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Taux de chang réel et démographie / Real exchange rate and demography

Doan, Thi Hong Thinh 28 November 2012 (has links)
Cette thèse a pour objectif de caractériser le comportement du taux de change réel d'équilibre, face à des chocs d'offre et de demande sur les fondamentaux. Les chapitres I et II mettent en évidence la relation qui lie la productivité au taux de change réel. Les résultats principaux sont les suivants : la croissance de la productivité ne provoque pas systématiquement d'appréciation réelle, contrairement à ce que prévoit l'analyse de BS. Les comportements d'épargne des ménages, la différence du taux de croissance de population, et le ratio entre les travailleurs qualifiés et les travailleurs non-qualifiés dans l'économie affectent la relation entre taux de change réel-productivité. Ces deux premiers chapitres proposent une explication aux déviations observées vis-à-vis de l'analyse Balassa-Samuelson dans la littérature. Le chapitre III décrit abondamment - théoriquement et empiriquement - la relation qui lie le taux de change réel et la démographie. Le cadre théorique nous permet de détecter l'impact du facteur démographique sur le taux de change réel. En même temps, les tests économétriques confirment l'existence d'une relation à long terme entre le facteur démographique et le taux de change réel. Finalement, les trois chapitres I, II, et III mettent en évidence deux déterminants significatifs du taux de change réel : le facteur démographique et la productivité. Le chapitre IV étudie la causalité entre trois variables: le taux de change réel, la productivité, et les facteurs démographiques. Les résultats montrent qu'il existe une forte causalité entre eux, avec un retour à long terme vers le taux de change réel et la productivité. / The aim of this thesis is to characterise the behaviour of the real exchange rate, when it is confronted by shocks to the supply and demand of fundamentals. It disregards monetary phenomena, in order to focus on totally real factors.Chapters I and II of this thesis highlight the relationship between productivity and real exchange rate. The main results are as follows: productivity growth does not systematically produce real appreciation, contrary to the BS prediction. Household savings behaviour, population growth rate difference, and the ratio of qualified to unqualified workers in the economy affect the real exchange rate / productivity relationship. These first two chapters provide a response to the current literature concerning, in certain cases, the invalidity of the Balassa-Samuelson theory.Chapter III describes in considerable detail, both theoretically and empirically, the relationship between the real exchange rate and demographics. The theoretical framework makes it possible to detect the impact of demographics on the real exchange rate. The econometric tests confirm that a long-term relationship exists between demographics and the real exchange rate.Finally, the three chapters I, II and III reveal two significant determinants of the real exchange rate: demographics and productivity.Chapter IV studies the causality existing between three variables: the real exchange rate, productivity, and demographics. The results show that there is indeed a strong degree of causality between these variables, with a long-term return towards real exchange rate and productivity.
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Taux de change réel et répartition des revenus en Chine

Liang, Zhicheng 10 October 2011 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’analyser les liens entre le taux de change réel, l’inégalité des revenus et la pauvreté rurale en Chine. Nous visons à répondre à deux principales questions, à savoir : (i) dans quelle mesure la variation du taux de change réel a-T-Elle influencé l’inégalité des revenus en Chine? (ii) la variation du taux de change réel contribue-T-Elle à expliquer l’évolution de la pauvreté rurale chinoise? Pour ce faire, la thèse s’organise autour de quatre chapitres. Le premier chapitre présente une vue d’ensemble de l’évolution du système de change chinois, en tenant compte de la situation internationale en pleine mutation et des conditions économiques, politiques et institutionnelles de ce pays durant ses différentes phases du développement. Le chapitre 2 décrit l’évolution de l’inégalité des revenus et de la pauvreté rurale en Chine. On constate que depuis 1978 la Chine a connu des progrès remarquables dans la réduction de la pauvreté mais cette réduction s’est accompagnée par un accroissement des inégalités. Par ailleurs, il s’avère qu’en Chine, la variation du taux de change réel joue un rôle important dans l’évolution de l’inégalité des revenus et de la pauvreté rurale. Le chapitre 3 fournit une analyse théorique sur les liens entre le taux de change réel et la répartition des revenus. Il a été mis en évidence que ces liens sont complexes, impliquant un grand nombre de canaux de transmission (directs et indirects). Enfin, le chapitre 4 est consacré à l’estimation économétrique des liens entre le taux de change réel, l’inégalité des revenus et la pauvreté rurale en Chine à l’aide de données de panel au niveau des provinces chinoises. Les résultats de nos estimations économétriques montrent que l’appréciation réelle de la monnaie chinoise contribue à réduire l’inégalité des revenus et la pauvreté rurale en Chine au cours de la période des réformes. / The present dissertation investigates the relationship between real exchange rate, income inequality and rural poverty in China. We attempt to answer two principal questions: (i) to what extent will the variation of real exchange rate affect income inequality in China? (ii) how will the variation of real exchange rate impact the evolving pattern of China’s rural poverty? For this purpose, the present dissertation is organized into four chapters. Chapter One reviews the evolution of China’s exchange rate regime, by taking into consideration the fast-Changing international situations as well as the internal economic, political and institutional conditions of this country. Chapter Two describes the changing pattern of income inequality and the evolution of rural poverty in China. It is observed that since 1978 China has achieved remarkable progress in the alleviation of poverty, which has been accompanied, however, by rising inequalities. In addition, there is growing evidence that the variation of real exchange rate plays an important role in affecting China’s distribution of income. Chapter Three provides a theoretical analysis on the linkage between real exchange rate and income distribution. Such an linkage has been shown to be complex, involving various transmission channels (direct and indirect). Finally, with the help of panel data at provincial level, Chapter Four empirically estimates the nexus between real exchange rate, income inequality and rural poverty in China. The econometric results show that the real appreciation of the Chinese currency significantly contributes to the reduction of income inequality and the alleviation of rural poverty in post-Reform China
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Les modèles à prix rigides et la persistance des chocs of monétaires

Bouakez, Hafedh January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mésalignement et dynamique de convergence du taux de change réel en zone CFA

Yamb, Elie 11 December 2007 (has links) (PDF)
La thèse étudie et met en évidence les mésalignements (déviation du taux de change réel par rapport à sa valeur d'équilibre) du taux de change pour un certain nombre de pays des deux zones franc CFA, à savoir la Côte d'Ivoire et le Mali pour l'UEMOA, le Tchad, la République Centrafricaine et le Cameroun pour la CEMAC. En fait, il s'agit de savoir si l'organisation des unions monétaires en change fixe avec l'euro, avec leurs règles monétaires et les règles de convergence budgétaires adoptées ne conduisent pas à une surévaluation structurelle et chronique des taux de change réels des pays qui seraient préjudiciables à leur croissance ou plus généralement à leur développement ceci en dépit des gains de crédibilité obtenus en matière d'inflation et les avantages en terme de risque pays que procure des règles strictes, mais claires et constantes au cours du temps. Cela dit le taux de change réel d'équilibre de long terme est apprécié dans la thèse en fonction des termes de l'échange, de la part des biens non échangeables et échangeables internationalement, de la balance courante, de la demande intérieure, des droits et taxes sur les importations et exportations, du degré d'ouverture et des dépenses publiques. Nous en arrivons à la conclusion selon laquelle les taux de change réels ont été en général surévalués (en moyenne sur la période 1965-2003) quoique de manière diverse selon les pays, ce qui justifie après coup la dévaluation de 1994, les mésalignements ne se résorbant pas plus vite dans les « petits pays » que dans les « grands ». Un développement en quatre parties est proposé : la première décrit l'évolution des économies des zones franc selon le régime de change (dévaluation de 1994, passage à l'euro en 1999), la situation de la dette (crise de la dette et politiques d'ajustement structurelles entre 1986 et 1994), la spécialisation du commerce extérieur et le taux de croissance du PIB. Le problème récurrent du déficit extérieur et les taux de croissance faibles sont également mis en exergue. La seconde partie passe en revue les théories du taux de change réel d'équilibre et se termine par une évaluation très précise et originale des taux de change réels. La troisième partie étudie et discute une spécification d'une forme réduite de taux de change réel d'équilibre dans l'esprit de la théorie d'Edwards et développe les modèles VAR et VAR à correction d'erreur qui permettent de penser l'évolution du taux de change vers sa valeur de long terme considérée comme une fonction des fondamentaux décrite par une relation de cointégration. La quatrième partie enfin présente les estimations complètes pour les cinq pays étudiés, les discutent et les utilisent pour produire les conclusions rappelées au début de ce résumé.
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Essais sur les transferts internationaux des migrants: une approche macroéconomique

Coulibaly, Dramane 18 June 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse apporte quatre essais sur les transferts internationaux des migrants, en utilisant une approche macroéconomique. Le premier essai examine empiriquement, sur 14 pays d'Amérique Latine et des Caraïbes, les déterminants macroéconomiques des transferts des migrants. Les trois autres essais portent sur les effets macroéconomiques des transferts des migrants sur les économies des pays en développement. Le deuxième essai évalue quantitativement la contribution des chocs de transferts des migrants dans la fluctuation macroéconomique du Sénégal, en utilisant un modèle d'équilibre général dynamique stochastique. Le troisième essai examine l'effet des transferts sur le taux de change réel en menant une étude empirique sur les pays de la zone Franc CFA. Finalement, le quatrième essai étudie empiriquement l'effet des transferts des migrants sur la volatilité macroéconomique de 87 pays en développement en mettant un accent particulier sur l'interaction entre les transferts et le développement financier.
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Les deux formes d' IDE et l'investissement productif : l'impact du taux de change réel / The Two Forms of FDI and Productive Investment : the Impact of the Real Exchange Rate

Prost, Benjamin de 12 December 2012 (has links)
Dans ce travail, nous analysons et comparons les comportements de localisation de trois différentes formes d'investissements durables (les greenfields seuls, les investissements directs étrangers totaux (IDE) et les investissements productifs intérieurs). Parmi un groupe de déterminants, dont une large partie est inspirée de la littérature empirique existante, nous étudions tout particulièrement le rôle que joue le taux de change réel sur l'attractivité des territoires vis-à-vis de chacun de ces investissements. Un tel examen est opéré à partir d'une économétrie de données de panel. Il consiste à tester un modèle de référence sur les greenfields, les IDE totaux ainsi que sur les investissements productifs – avec des spécifications adaptées à chaque cas – et à interpréter l'ensemble des résultats et en particulier les écarts obtenus. Pour appréhender les variables dépendantes, nous nous appuyons sur les séries statistiques de la CNUCED et de l'OCDE, ainsi que sur celles du FDI Markets (Financial Times), et de l'European Investment Monitor (Ernst & Young) qui ont jusqu'à présent été peu exploitées, voire ignorées, par les études portant sur le sujet. Plusieurs échantillons (global, européen et OCDE) et plusieurs périodes (2004-2010, 1998-2010, 1995-2010) sont retenus en fonction de la disponibilité des données. Nos résultats indiquent que les greenfields, les IDE totaux (et donc, par déduction, les fusions-acquisitions) et les investissements productifs répondent à des critères de localisation bien différents correspondant à leurs caractéristiques propres. L'impact qu'exerce notamment le taux de change réel sur chacun de ces capitaux est des plus intéressants. De faibles prix relatifs apparaissent ainsi comme attirant de façon sensible les investissements productifs, qu'ils soient d'origine domestique ou étrangère (greenfields). En revanche, il semble que ces prix relatifs n'aient aucune influence sur les recompositions transnationales de capital, déduites à partir des IDE totaux. / In this work, we analyze and compare locational behavior of three forms of durable investments (greenfields, foreign direct investments, and internal productive investments). Among a group of determinants, mainly inspired by the existing empirical literature, we study more particularly the role played by the real exchange rate on countries' attractiveness towards each of those investments. Panel data econometrics is used for this study. We test a basis model on greenfields, total FDIs, and on productive investments – with specifications adapted to each case – and then analyze the results, particularly when they show differences. In order to proxy the dependent variables, we use the UNCTAD and the OECD's data series, as well as the FDI Markets (Financial Times) and the European Investment Monitor (Ernst & Young) which have somehow been ignored by the studies on the subject until now. Several samples (global, European and OECD) and several periods (2004-2010, 1998-2010 and 1995-2010) are analyzed depending on data availability. Our results prove that greenfields, total FDIs (and mergers and acquisitions by deduction), and productive investments respond to different location criteria according to their characteristics. In particular, the impact of the real exchange rate on each of those investments is very interesting. While low relative prices attract significantly productive investments, financed by domestic or foreign multinational companies (greenfields), they don't seem to have any impact on mergers and acquisitions (deduced from total FDIs).
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Economic catching-up and monetary integration of Central and Eastern European countries / Rattrapage économique et intégration monétaire des pays d'Europe centrale et orientale

Gérard, Marc 28 January 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse au défi que représente le rattrapage des niveaux de prix pour la stabilité macroéconomique des pays en transition d’Europe centrale et orientale, dans la perspective de leur future participation à la zone euro. A cet égard, une modélisation du taux de change réel d’équilibre suggère que l’appréciation réelle liée au rattrapage économique recouvre des évolutions de prix relatifs différentes suivant les régimes de change, dont témoignent des trajectoires d’endettement extérieur contrastées. Dans les économies en changes flexibles, la hausse du taux de change nominal favorise une appréciation endogène des termes de l’échange à moyen terme, en orientant les investissements directs étrangers et la réalisation des gains de productivité vers le secteur exposé de l’économie, ce qui se traduit par une appréciation du taux de change réel d’équilibre et une amélioration des comptes extérieurs. Dans les économies en changes fixes, les effets de valorisation liés à la hausse des prix relatifs domestiques tendent à orienter les investissements vers le secteur abrité de l’économie, entraînant une érosion de la compétitivité extérieure, dont témoigne le gonflement de la dette externe. Par ailleurs, l’intégration monétaire comporte des risques spécifiques pour la stabilité macroéconomique des économies en rattrapage, dans la mesure où elle s’accompagne d’un processus marqué de convergence des conditions de financement entre Etats membres, dès lors que la perspective de l’adhésion à l’espace monétaire commun devient crédible. Un modèle dynamique à anticipations rationnelles permet de montrer que face au choc de demande lié à une telle convergence financière, l’appréciation du taux de change nominal se révèle cruciale pour limiter la surchauffe de l’économie. A l’inverse, dans les économies en régime de change fixe, l’abaissement des primes de risque pays est susceptible de provoquer une montée de l’endettement extérieur, suivi d’enchaînements déflationnistes une fois dans l’union monétaire. / This research investigates the challenges of price level catching-up for macroeconomic stability in Central and Eastern European transition countries seeking to enter the Euro area. In this respect, an equilibrium real exchange rate model suggests that the process of real appreciation observed along economic catching-up in these countries can be ascribed to different relative price developments, depending on the exchange rate regime, as exemplified by contrasted external debt trajectories. In flexible exchange rate economies, the increase in the nominal exchange rate fosters an endogenous appreciation of the terms of trade in the medium run, by channelling foreign direct investment and associated productivity gains to the exposed sector of the economy, thus appreciating the equilibrium real exchange rate and strengthening the current account over time. In fixed exchange rate economies, positive valuation effects associated with the increase in domestic relative prices tend to divert investment to the sheltered sector, thus undermining external competitiveness and bringing about higher external debt. Furthermore, monetary integration entails specific risks for macroeconomic stability in catching-up economies, because it implies a process of rapid convergence in the financing conditions across member States, which takes place as soon as the perspective of accession to the common monetary area appears credible. A dynamic, rational expectations model shows that the appreciation of the nominal exchange rate becomes crucial to curtail the economic overheating triggered by the demand shock associated with financial convergence. By contrast, diminishing country risk premia under fixed exchange rate regimes are likely to cause ‘boom bust’ cycles, with an increase in external indebtedness followed by deflationary developments once in the monetary union.
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Déterminants de la causalité entre le développement financier et le commerce international / Determinants of the causality between financial development and international trade

Phi, Minh Hong 02 December 2019 (has links)
Les changements majeurs intervenus dans le commerce international correspondant à la participation importante des pays émergents au marché mondial remettent en cause la perception traditionnelle du commerce. Au lieu de se spécialiser dans la production pour laquelle ils disposent d’un avantage comparatif, les pays en développement considèrent la diversification des exportations comme un moyen alternatif d’améliorer la croissance économique et de réduire les chocs négatifs externes. Par ailleurs, la crise financière mondiale de 2008 soulève l’examen de la relation entre le taux de change réel (TCR) et le commerce international. Dans une telle perspective, cette thèse tente d’étudier dans un premier temps le lien de causalité entre la diversification des exportations et le TCR dans les pays à revenu intermédiaire. Tout d’abord, nous trouvons une causalité bidirectionnelle entre nos deux variables d’intérêt. En décomposant leurs exportations par destination, le même lien bidirectionnel est enregistré dans le cas du commerce Sud-Nord, tandis que la causalité unidirectionnelle allant du TCR vers la diversification des exportations est marquée dans le commerce Sud-Sud.Deuxièmement, nous comparons cette relation entre deux groupes de pays, l’Asie vs. l’Amérique latine et l’effet de deux crises financières (en 1997 et 2008) sur ce lien. Nous montrons que, sans considération des crises financières, il existe une causalité bidirectionnelle pour les pays d’Amérique latine et la relation conventionnelle allant du TCR vers la diversification des exportations pour les pays asiatiques.Toutefois, en tenant en compte des crises financières, la causalité bidirectionnelle est fondée dans les deux sous-groupes.Troisièmement, nous abordons la question de l’effet de la diversification des exportations sur l’élasticité-prix des importations en comparant deux modèles d’intégration dans la région de l’Asie-Pacifique: les États-Unis avec le modèle d’intégration traditionnel, la Chine avec un modèle singulier d’intégration Sud-Sud. De manière générale, nous trouvons que l’élasticité-prix est négative pour les importations en provenance de la Chine et positive dans le cas des États-Unis. Lorsque leurs partenaires commerciaux réussissent à diversifier leurs destinations à l’exportation, les élasticités-prix des importations s’affaiblissent. Ces résultats questionnent la condition de Marshall-Lerner. Quatrièmement, pour étudier comment un pays pourrait diversifier ses exportations, nous examinons si un choc de change peut être un facteur promouvant la productivité des entreprises. En utilisant la méthode des différences de différences sur les données au niveau des firmes pour les secteurs industriels vietnamiens, nous avons découvert un effet positif d’une appréciation persistante du dong vietnamien sur la productivité des entreprises. Nous confirmons que la recherche et le développement (R&D) pourrait expliquer le mécanisme par lequel une appréciation améliore la productivité des entreprises. / Major changes in international trade related to the crucial participation of emerging countries inworld markets have been challenging the traditional perception of trade. Instead of only specializing inthe products in which they have a comparative advantage, developing countries consider export diversificationas an alternative way to improve economic growth and reduce external adverse shocks. Besides,the global financial crisis in 2008 raised the need for an examination of the relationship between realexchange rate (RER) and trade.In this line, this thesis attempts to investigate the causal link between export diversification andRER in the middle-income countries. Firstly, we find a bidirectional causality between our two variablesof interest. By differentiating the countries’ exports by destination, the same bidirectional link isrecorded in the case of South-North trade, while a unidirectional causality running from RER to exportdiversification is recorded in the South-South trade.Secondly, we compare this relationship between two groups of countries, Asia versus Latin America,and the effect of the two financial crises (in 1997 and 2008) on this link. We show that, regardlessof the financial crises, the bidirectional causality exists for the Latin American countries and the conventionallink from RER to export diversification for Asian countries. However, when accounted forfinancial crises, the bidirectional causality is found in both subgroups.Thirdly, we address the question of the effect of export diversification on price elasticity of importsin two models of integration in the Pacific-Rim, that is: the traditional model (the US) and a new modelof integration (China). We find consistent negative price elasticity of imports for China and a positive onein the case of the US. When their trading partners are successful in diversifying their export destinations,import price elasticity of either China or the US becomes very low. This result challenges our awarenessof the Marshall-Lerner condition.Fourthly, to investigate how a country could diversify her exports, we look at real exchange rateshocks as a factor that may promote firm productivity. Using the difference-in-differences methodologyon firm-level data for Vietnamese manufacturing, we find a positive effect of a persistent real appreciationin the Vietnamese dong on firm productivity. We note that research and development (R&D) could explainthe mechanism by which real appreciation improves firm productivity.
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Four essays on monetary and financial integration in Asia / Quatre essais sur l'intégration monétaire et financière en Asie

Keddad, Benjamin 07 November 2013 (has links)
Dans cette thèse, nous proposons quatre contributions originales à l'étude de l'intégration monétaire et financière des pays asiatiques.Dans le premier chapitre nous déterminons la sensibilité relative des devises asiatiques (ASEAN-5, Corée du Sud) face aux chocs simulés sur le dollar, l'euro et l'ACU. Nous mettons en évidence la volonté de ces pays de se détourner d'une politique de change exclusivement centrée sur le dollar vers une politique plus flexible, où le poids de l'ACU semble avoir gagné en importance.Le deuxième chapitre met l'accent sur la synchronisation entre les cycles des affaires de l'ASEAN-5. Nous montrons que la corrélation entre les cycles est plus forte durant les phases de contraction mais que la dynamique d'ajustement est propre à chaque pays. Par ailleurs, certains cycles des affaires de l'ASEAN-5 contiennent des informations pertinentes pour prédire les changements de régime des autres pays.Le troisième chapitre examine le co-mouvement entre les taux de change réels de l'ASEAN-5 du point de vue de la parité de pouvoir d'achat généralisé (Enders and Hurns, 1994, 1997). Nous montrons que les taux de change réels sont liés par un processus à mémoire longue, ce qui soutient l'idée d'une intégration monétaire plus poussée entre différents sous-groupes de pays. Enfin dans le dernier chapitre, nous examinons le degré d'intégration des marchés boursiers en Asie (ASEAN-5, Hong Kong, Japon). Nos résultats montrent que la volatilité des marchés boursiers internationaux partagent une tendance stochastique commune. En revanche, les marchés boursiers des pays émergents apparaissent encore segmentés tant au niveau global que régional. / This thesis proposes four contributions to the study of Asian monetary and financial integration.The first chapter examines to what extent the East Asian exchange rates (ASEAN-5, South Korea) are sensitive to shocks simulated on the US dollar, the euro and the ACU. We show that these countries have moved from a US dollar-based pegging system to a more flexible exchange rate policy, where the weight of the ACU has increased over the last years. The second chapter attempts to analyze the correlation among the ASEAN-5 business cycles. Estimates reveal that correlations are higher during downturns but the process of adjustment to shocks displays idiosyncratic features. We also provide evidence that the signals contained in some leading ASEAN-5 business cycles help predict regime switching in other countries. The third chapter examines the co-movement among the ASEAN-5 real exchange rates through the generalized purchasing power parity (Enders and Hurns, 1994, 1997). We find that real exchange rates are tied through a long memory process, supporting further monetary integration among different sub-groups of the ASEAN-5.In the last chapter, we investigate to what extent the stock markets in Asia (Hong Kong, Japan, ASEAN-5) are integrated. Our results reveal that the stock market volatilities in developed countries share a common stochastic trend. Conversely, emerging markets appear to be segmented from both each other and global markets.

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