1320356 / Thesis (Ph.D.) -- University of Adelaide, School of Economics, 2008
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Equilibrium exchange rate models, the euro and the 2004 expansion of the EU /Koske, Isabell. January 2007 (has links)
Wiss. Hochsch. für Unternehmensführung, Diss--Vallendar, 2006.
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