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L'apothéose de Dionysos dans les Dionysiaques de Nonnos de Panopolis : à qui profite l'Olympe?

Fanguet, Alice 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur le thème de l'apothéose de Dionysos dans l'épopée de Nonnos de Panopolis, poète égyptien du Ve siècle p.C., intitulée les Dionysiaques. Cette étude s'intéresse à la nature et au rôle de la déification pour le héros et pour l'œuvre. Le premier chapitre pose les bases de la recherche en présentant la nature des trois Dionysos de l'histoire, Zagreus, Bacchos, Iacchos, ainsi que leurs liens avec la sphère divine. Cette première étape montre que l'apothéose est progressive chez Nonnos puisqu'elle se déroule tout au long de l'épopée. L'ascension finale de Dionysos dans l'Olympe n'est plus qu'une formalité qui donne l'occasion aux trois entités dionysiaques d'être honorées conjointement. Une fois la nature de l'apothéose établie, le second chapitre s'intéresse au rôle de l'ascension divine pour la structure de la trame narrative et pour les autres personnages. Il y est question de la sincérité des mystères et des espoirs de salut dans le récit. Le dernier aspect de cette section concerne le sérieux de l'épopée et de son héros Dionysos, en lien avec ses objectifs d'écriture, subordonnés à l'esthétique de l'époque, la paideia et la poikilia.
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À la recherche d'un idéal politique : analyse des discours des orateurs attiques du IVe siècle a.C.

Trépanier, Marie-Hélène 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire propose d’analyser les discours des orateurs attiques du IVe siècle a.C. dans le but de déterminer s’il existait pour cette période un idéal au sein de la politique active et, le cas échéant, à quel type de constitution appartenait cet idéal. Pour ce faire, l’analyse porte d’abord sur les critiques liées au régime démocratique alors en place à Athènes. Elle établit que bien que les orateurs aient prôné de manière générale le système démocratique, une grande partie de ces louanges découlaient de la structure du système qui favorisait les flatteries grâce à l’utilisation de la rhétorique. La monarchie et l’oligarchie, autres régimes potentiels pour une cité, sont par la suite abordées. Il s’avère qu’aucun de ces deux systèmes politiques ne put représenter une option viable pour la cité d’Athènes, puisque les Athéniens avaient developpé de manière générale une vision bien trop néfaste de leurs contemporains usant de tels modèles politiques et que la cité s’était munie de mesures légales et culturelles pour maintenir constamment la peur de la tyrannie dans l’esprit de ses citoyens. Pourtant, les orateurs reconnurent certains points positifs à la monarchie et mirent bien souvent l’accent sur les raisons pour lesquelles Athènes méritait d’être un meneur parmi les cités grecques. C’est pourquoi, en dernier lieu, un parallèle est effectué dans ce travail entre les caractéristiques que l’on reconnaissait à Athènes et les attributs décernés par les philosophes au monarque idéal, le tout pour montrer un déplacement des idéaux politiques de la politique interne à externe et de la démocratie vers la bonne monarchie.
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Figure(s) du philosophe chez Maxime de Tyr : traduction et commentaire des Dialexeis 3, 17, 26 et 36 / Figure du philosophe chez Maxime de Tyr / Figures du philosophe chez Maxime de Tyr

Huot, Colette-Marie 24 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / Les Dialexeis de Maxime de Tyr (seconde moitié du IIe siècle ap. J.-C.) sont de courts textes abordant des questions philosophiques avec clarté et élégance. Ce mémoire présente la traduction et le commentaire littéraire de quatre d’entre eux, qui discutent de grands philosophes du passé : le procès de Socrate (Dialexis 3), la querelle d’Homère et de Platon sur la poésie (Dialexis 17), la réconciliation de ces derniers en faisant d’Homère le premier des philosophes (Dialexis 26) et enfin l’éloge de Diogène (Dialexis 36). À la suite d’une traduction annotée, le commentaire cherche à dégager les principaux aspects de la construction d’un idéal du philosophe à partir de micro-analyses textuelles. Le premier chapitre pose le cadre conceptuel de ces portraits : une rhétorique proche de la Seconde Sophistique, marquée par les procédés de l’éloge ; et une définition de la philosophie comme sagesse et vertu poussées à leur paroxysme, s’incarnant au long des siècles dans la succession des sages. Le deuxième chapitre examine les traits caractéristiques de ces philosophes. Socrate et Diogène, tout comme Homère et Platon – les premiers traités comme exempla d’action vertueuse et les derniers comme des enseignants de la sagesse par leurs œuvres – voient leur ethos grandi par la présence de comparants divers. Enfin, le dernier chapitre s’intéresse de plus près à la situation d’énonciation interne et externe des Dialexeis, qui se reflète dans la stratégie pédagogique d’une part, et d’autre part dans la confrontation des différentes figures philosophiques – Maxime compris – avec leurs rivaux dans le domaine littéraire et esthétique, sophistes, orateurs, poètes et artistes. Le mémoire conclut sur le caractère protéiforme de la figure du philosophe dans les Dialexeis. / Maximus of Tyre’s Dialexeis (second half of the 2nd century BC) are short lectures dealing with style and clarity with philosophical questions. This study aims at translating and analysing four of them, in which Maximus portrays some famous philosophers of the Greek past. He thus pictures Socrates’ trial (Dialexis 3), Homer and Plato’s quarrelling about poetry (Dialexis 17), tries to reconcile both of them by showing how great a philosopher Homer is (Dialexis 26) and praises Diogenes’ lifestyle (Dialexis 36). The literary comment is based on close readings of the annotated translation, in order to show the author’s ideal picture of the philosopher. The first chapter qualifies Maximus’ style as mainly epidictic, close to the Second Sophistic’s standards, and defines philosophy as virtue and wisdom embodied in the wisemen who succeed in cultivating them along centuries. The second chapter explores the philosopher’s main features. Whereas Socrates and Diogenes are pictured as virtuous exempla, Homer and Plato are rather dealt with as authors and teachers of wisdom. All of them are compared with diverse characters, who add to their ethos. Eventually, the third chapter is a closer look at the Dialexeis’ internal and external enunciative situation: Maximus’ and his philosophical characters’ self-display as wise and virtuous teachers leads them to confront their fellow enemies – sophists, orators, poets and artists – in the literary and aesthetic field. This study concludes on the portray of the philosopher as a man with many turns and faces.
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Lire Grégoire de Nazianze à l'époque byzantine : édition critique, traduction et analyse des Commentaires de Basile le Minime aux Discours 4 et 5 de Grégoire de Nazianze

Rioual, Gaëlle 24 April 2018 (has links)
Thèse en cotutelle Université Laval, Québec, Canada et Université de Fribourg, Fribourg, Suisse / Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / Basile le Minime, évêque de Césarée en Cappadoce au milieu du Xe siècle, est principalement connu pour avoir écrit un Commentaire à tous les Discours de Grégoire de Nazianze. En effet, bien qu’il ait eu un rôle à jouer à la cour de l’empereur Constantin VII Porphyrogénète, entre autres lors de la prise du pouvoir par ce dernier et lors de la nomination du patriarche Polyeucte, deux événements qui ont marqué sa carrière ecclésiastique, c’est d’abord grâce à son œuvre exégétique qu’il passa à la postérité. Ses Commentaires connurent dès leur publication un certain succès, comme le prouve le nombre de manuscrits qui transmettent son œuvre, plus de quatre-vingt. Cette bonne fortune n’est peut-être pas étrangère au soutien de l’empereur Constantin, à qui les Commentaires étaient dédiés, mais elle s’inscrit également au sein d’un mouvement de mise en valeur de la figure de Grégoire de Nazianze, qui prit de l’ampleur tout au long de l’époque byzantine. Par la suite, son œuvre fut légèrement éclipsée par les contributions des commentateurs postérieurs, qui réutilisèrent toutefois une partie de ses exégèses, avant de tomber finalement en oubli partiel à la fin de l’Empire byzantin. En 1827, Jean-François Boissonade trouva dans la bibliothèque du Roi les Commentaires de Basile le Minime et en publia trois avec la Lettre dédicatoire par laquelle Basile annonçait son œuvre et l’offrait à Constantin VII. Il fut suivi de peu par Louis de Sinner qui publia un autre des Commentaires. Réédités peu de temps après dans la Patrologie grecque, ces quatre Commentaires furent toutefois les seuls et derniers à être publiés en entier et l’œuvre de Basile retint très peu l’attention des chercheurs, jusqu’aux travaux récents de Thomas Schmidt, qui reprit l’édition critique de la Lettre dédicatoire et fit l’édition princeps du Commentaire au Discours 38. Dans la lignée des travaux de ce chercheur, la présente thèse propose une nouvelle édition critique et une première traduction française des Commentaires aux Discours 4 et 5, qui avaient été autrefois publiés par Boissonade, mais seulement sur la base de deux manuscrits. Ces Discours, écrits par Grégoire de Nazianze au lendemain de la mort de l’empereur Julien pour fustiger l’Apostat, célébrer sa mort et montrer aux chrétiens les leçons à retenir de cette épreuve, connurent une certaine postérité à l’époque byzantine. En effet, dans les siècles suivants, les Invectives de Grégoire furent reprises par les auteurs ecclésiastiques et amplifiées, jusqu’à donner naissance à la légende noire de Julien, magicien et tyran par excellence. Ce n’est toutefois pas cet aspect du texte qui retint l’attention de Basile. Au contraire, Basile aborda ces Discours avec le sérieux d’un philologue qui cherche à rendre ces œuvres accessibles, comme il l’écrit lui-même dans l’épilogue qui suit le Commentaire au Discours 5, « pour ceux qui voient petit et qui ont besoin de lait au lieu d’une alimentation solide en discours » (Comm. 5, 66). À cette fin, il emploie une méthode pédagogique comparable à celle d’un grammairien chargé de faire découvrir à ses élèves une œuvre classique : il alterne ainsi les analyses textuelles, principalement axées sur des notions de grammaire et une paraphrase simplificatrice des passages compliqués, avec les exposés contextuels, qui expliquent les événements mis en scène dans l’œuvre ou les références culturelles et littéraires déployées par l’auteur. À cet ensemble s’ajoutent d’autres éléments d’informations sporadiques, en lien, le plus souvent, avec des matières scolaires, comme la rhétorique, la musique, l’astronomie ou la philosophie. En somme, les Commentaires de Basile ne sont pas seulement intéressants pour l’interprétation ou l’histoire exégétique du texte de Grégoire, mais également en tant que témoins de la culture scolaire du milieu de la période byzantine. / Basilius Minimus, bishop of Caesarea of Cappadocia in the middle of 10th century, is mainly known to have written a Commentary on every Oration of Gregory of Nazianzus. Although he had played in the court of the Emperor Constantine VII Porphyrogenetus, most notably when the latter recovered his throne and when Polyeuctus became the patriarch of Constantinople – two events very important in his ecclesiastical career –, he is mostly known for his exegetical work. His Commentaries soon experienced some success, as evidenced by the number of manuscripts, more than 80, that transmit his work. This success may have been a result of the support of the Emperor Constantine to which the Commentaries were dedicated, but it also corresponded to a larger movement valorizing the figure of Gregory of Nazianzus, a movement which gained momentum throughout the Byzantine period. His work has been somewhat overshadowed by the contributions of later commentators, which also borrowed from his exegesis, before falling partly into oblivion at the end of the Byzantine Empire. In 1827, Jean-François Boissonade found three of Basilius’ Commentaries in the Bibliothèque du Roi and published them, along with the dedicatory letter with which Basilius announced his work and offered it to Constantine VII. He was closely followed by Louis de Sinner who published another Commentary. Reedited shortly after in Patrologia graeca, these Commentaries however were the only and last Commentaries to be published in full. The exegesis of Basilius Minimus received very little attention from the researchers, until the recent works of Thomas Schmidt, who realized a new critical edition of the dedicatory letter and the editio princeps of the Commentary on the Oration 38. Following the lead of this researcher, this thesis proposes a new critical edition and a French translation of the Commentaries on the Orations 4 and 5, which were formerly published by Boissonade, but only on the basis of two manuscripts. Written by Gregory of Nazianzus in the aftermath of the Emperor Julian’s death in order to castigate the Apostate, to celebrate his death and to show which lessons the Christians should learn from this event, these Orations experienced a certain posterity in the Byzantine era. In the following centuries, Gregory’s Invectives were effectively taken over by ecclesiastical authors and amplified to give birth to the black legend of Julian as a magician and a tyrant par excellence. This is, however, not the aspect of the text that caught the attention of Basilius. On the contrary, Basilius went into these Orations with the seriousness of a philologist who tries to make these works easy to understand, as he himself wrote in the epilogue following the Commentary on the Oration 5, “to those who see small and who need milk instead of a solid diet of discourses” (Comm. 5, 66). For this purpose, he uses a pedagogical method similar to that of a grammarian who introduces his students to a classical text: he alternates textual analysis, mainly focused on grammatical concepts and simplified paraphrases of complicated passages, with contextual explanations, which expound the events mentioned in the work or on the cultural and literary references used by the author. To this corpus, he adds some other sporadic information, usually related to academic subjects such as rhetoric, music, astronomy or philosophy. In sum, the Basilius’ Commentaries are not only useful for the interpretation or exegetical history of Gregory’s text, but also as witnesses of scholarly culture in the middle of the Byzantine period.

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