Evidence exists that the onset of retinal disease results in both behavioral adjustments by the individual and cortical reorganization of primary visual areas. Previous investigations into the phenomenon of cortical plasticity in the presence of ocular disease have mainly focused on central retinal damage that involves the fovea. The logic underlying these adjustments of the visual system should theoretically also apply to peripheral field loss when central visual functions are preserved. Given the highly tuned ability of the human visual system to encode spatial information, the domain of spatial vision is a logical choice when assessing the behavioral effects of cortical plasticity. Spatial interval discrimination was tested in 33 normally sighted participants and 28 patients with retinitis pigmentosa. When the testing procedure was administered in a symmetrical horizontal display around fixation, accuracy scores did not differ in a meaningful way between RP patients and normals. Performance precision, however, was generally poorer in RP patients, independently of stimulus eccentricity, retinal location or monocular/binocular viewing condition. When stimuli were presented binocularly and asymmetrically, in only one visual hemifield at a time, error scores were systematically related to visual field asymmetries when viewed in the left visual field only. These findings indicate that spatial interval discrimination in the right cortical hemisphere, which specializes in spatial processing, may be more likely susceptible to cortical reorganization in the presence of asymmetric field loss. This indicates that brain laterality may be an important factor to consider when examining changes in cortical function in response to peripheral system damage. In addition, RP patients with smaller visual fields were more likely to report subjective perceptions of spatial distortions, especially when viewing faces. This indicates that, even though the measurable changes / Les pathologies rétiniennes entraînent une adaptation comportementale et une réorganisation corticale de l'aire visuelle primaire. Les études sur la plasticité corticale liée à des pathologies oculaires se sont principalement intéressées aux atteintes de la rétine centrale. Les remaniements du système visuel observés dans ce type d'atteinte devraient, en principe, se retrouver dans les cas de perte de vision périphérique. fr / Vu la capacité de remaniement du système visuel encodant l'information spatiale, le domaine de la vision spatiale paraissait approprié pour mettre en évidence l'incidence de la plasticité corticale sur le comportement. La discrimination spatiale a été testée chez 33 personnes ayant une vision normale et 28 patients ayant une rétinite pigmentaire (RP). Lorsque les cibles étaient présentées simultanément dans un plan horizontal, de part et d'autre du point de fixation, les résultats des patients RP étaient comparables à ceux des participants témoins. L'exécution de la tâche était cependant moins précise chez les patients RP, quelles que soient l'excentricité du stimulus et la condition visuelle (monoculaire ou binoculaire). Lorsque les stimuli étaient présentés en condition binoculaire, soit dans l'hémichamp visuel gauche, soit dans le droit, les erreurs survenaient lorsque les cibles étaient présentées à gauche, mais pas lorsqu'elles étaient présentées à droite. Ces résultats indiquent que les aires corticales dévolues à la discrimination spatiale dans l'hémisphère droit seraient davantage sujettes à réorganisation dans les cas de perte de vision asymétrique. D'autre part, les patients RP ayant les plus petits champs visuels signalaient davantage de distorsions, plus flagrantes dans l'observation de visages. Malgré de faibles changements quantifiables de la fonction visuelle, la perception visuelle est indéniablement affectée. Cette série d'expériences montre que la perception spatiale des patients ayant une RP diffère de celle des sujets sains. Cependant, ces différences présentent une grande variabilité qui ne suit pas des schémas systématiques. / La latéralisation cérébrale semble donc un facteur à considérer dans l'examen de l'altération des fonctions corticales liée à une atteinte du système visuel périphérique. Avec l'avancée des connaissances dans le traitement de la RP, cette voie de recherche sera à considérer, notamment avec l'avènement des implants rétiniens destinés à restaurer la vision. fr

Purpose: Ocular toxoplasmosis is the most common etiology of posterior uveitis. The high incidence of macular scarring associated with ocular toxoplasmosis is a leading cause of visual morbidity. Serum biomarkers of the disease would aid in its diagnosis. This work was designed as a pilot study to detect potential biomarkers. Methods: Blood serum samples were collected from four groups of nine patients each; healthy, uveitic, one single-toxoplasmic event and recurrent events. Protein profiles were generated by SELDI-ToF-MS and 2-DE. Proteins were sequenced using tandem-MS. A tree-based decision classification system was developed. Results: 50 markers of ocular toxoplasmosis and 46 markers of recurrent disease were discovered by MS; 47% were cross-validated; 14 biomarkers were selected for validation and all were visualized by SDS-PAGE. 2-DE yielded 57 differentially expressed bands, 20 of which were excised and identified. Conclusions: This pilot study sough to elucidate blood serum biomarkers for ocular toxoplasmosis, as no biomarker for ocular toxoplasmosis exists currently. This study demonstrates the potential for SELDI-ToF-MS and well as other MS technologies to identify novel biomarkers for this disease. / Objectif : La toxoplasmose oculaire est la cause principale de l'uvéite postérieure. Les cicatrices maculaires associées à la toxoplasmose oculaire sont à la base de la morbidité visuelle. Des marqueurs sérum sanguin de la maladie en faciliter le diagnostic. Méthodes : Les échantillons de sérum sanguin ont été recueillis auprès de quatre groupes de neuf participants composées de patients : sains, avec uvéite, ayant subit un seul événement toxoplasmique et ayant subit des événements récurrents. Des profils protéiques ont été générés par SELDI-ToF-MS et le 2-DE. Les protéines ont été séquencées à l'aide de tandem MS. Un système de classification basé sur des arbres décisionnels a été élaboré. Résultats : 50 marqueurs de la toxoplasmose oculaire et 46 marqueurs de récidive de la maladie ont été découverts par MS. 47% de ces marqueurs ont été validés par recoupement et 14 biomarqueurs ont été retenus pour validation. Tous ont été visualisés par SDS-PAGE. 2-DE, ce qui a abouti à 57 différentiellements exprimés en bandes dont 20 ont été excisées et identifiées. Conclusions : Cette étude pilote visait à identifier des biomarqueurs sériques potentiels de la toxoplasmose oculaire. Ici, on a dénoté l'utilité de la technologie SELDI-ToF-MS et des autres technologies pour identifier de nouveaux biomarqueurs pour cette maladie.

In order to further define the photopic ERG luminance-response function and explore its potential value in the investigation of normal and pathological phenomena involving the cone visual pathways of the human retina, we recorded photopic ERGs on a broad range of intensities: 1) in response to very dim flashes of red, blue and white light; 2) during changes in the retinal light adaptation level; and 3) in patients affected with selected retinal diseases. Our experimental approach revealed that the photopic ERG luminance-response function is a useful tool to understand the basis of retinal physiology and can be used to some extent to facilitate segregation/dissociation of retinopathies involving specifically the ON or OFF-retinal pathways. ERG specialists would thus benefit from adding luminance-response recordings to their standard protocols. / Afin de mieux définir la fonction luminance-réponse de l'ERG photopique et de déterminer son potentiel pour étudier les phénomènes normaux et pathologiques des voies visuelles liées aux cônes, nous avons enregistré des ERGs photopiques sur une large étendue d'intensités de stimulation dans les 3 trois conditions suivantes : 1) en réponse à de faibles stimuli de lumière rouge, bleue et blanche; 2) pendant l'adaptation de la rétine à la lumière; 3) chez des patients atteints de maladies rétiniennes choisies. Notre approche expérimentale a montré que la fonction luminance-réponse de l'ERG photopique est un outil utile pour comprendre les bases de la physiologie rétinienne et qu'elle permet également de catégoriser les rétinopathies affectant spécifiquement la voie ON ou la voie OFF de la rétine. Il serait donc indiqué d'ajouter l'enregistrement d'une courbe luminance-réponse aux protocoles cliniques standards.

Thesis (M App Physics (Research)) -- University of South Australia, 1992

Thesis (Ph.D.)--Indiana University, Dept. of Optometry, 2007. / Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 68-07, Section: B, page: 4406. Adviser: Larry N. Thibos. Title from dissertation home page (viewed Apr. 21, 2008).

Thesis (Ph.D.)--Indiana University, School of Optometry, 2007. / Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 68-09, Section: B, page: 5877. Adviser: Arthur Bradley. Title from dissertation home page (viewed May 9, 2008).

Thesis (M. P. H.)--University of Hong Kong, 2005. / Also available in print.

Thesis (Ph.D.)--Indiana University, School of Optometry, 2007. / Adviser: Arthur Bradley.

Thesis (Ph.D.)--Indiana University, School of Optometry, 2008. / Title from PDF t.p. (viewed on Jul 27, 2009). Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 69-11, Section: B, page: 6715. Adviser: Carolyn G. Begley.

Thesis (Ph.D.)--Indiana University, School of Optometry, 2004. / Title from PDF t.p. (viewed Dec. 2, 2008). Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 66-01, Section: B, page: 0215. Chair: Donald T. Miller.