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Impacts de la population de la Grande Oie des Neiges sur l'état trophique des lacs et étangs de l'Ile Bylot, Nunavut

Côté, Ghislain 18 April 2018 (has links)
La majorité des études en limnologie et en sciences animales concentrent leurs efforts soit sur les écosystèmes d'eau douce ou sur les populations animales. Peu se sont intéressés aux liens qui existent entre les deux dans une perspective temporelle. L'utilisation des techniques de la paléolimnologie dans la gestion de populations animales est de grand intérêt puisque le manque de données à long terme est un problème crucial compliquant le processus de décision souvent basé sur des études à court terme uniquement et menant trop souvent à des décisions de gestion quelque peu aléatoires. Cette étude a pour objectfs d'évaluer l'impact de la population de la Grande Oie des Neiges sur les conditions chimiques des lacs et étangs (limnologie) et de tester le potentiel des méthodes de la paléolimnologie pour des reconstitutions de l'évolution des populations animales. Une étude de 27 écosystèmes d'eau douce a été effectuée sur l'île Bylot (Nunavut, Canada) dans l'optique d'identifier les facteurs expliquant la variabilité des conditions limnologiques dans l'espace à savoir si la présence ou l'absence d'oiseaux dans le bassin versant était un élément important. Notre étude a démontrée que la distance du plan d'eau de la mer est la variable principale expliquant les différences limnologiques observées au sein des sites d'études. Les variables reliées à la présence de la Grande Oie des Neiges dans le bassin versant jouaient, quant à elles, un rôle secondaire mais significatif. Les concentrations de N et de P étaient significativement plus élevées au sein des sites visités par les oiseaux qu'au sein des sites non visités, mettant de l'avant l'importance de l'impact des populations animales nordiques sur les écosystèmes d'eau douce. À la lueur de ces résultats, il est possible d'appliquer les techniques de la paléolimnologie afin d'étudier les variations de la population animale dans le passé. Nos résultats suggèrent que l'environnement de l'île Bylot est resté plutôt stable au niveau climatique de 1490 à 2004. Néanmoins, des changements importants d'ordre biologique ont été observés dans les lacs fréquentés par la population d'oies. Ces tendances coïncidaient bien avec les fluctuations récentes connues au sein de la population de la Grande Oie des Neiges, permettant de suggérer une reconstitution de la population. Cette étude a démontrée que, depuis plusieurs siècles, la population de Grande Oie des Neiges n'a jamais été aussi importante qu'aujourd'hui, supportant ainsi la nécessité d'une gestion de la population adéquate, et de l'étude des causes de cette augmentation récente du nombre d'individus. Ces résultats démontrent aussi que la paléolimnologie peut être un outil important dans la production de bases de données à long terme, offrant une meilleure compréhension de la dynamique des populations animales dans un contexte de gestion.
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La chasse à la sauvagine au-delà du plomb et du sang

Lavoie, Richard 25 April 2018 (has links)
Le contenu de ce mémoire porte sur le phénomène de la chasse à la sauvagine dans la partie haute de l'estuaire moyen du fleuve Saint-Laurent de même que chez les Cris de la Baie James et les Montagnais de la basse Côte Nord. Le périmètre de la recherche concerne principalement ce que l'on pourrait appeler le couloir migratoire traditionnel de la grande oie des neiges au Québec, c'est-à-dire les régions situées entre Saint-Vallier et cap Saint-Ignace sur la côte sud du fleuve Saint-Laurent et entre Beauport et le cap Tourmente du côté nord. L'on y présente l'écologie des rapports d'interaction entre les humains et la sauvagine, les principales espèces de sauvagine chassées, l'ethno-histoire de la chasse à la sauvagine de même qu'une ethnographie des pratiques contemporaines de chasse ainsi que quelques activités limitrophes. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Aspects non-canalisés de la dynamique de population de la grande oie des neiges : probabilités de reproduction et de survie juvénile / Non-canalized aspects of population dynamics of greater snow goose : juvenile survival and reproduction probabilities

Souchay, Guillaume 13 March 2013 (has links)
Chez les espèces longévives, une relation inverse entre la variabilité des paramètres démographiques et leur élasticité (i.e. la contribution relative du paramètre au taux de croissance de la population) semble exister. La théorie de la canalisation environnementale permet d'expliquer une telle relation. Les paramètres ayant la plus haute élasticité auraient évolué de façon à être moins variable face aux variations environnementales afin d'optimiser la fitness individuelle et ainsi maximiser la croissance de la population. Afin de tester l'existence d'une telle hypothèse chez une espèce, il est nécessaire d'estimer les paramètres démographiques ainsi que leur contribution relative au taux de croissance. À l'aide des modèles les plus récents de capture-marquage-recapture, nous avons donc estimé les paramètres de survie juvénile et de reproduction chez la grande oie des neiges pour les comparer au taux de survie adulte, paramètre le plus élastique.Notre étude a montré que les paramètres de survie juvéniles et de probabilité de nicher étaient très variables, tel qu'attendu. Le taux de survie juvénile dépend des conditions environnementales, avec notamment un fort effet du parasitisme. En vermifugeant des individus, nous avons trouvé un effet négatif des parasites intestinaux sur la survie des oies juvéniles femelles mais pas sur celle des mâles, ce qui s'explique probablement par une différence d'investissement dans le système immunitaire en fonction du sexe chez les individus en croissance. La probabilité de nicher est également dépendante des conditions environnementales mais notre étude a également révélé l'existence de coûts associés à la reproduction. En effet, la probabilité de nicher l'année suivante était fortement réduite suite à une reproduction avec succès comparé aux individus qui avaient eu un échec. Par contre, parmi les individus qui nichent, ceux qui avaient du succès l'année précédente avaient plus de chance d'avoir à nouveau du succès l'année suivante que ceux qui avaient eu un échec, ce qui suggère une hétérogénéité dans la qualité des individus. En parallèle de ces estimations, nous avons montré que le taux de survie adulte était constant au cours du temps et indépendante du statut reproducteur l'année précédente. Finalement, nous avons également trouvé que la survie adulte ne différait pas entre 2 colonies situés à 800 km de distance dans l'Arctique canadien, ce qui suggère une absence de variabilité spatiale pour ce paramètre démographique. Notre étude a donc démontré la faible variabilité temporelle et spatiale du paramètre démographique le plus important pour le taux de croissance de la population, contrairement aux autres paramètres qui montrent une forte variabilité chez la grande oie des neiges. Notre étude permet donc d'appuyer la théorie de la canalisation environnementale des paramètres démographiques chez les espèces longévives. / In long-lived species, an inverse relationship apparently occurs between variability of demographic parameters and their elasticity (i.e. the relative contribution of a given parameter to the population growth rate). The environmental canalization theory has been proposed to explain such a relationship. Demographic parameters with the highest elasticity should have evolved in a way reducing their variability in presence of environmental variations in order to optimize individual fitness and hence to maximize the population growth rate.To test this hypothesis in a given species, demographic parameters and their elasticity need to be accurately estimated. Using advanced capture-mark-recapture models, we estimated juvenile survival and breeding probabilities in the greater snow goose and we compared their variability to adult survival, the parameter with the highest elasticity.Our study showed that both juvenile survival rate and breeding propensity were highly variable, as expected. The juvenile survival probability varied upon environmental conditions, with a strong impact of parasitism. An anthelmintic drug treatment applied to juveniles revealed a negative effect of intestinal parasites on survival of juvenile females but not males, which could be explained by a sex-differential investment in the immune system in growing individuals. We found that the breeding propensity also varied with environmental conditions but we also found some evidence for costs of reproduction. Breeding propensity in the following year was greatly reduced after a successful reproduction compared to birds that had a failed attempt. However, among birds that bred, those that had a success the year before were more likely to be successful again the following year than those that had failed, which suggests heterogeneity in individual quality. In those studies, we showed that adult survival was constant over time and independent of the breeding status the year before. Finally, we also found that adult survival did not differ between 2 breeding colonies distant of 800 km in the Canadian Arctic, which suggests an absence of spatial variability for this demographic parameter.We thus demonstrated a low temporal and spatial variability in the most important demographic parameter for population growth, which contrasts with the high variability of other parameters in the greater snow goose. Our study supports the environmental canalization theory as applied to demographic parameters in long-lived species.
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Réponse à long terme des communautés végétales aux changements climatiques et à l'herbivorisme par la Grande Oie des neiges dans les milieux humides de la toundra du Haut-Arctique canadien

Gignac, Charles 04 March 2022 (has links)
L'augmentation des températures et de la fréquence des dépositions azotées remarquées en Arctique depuis la fin du 20e siècle pourrait radicalement changer la disponibilité en nutriments pour la végétation de la toundra. Par ailleurs, les herbivores sont reconnus pour imposer une forte pression sur cette végétation via le broutement. Ce projet vise donc à déterminer au cours des deux dernières décennies (2003-2019): 1) quel phénomène entre le réchauffement climatique et les dépositions azotées transforme le plus la végétation des milieux humides de toundra ainsi que 2) quelle est la réponse temporelle de la végétation à une augmentation de la disponibilité en nutriments et 3) quel est l'impact du broutement sur la végétation en fonction du réchauffement climatique et des dépositions azotées. Une expérience de fertilisation simulant les apports en nutriments du réchauffement climatique et des dépositions azotées a été menée pendant 17 années dans les milieux humides de l'île Bylot, un site d'alimentation estivale de la Grande Oie des neiges dans le Haut-Arctique canadien. En plus de la fertilisation, des exclos ont été installés afin de soustraire une partie de la végétation à l'herbivorisme des oies. Nous avons constaté que les effets du réchauffement climatique sont plus importants que ceux des dépositions azotées et favorisent la transition d'une toundra à mousses vers une toundra à plantes graminoïdes. Cependant, cette transition était soumise à un décalage temporel allant jusqu'à 17 années, ce qui suggère une libération des nutriments par la décomposition des parties inférieures du tapis de mousse. Pour sa part, le broutement parles oies diminue davantage la productivité primaire et la litière des plantes graminoïdes que l'effet négatif du piétinement sur la croissance des mousses. Ainsi, l'herbivorisme par la Grande Oie des neiges favorise la stabilité des milieux humides de toundra dominés par les mousses en réponse au réchauffement climatique. / The increase in temperature and frequency of nitrogen deposition observed in the Arctic since the end of the 20th century could radically change the availability of nutrients for tundra vegetation. Moreover, herbivores are known to impose a strong pressure on this vegetation via grazing. This project aims to determine over the last two decades (2003-2019): 1) which phenomenon between global warming and nitrogen deposition is most likely to transform the vegetation of tundra wetlands; 2) what is the temporal response of vegetation to an increase in nutrient availability, and 3) what is the impact of grazing on vegetation in the context of global warming and nitrogen deposition. A fertilization experiment simulating nutrient contributions from global warming and nitrogen deposition was conducted for 17 years in the tundra wetlands of Bylot Island, a summer feeding site for Greater Snow Goose in the Canadian High Arctic. In addition to fertilization, exclosures were installed to prevent goose grazing and grubbing on the above and below ground vegetation. Results showed that over the past 17 years, the effects of global warming are more important than those of nitrogen deposition and promote the transition from moss-dominated tundra wetlands to graminoid-dominated tundra wetlands. However, this transition was subject to a time lag of up to 17 years, suggesting a release of nutrients via decomposition of the lower parts of the moss mat. On the other hand, goose grazing decreased primary productivity and litter biomass of graminoid plants more than trampling on moss growth. Thus, grazing by Greater Snow Geese promotes the stability of moss-dominated tundra wetlands in response to global warming.
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Entre biodiversité et pratiques cynégétiques patrimoniales : étude comparée des chasses traditionnelles aux gibiers migrateurs terrestres dans le Sud-Ouest de la France et au Québec : le cas du pigeon ramier (France) et de l'oie blanche (Québec)

Difilippo, Gabriel 31 May 2022 (has links)
Ce mémoire est le fruit d'une recherche de Master, effectué dans le cadre de la formation « TEMA+ : European Territories: Heritage and Development program» et de la maitrise en Ethnologie et Patrimoine de l'Université de Laval à Québec. L'art cynégétique est un art de prédilection pour ce qui s'agit de modifier et d'influer directement sur la nature. L'Homme se doit d'ajuster et de maitriser le terrain afin de mettre en place des pièges efficaces, rendant ainsi possible la capture de proies jusque-là inatteignables. Les techniques de chasse, se transmettent et se perfectionnent ainsi de génération en génération à travers le temps et l'espace. C'est dans ce cadre que se situe l'essence de ce projet, il s'agit, en effet, d'effectuer une étude comparée entre des techniques traditionnelles de chasses au gibier migrateur terrestre dans le Sud-Ouest de la France et au Québec. L'objectif premier du projet est la confrontation transdisciplinaire de la notion de "nature" à celle de "culture". Plus précisément il s'agit de démontrer les interactions de l'Homme sur son milieu et des milieux sur l'Homme pour des pratiques sociales et culturelles données. En effet, l'observation de différentes pratiques cynégétiques fait émerger la relation particulière entre technique et sociabilité ainsi que le lien logique entre pratique traditionnelle et espaces naturels. Pour cela, le choix des cas d'études s'est porté sur la palombe pour l'exemple français et sur l'oie blanche pour l'exemple canadien, deux entités qui se révèlent d'abord fortement similaires puis porteuses d'identités fortes qui dévoilent tout un pan patrimonial et culturel sur les territoires concernés. Ce mémoire se propose d'apporter quelques éléments de réponses à la problématique suivante : « Comment des pratiques culturelles liées à la chasse de migrateurs terrestres, marqueurs d'identités et de patrimoines en France et au Québec, autorisent la création de zones biologiquement transformées avec potentiellement la mise en place d'écosystèmes complexes ? ». Par l'application d'une méthodologie exploratoire, d'observations participantes et in situ, et par la comparaison de données récoltées à l'occasion d'entretiens semi-dirigés, tenter de répondre à cette question a permis la mise en évidence d'archétypes foncièrement marqués malgré une distance géographique évidente. Fort des rémanences révélées entre les deux cas d'étude, une limite s'est établie au carrefour de l'histoire législative respective des deux univers cynégétiques mis en parallèle.
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L'effet fertilisant de la grande oie des neiges : cinq ans de suivi de l'azote et du phosphore dans les polygones de tourbe de l'île bylot au nunavut

Marchand-Roy, Mylène 16 April 2018 (has links)
Des expériences de fertilisation à court terme ont montré que la présence d 'un tapis de mousses était une contrainte au recyclage de l'azote (N) et du phosphore (P) par les plantes graminoïdes des polygones de tourbe de l'Arctique, dont se nourrissent des herbivores comme les oies. Cette contrainte retarderait l'effet fertilisant de leurs fèces qui sont riches en nutriments facilement assimilables (N et P) par les plantes broutées. Dans ce contexte, une expérience de fertilisation à long terme, cumulant 14 traitements (N, P, N+P, fèces et glycine), a été menée dans les polygones de tourbe de l ' île Bylot, un site du Haut-Arctique canadien. Le but était de simuler la présence annuelle de la Grande Oie des neiges qui vient s 'y alimenter chaque été. Nos résultats montrent, qu 'après cinq ans de fertilisation avec 'Une quantité de fèces qui équivaut au double de celle produite par la population d 'oies actuelle, on a une forte tendance pour l'augmentation de la croissance des plantes graminoïdes. Par contre, c'est seulement avec une fertilisation en N inorganique supérieure (~ 1 g Nfm2 fan), pour venir saturer le tapis de mousses, que l'on a un effet significatif sur leur croissance. De plus, la décomposition de la matière organique est alors favorisée. L'étude dévoile aussi que l ' absorption de l'N et du P par la végétation n'est pas clairement favorisée par des apports combinés en ces nutriments en comparaison à des apports de l'un ou l'autre seuls. Par contre, la fréquence d'application d'une même quantité de fertilisant (individuelle vs. annuelle) influence la croissance des mousses, alors qu'elle ne montre pas de différence sur celle des graminoïdes. En effet, les mousses ont profité davantage du fractionnement d'une dose de fertilisant à chaque année, que de l'application complète de la même dose, la première année de l'expérience. Donc, par leur présence annuelle, il semble que l ' effet fertilisant des oies soit plus important sur la croissance des mousses que sur celle des graminoïdes broutées. Ces plantes vasculaires, également, ne compensent que partiellement la perte de tissu liée au broutement, ce qui abaisse leur couvert et donne probablement accès à plus de lumière pour les mousses. À l'île Bylot, la présence des oies favoriserait donc le maintien d'un couvert de bryophytes caractéristique des polygones de tourbe arctiques.

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