Aim: The 1996 Choice on Termination of Pregnancy Act decriminalized abortion in South Africa and the South African Medicines Control Council in 2000 approved the dispensing of emergency contraceptive methods by pharmacists to women without a doctor's prescription. This legislation has been hailed as among the most progressive in the world with respect to women's reproductive justice. However the realisation of these rights in practice has not always met expectations in part due to medical practitioners' ethical objections to termination of pregnancy and the provision of related services. The aim of this study was to interpret the varying ways in which medical practitioners frame termination of pregnancy and emergency contraceptive services, their own professional identities and that of their patients/clients. Methods: Sample of 58 doctors and 59 pharmacists drawn from all nine provinces of South Africa. Data collected using an anonymous confidential internet-based self-administered questionnaire. Participants were randomly recruited from online listings of South African doctors and pharmacists practicing in both private and public sectors. Data were analysed using theoretically derived qualitative content analysis. Results: Participants drew on eight frames to justify their willingness or unwillingness to provide termination-of-pregnancy related services: the foetal life frame, the women's rights frame, the balancing frame, the social justice frame, the do no harm frame, the legal and professional obligation frame, the consequences frame and the moral absolutist frame. Conclusion: Health professionals' willingness or unwillingness to provide termination of pregnancy related services is highly dependent on how they frame or understand termination of pregnancy, and how they understand their own professional identities and those of their patients/clients.

L'analyse des perceptions des gestionnaires par rapport à l'affectivité dans les fonctions de gestion nous a semblé une voie de recherche prometteuse. Nous avons tenté de cerner la représentation sociale de l'affectivité chez les gestionnaires en décomposant celle-ci en diverses dimensions. Outre, les compétences dites émotionnelles telles que définies par Goleman (1999), nous avons inclus d'autres dimensions que sont Y expression des émotions, la prise de décision et la dimension genre et émotions. Le premier objectif de cette recherche est d'appréhender la représentation sociale de l'affectivité chez les gestionnaires québécois dans l'exercice de leurs fonctions. Le deuxième objectif consiste à établir une comparaison entre les perceptions des gestionnaires masculins à l'égard de l'affectivité en gestion et celles des gestionnaires féminins. À cet effet, nous avons recruté un échantillon de 77 gestionnaires québécois (42 hommes et 35 femmes) auquel nous avons administré un questionnaire portant sur la représentation sociale de l'affectivité en gestion. Les résultats de cette enquête ont permis de mettre en lumière l'importance relative qu'accordent les gestionnaires aux diverses dimensions de l'affectivité visées par cette étude. Ainsi, la connaissance de soi est la dimension qui obtient l'appui le plus marqué (90,9 %) chez les répondants, alors que Y expression des émotions et la prise de décision (50,6 %) sont les dimensions auxquelles les gestionnaires sont le moins favorables. En réalisant une analyse de similitude, nous avons ensuite exploré les relations qui existent entre les dimensions de l'affectivité en gestion. Enfin, à l'aide de diverses méthodes d'analyse utilisées dans cette recherche, nous avons procédé à comparer les perceptions des gestionnaires masculins et féminins. Ces analyses ne nous ont pas permis de cerner de différences profondes en ce qui concerne leurs perceptions relatives à chacune des dimensions de l'affectivité en gestion. Par contre, nous avons observé certaines divergences dans les dimensions privilégiées par les hommes et les femmes.