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The effect of background music on episodic memory

Cournoyer Lemaire, Elise 07 1900 (has links)
No description available.
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Modulation du réflexe acoustique de sursaut par la musique stimulante et relaxante

Richard, Marie-Andrée 08 1900 (has links)
La musique a la capacité d’induire et moduler les émotions, décomposées en deux dimensions : le niveau d’activation (relaxant-stimulant) et la valence émotionnelle (déplaisant-plaisant). Une façon de mesurer objectivement la valence musicale est par le réflexe acoustique de sursaut, une réaction de défense qui consiste en un clignement de l’oeil provoqué par un bruit fort et inattendu. Le réflexe est renforcé par la musique déplaisante et inhibée par la musique plaisante. Cependant, l’effet du niveau d’activation émotionnelle lors de l’écoute musicale demeure inconnu. Cette étude a donc pour objectif d’examiner la modulation du réflexe acoustique de sursaut par la musique stimulante et relaxante jugée plaisante. Basée sur les résultats d’études antérieures avec des images, notre hypothèse était que le réflexe serait plus faible dans la condition stimulante que dans la condition relaxante. Dans un devis intrasujet, 47 participants ont écouté de la musique relaxante et stimulante. Des bruits blancs courts et forts ont été rajoutés par-dessus les extraits afin de provoquer le réflexe de sursaut, dont son amplitude et sa latence ont été mesurées par électromyographie. Les résultats ont ensuite été comparés à ceux d’une condition non-musicale, constituée de sons environnementaux plaisants, afin d’explorer si la musique est plus efficace pour inhiber le réflexe. Finalement, des caractéristiques acoustiques, telles que la clarté de la pulsation, la densité acoustique, la dissonance et l’énergie, ont été extraites puis comparées entre les trois conditions pour explorer leur relation avec les paramètres du réflexe. Les résultats rapportent une modulation de la latence du réflexe de sursaut, dans laquelle celle-ci est plus longue dans la condition stimulante comparée à la condition relaxante. Cependant, aucune différence au niveau de l’amplitude n’a été observée. Seule la latence serait donc sensible au niveau d’activation des émotions musicales lorsque la musique est plaisante. Ensuite, la latence dans la condition non-musicale était aussi longue que celle dans la condition stimulante, suggérant que la musique n’est pas plus efficace que les sons non-musicaux pour inhiber le réflexe de sursaut. Finalement, comme l’amplitude et la latence n’ont pas le même patron de réponses, cette étude suggère que le réflexe de sursaut est aussi modulé par le traitement des caractéristiques acoustiques et que ceux-ci ont un effet différent sur ces deux paramètres. En conclusion, la latence du réflexe acoustique de sursaut est une bonne méthode pour mesurer le niveau d’activation des émotions musicales. De futures recherches pourront utiliser le paradigme de la modulation affective du réflexe de sursaut pour mesurer les effets des émotions musicales selon des facteurs individuels tels que l’âge et la dépression. / Music has the capacity to evoke and modulate emotions, divided by two dimensions: arousal (relaxing-stimulating), and valence (unpleasant-pleasant). Musical valence can be objectively measured by the acoustic startle reflex, a defensive reaction consisting of an eye blink provoked by a short and loud noise. This reflex is facilitated by unpleasant music and inhibited by pleasant music. However, the arousal effect while listening to music on the startle reflex remains unknown. This study therefore aims to explore the affective startle modulation by stimulating and relaxing music. In a within-subjects design, 47 participants listened to stimulating music, relaxing music and non-musical sounds. White noises (50 ms, 105 dB(A)) were added over the excerpts to induce startle while eyeblink magnitude and latency were measured by electromyography. Excerpts’ acoustic features were then extracted and compared through experimental conditions to explore their effect on startle modulation. Startle latency was longer in the stimulating condition compared to the relaxing one, but no differences in magnitude were found, partially confirming our predictions. Exploratory analyses suggest that startle modulation is also attributed to bottom-up processes of acoustic features, and that these latter impact differently magnitude and latency. In conclusion, this study highlights startle latency measure efficiently emotional arousal while listening to music, allowing future research to use the paradigm of affective startle reflex modulation to evaluate the effect of music on emotions considering individual factors, such as age and depression. It also paves the way for comparisons of the effect of emotions and acoustic features processes on the startle reflex modulation.
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Adaptations neuromusculaires des muscles extenseurs du genou : contractions fatigantes uni- vs bi-latérales

Matkowski, Boris 17 December 2010 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail était de déterminer i) l'influence du niveau de force absolue sur la durée du temps de maintien, et les altérations neuromusculaires subséquentes chez un même individu à l'issue d'un exercice réalisé à la même intensité relative, avec un ou deux membres ; ii) l'influence de la commande nerveuse sur la capacité de production de force de chacun des muscles extenseurs du genou lors de contractions unilatérales (UL) vs. bilatérales (BL); iii) l'évolution des mécanismes d'activation pendant une série de contractions sous-maximales évoquées par électromyostimulation (EMS).Les résultats de la première étude confirment que le temps limite est dépendant du niveau de force absolu pour un même individu, la durée de la contraction en UL étant 20% plus longue qu'en BL. De plus, une corrélation a été trouvée entre la force lors d'une contraction maximale volontaire (CMV) et le temps limite en UL et BL. Toutefois, d'autres mécanismes semblent être également mis en jeu, car dans un cas les mécanismes sont d'origine nerveux et musculaire (UL), alors que dans l'autre cas les mécanismes sont seulement nerveux (BL). Les résultats de la deuxième étude montrent que la force maximale développée lors d'une contraction BL est inférieure à la somme des forces des contractions UL (i.e. présence d'un déficit bilatéral). Les temps d'apparition des pics de force lors des CMV de chacune des jambes ne sont pas différents de celui de la CMV BL, mais la force développée au cours de celle-ci est inférieure à la somme des CMV de chacune des jambes durant la CMV BL, c'est-à-dire à la force maximale produite par chacune des jambes lors de la CMV BL. Néanmoins, aucune différence d'activité EMG, d'amplitude d'onde M, de doublet et de niveau d'activation n'a été observée entre les conditions UL et BL. Les résultats de la troisième étude montrent que l'estimation de la commande descendante, par la technique de la secousse surimposée, lors d'un effort sous-maximal fatigant présente des biais méthodologiques. Toutefois, l'estimation des mécanismes nerveux par les deux méthodes classiques (niveau d'activation volontaire (NAV) et ratio d'activation centrale (CAR)) reste néanmoins pertinente pendant des contractions maximales volontaires. L'ensemble de nos travaux met en évidence l'intervention de mécanismes d'origine nerveux différents entre les contractions UL et BL

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