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Le gaillet mollugine (Galium mollugo L.) envahisseur : analyse de sa répartition et de ses impacts sur la diversité végétale au parc nationa du Bic /

Meunier, Geneviève. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (de maîtrise)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 42-50.
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Impact de l'implantation du Parc du Mont-Mégantic sur les communautés périphériques locales

Blais, Patrice. January 2000 (has links)
Thèses (M.Sc.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2000. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Le gaillet mollugine (Galium mollugo L.) envahisseur : analyse de sa répartition et de ses impacts sur la diversité végétale au parc national du Bic

Meunier, Geneviève 13 April 2018 (has links)
Les talus des routes favorisent la propagation des plantes envahissantes en agissant comme corridors de dissémination ainsi que comme habitats propices à leur établissement et à leur croissance. Le gaillet mollugine (Galium mollugo L., Rubiaceae) est une de ces espèces envahissantes qui utilisent les talus routiers pour étendre leur aire de répartition. Les talus des routes et des pistes cyclables ainsi que les champs en friche du parc national du Bic, dans l'Est du Québec, ont récemment été envahis par le gaillet, ce qui pourrait représenter une menace pour la flore de ce petit parc. Ce mémoire vise à décrire la distribution du gaillet dans le parc, à circonscrire les facteurs qui favorisent la présence ou l'abondance de l'espèce dans les champs en friche et à évaluer son impact sur la richesse et la diversité floristiques. À l'été 2006, 197 quadrats ont été échantillonnés dans les champs en friche du parc pour la caractérisation de leur flore et de leurs particularités physiques et spatiales. La répartition spatiale du gaillet a également été étudiée en bordure des routes, chemins et pistes cyclables du parc ainsi qu'au sein d'un champ en friche. Des modèles de régression logistique ont été élaborés pour déterminer les facteurs qui influencent la présence ou l'absence ainsi que la fréquence d'apparition du gaillet. Des modèles de régression simple ont aussi été construits afin d'étudier l'influence du gaillet sur la richesse et la diversité floristiques. Les modèles montrent que plus la distance qui sépare un site de la route asphaltée la plus proche diminue, plus la probabilité d'y trouver du gaillet en grande quantité augmente. Les talus des routes asphaltées sont nettement plus envahis que ceux des autres types de corridors de transport. Le gaillet a une influence négative à la fois sur la richesse et sur la diversité floristiques. Les talus routiers constituent des habitats propices (milieux bien drainés, conditions très ensoleillées, peu de compétition) pour la plante. La grande quantité de terres en friche qu'on trouve dans le parc national du Bic favorise aussi sa prolifération. Pour freiner, sinon ralentir l'invasion des champs par le gaillet, il serait préférable de ne pas construire de nouvelles routes ou chemins dans le parc et de ne pas asphalter les routes de gravier qui existent déjà. Cela fournirait au gaillet de nouveaux habitats (talus) et corridors de dissémination.
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Analyse dendroécologique de l'activité du porc-épic dans le parc national du Bic, Québec

Rivet, Amélie 12 April 2018 (has links)
Dans une forêt du Parc national du Bic, l'activité passée du porc-épic a été reconstituée par une approche dendroécologique, impliquant la datation des cicatrices d'alimentation présentes sur le tronc des pins gris. Cette étude a débuté par la description de la structure de la forêt de pins gris sélectionnée pour l'analyse des cicatrices. Cette forêt provient des feux de forêt de 1847 et 1867 et se compose principalement de deux cohortes de pins gris. L'inventaire des arbres a montré qu'en raison d'une longue période sans feu, la majorité des pins gris présents dans le peuplement sont actuellement morts ou sénescents et les plus jeunes pins gris ont près de 100 ans. Le sapin baumier est l'espèce la plus abondante dans la strate de régénération. Ainsi, en absence de feu la forêt de pins gris sera remplacée par une sapinière. Selon la structure d'âge des cicatrices, l'activité du porc-épic a été particulièrement élevée pendant les années 1980, ce qui concorde avec la création du Parc national du Bic. Avant et après cette période, la fréquentation du site par le porc-épic a été plus faible, principalement au cours des années 1920. La diminution récente du nombre de cicatrices concorde avec le déclin de la population de porcs-épics du Parc national du Bic, telle qu'identifiée par le recensement des tanières actives et la capture d'individus. Il est possible également que la diminution de la population de porcs-épics soit attribuable à une augmentation du nombre de prédateurs dans la région depuis le milieu des années 1980.
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Le bilan floristique historique de l'île Bonaventure : 1967-2008

Bourdages, Marilou 16 April 2018 (has links)
La pertinence des parcs naturels de petite superficie pour la conservation de la flore et de la faune est parfois remise en question. Les bilans floristiques historiques, c'est-à-dire la comparaison de la flore actuelle avec celle du passé, sont des outils efficaces permettant d'évaluer si la flore d'une aire protégée est plus vulnérable si ce territoire est de petite superficie. À cet effet, l'île Bonaventure, une constituante du parc national de l'Île-Bonaventure-et-du-Rocher-Percé, dans l'Est du Québec, constitue un bon endroit pour établir le bilan floristique d'un petit parc en milieu rural. La flore actuelle (recensée en 2007 et 2008) de cette île a été comparée avec la flore inventoriée de 1907 à 1967 (dernière année d'inventaires floristiques d'importance avant 2007). Diverses sources historiques (spécimens d'herbier, inventaires floristiques, mémoires) ont été consultées pour faire le bilan. Au total, 355 taxons (dont 18 % sont des taxons exotiques) avaient été identifiés sur l'île entre 1907 et 1967. En 2007 et 2008, 386 taxons (dont 24 % sont des taxons exotiques) ont été trouvés dans le parc. Des 355 taxons qui avaient été identifiés dans le passé, seulement 21 (6 % des taxons du total) n'ont pu être retrouvés. La flore de l'île s'est enrichie de 52 nouveaux taxons depuis 1967 (dont 52 % des taxons sont exotiques). L'île Bonaventure semble moins vulnérable aux pertes d'espèces indigènes et aux introductions de plantes exotiques que les petits parcs en milieu urbain. Pour bien protéger la flore de l'île, il faudrait remettre en bon état les sentiers du parc national de l'Île-Bonaventure-et-du-Rocher-Percé. Il serait important de créer des accès pour les touristes à des points de vue sur le golfe du Saint-Laurent dans le secteur ouest de l'île pour éviter le piétinement de différentes zones vulnérables. Il serait aussi intéressant de mettre en valeur l 'histoire et la flore du territoire le long du sentier Chemin-du-Roy. Enfin, l'accès à un site envahi par l'anthrisque sylvestre, une plante exotique envahissante, devrait être interdit pour ne pas favoriser la dissémination de cette espèce.
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Changements temporels de végétation sur quatre décennies le long d'un gradient altitudinal: Effets du réchauffement climatique / Temporal change over four decades in forest vegetation along an altitudinal gradient: Effects of climate warming

Savage, Josée January 2014 (has links)
Depuis les 100 dernières années, la température de la Terre a fortement augmenté en raison des changements climatiques. Par exemple, le sud du Québec a connu des anomalies d’environ +1,2 °C depuis 1970. Or, deux conséquences possibles d’une telle augmentation de température sont (i) le déplacement des distributions géographiques des espèces vers des latitudes ou altitudes plus froides, et (2) une modification des communautés favorisant les espèces adaptées au chaud. À l’été 2012, l’inventaire floristique effectué par Gilles Marcotte et Miroslav Grandtner en 1970 a été reproduit dans le Parc du Mont-Mégantic. Ce site d’étude se distingue par un fort gradient altitudinal et une transition abrupte entre la forêt de feuillus et la forêt boréale, ce qui en fait un site propice à l’étude des questions reliées au climat. Ainsi, 48 parcelles de 0,1 et 0,2 acres (~400 et 800 m2) ont été inventoriées à 42 ans d’intervalle sur l’ensemble du parc. Ce mémoire vise donc à déterminer s’il y a eu des changements dans les communautés végétales du Mont-Mégantic, et si oui, si ces changements vont dans la direction prédite par le réchauffement climatique. Les résultats suggèrent un effet visible du réchauffement climatique puisque les espèces se sont en moyenne déplacées vers le sommet de façon notable, toutes strates confondues (8,5 ± 1,6 m par décennie). De plus, cette augmentation de l’altitude moyenne des espèces est cohérente avec une augmentation des Community Temperature Indices (CTI) et des Community Moisture Indices (CMI) des parcelles (0,2 ± 0,1 °C et -0,13 ± 0,05 unités arbitraires d’humidité, respectivement, en 42 ans), suggérant une représentation légèrement accrue des espèces adaptées au chaud et au sec. Ces résultats sont cohérents avec le réchauffement régional observé, puisque celui-ci peut réduire la disponibilité de l’eau. Par contre, un rôle potentiel du changement de régime de lumière a été mis en évidence, particulièrement pour les herbacées, qui sembleraient affectées par une ouverture accrue de la canopée par rapport à 1970. Finalement, considérant que la variation spatiale des CTI est équivalente au gradiant adiabatique de température (-0,55 °C/100 m d’altitude), nos résultats indiquent que les espèces végétales du Mont-Mégantic subissent probablement un retard les empêchant de se déplacer de manière à suivre l’augmentation de température observée. Les conclusions de ce mémoire soulignent que le réchauffement climatique peut mener à des changements visibles dans les communautés végétales, et ce, même lorsque ces communautés sont relativement bien protégées.
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Changements temporels de v??g??tation sur quatre d??cennies le long d'un gradient altitudinal: Effets du r??chauffement climatique

Savage, Jos??e January 2014 (has links)
Depuis les 100 derni??res ann??es, la temp??rature de la Terre a fortement augment?? en raison des changements climatiques. Par exemple, le sud du Qu??bec a connu des anomalies d???environ +1,2 ??C depuis 1970. Or, deux cons??quences possibles d???une telle augmentation de temp??rature sont (i) le d??placement des distributions g??ographiques des esp??ces vers des latitudes ou altitudes plus froides, et (2) une modification des communaut??s favorisant les esp??ces adapt??es au chaud. ?? l?????t?? 2012, l???inventaire floristique effectu?? par Gilles Marcotte et Miroslav Grandtner en 1970 a ??t?? reproduit dans le Parc du Mont-M??gantic. Ce site d?????tude se distingue par un fort gradient altitudinal et une transition abrupte entre la for??t de feuillus et la for??t bor??ale, ce qui en fait un site propice ?? l?????tude des questions reli??es au climat. Ainsi, 48 parcelles de 0,1 et 0,2 acres (~400 et 800 m2) ont ??t?? inventori??es ?? 42 ans d???intervalle sur l???ensemble du parc. Ce m??moire vise donc ?? d??terminer s???il y a eu des changements dans les communaut??s v??g??tales du Mont-M??gantic, et si oui, si ces changements vont dans la direction pr??dite par le r??chauffement climatique. Les r??sultats sugg??rent un effet visible du r??chauffement climatique puisque les esp??ces se sont en moyenne d??plac??es vers le sommet de fa??on notable, toutes strates confondues (8,5 ?? 1,6 m par d??cennie). De plus, cette augmentation de l???altitude moyenne des esp??ces est coh??rente avec une augmentation des Community Temperature Indices (CTI) et des Community Moisture Indices (CMI) des parcelles (0,2 ?? 0,1 ??C et -0,13 ?? 0,05 unit??s arbitraires d???humidit??, respectivement, en 42 ans), sugg??rant une repr??sentation l??g??rement accrue des esp??ces adapt??es au chaud et au sec. Ces r??sultats sont coh??rents avec le r??chauffement r??gional observ??, puisque celui-ci peut r??duire la disponibilit?? de l???eau. Par contre, un r??le potentiel du changement de r??gime de lumi??re a ??t?? mis en ??vidence, particuli??rement pour les herbac??es, qui sembleraient affect??es par une ouverture accrue de la canop??e par rapport ?? 1970. Finalement, consid??rant que la variation spatiale des CTI est ??quivalente au gradiant adiabatique de temp??rature (-0,55 ??C/100 m d???altitude), nos r??sultats indiquent que les esp??ces v??g??tales du Mont-M??gantic subissent probablement un retard les emp??chant de se d??placer de mani??re ?? suivre l???augmentation de temp??rature observ??e. Les conclusions de ce m??moire soulignent que le r??chauffement climatique peut mener ?? des changements visibles dans les communaut??s v??g??tales, et ce, m??me lorsque ces communaut??s sont relativement bien prot??g??es.

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