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Le statut métaphysique du noûs (intellect) et sa pratique discursive dans la philosophie de Plotin

Lacrosse, Joachim January 1998 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Rapport aux Anciens et évolution de la polémique contre le moyen-platonisme dans les Discours platoniciens (Or. II-IV) d'Aelius Aristide

Voyer, Martin 22 June 2021 (has links)
Les Discours platoniciens (Or. II-IV) d'Aelius Aristide – le Pour la rhétorique (Or. II), le À Capiton (Or. IV) et le Pour les Quatre (Or. III) – ont le plus souvent été étudiés dans leur ensemble comme s'ils formaient une seule œuvre rédigée dans les mêmes circonstances. D'un autre côté, les relations qui unissent ces discours au moyen-platonisme n'ont pas donné lieu à des recherches approfondies. La thèse vise donc à mieux comprendre ces discours dans leur progression en réinscrivant la polémique dans le contexte du moyen-platonisme. Les deux axes privilégiés concernent le rapport à la tradition culturelle grecque : le premier est l'attitude préconisée et observée à l'égard de Platon et des Anciens ; le second se compose des principes régissant l'exégèse des textes du philosophe. Il s'agit aussi de mieux cerner la spécificité et la pertinence du Pour les Quatre, le discours le moins étudié du corpus. L'approche diachronique dicte la structure de la thèse, les discours étant étudiés dans leur ordre de rédaction. Concernant le premier axe, celui de l'attitude à l'égard des Anciens, le type de rapport qui est préconisé et mis en pratique demeure essentiellement le même à travers les trois discours : Aristide promeut la rivalité et il la met ouvertement en pratique avec Platon. Des infléchissements, qu' il est possible d'expliquer à la lumière du moyen-platonisme, apparaissent toutefois avec chaque texte. Le Pour la rhétorique exalte l'audace qui est nécessaire pour contredire un Ancien par opposition à la lâcheté de ceux – les platoniciens – qui n'osent s'opposer à une figure d'autorité. À partir du À Capiton, l'insistance porte sur la retenue et le respect qui devraient caractériser le traitement des Anciens. Du À Capiton au Pour les Quatre, c'est l'écriture qui épouse de plus en plus une rhétorique de la retenue tout en intensifiant la gravité des reproches. Le Pour les Quatre apparaît comme l'aboutissement de l'entreprise aristidienne car il fait du rapport à la tradition un thème majeur et structurant, en plus de clarifier l'enjeu soulevé par cette problématique à l'époque impériale, soit la survie de l'hellénisme. Les Discours platoniciens sont très cohérents en ce qui concerne le second axe, l'exégèse des dialogues de Platon, car ils signalent tous l'insuffisance des catégories médioplatoniciennes. Toutefois, seul le Pour les Quatre s'attaque au Gorgias à partir de ces catégories. C'est aussi dans ce discours qu'un effet spéculaire constant apparaît entre Platon et Aristide : le premier corromprait des lecteurs par ses critiques simples et sans retenue, tandis que le second procèderait à l'inverse. La spécificité du Pour les Quatre apparaît aussi à travers l'importance accrue qu'y prennent les actions visant la préservation de l'hellénisme. Sur ce point, l'action politique et la pédagogie des Quatre sont représentées de manière à recouper dans leurs principes l'éducation qu'Aristide entend mettre en œuvre à travers son discours. Dans les deux cas, le succès s'explique notamment par la capacité d'adaptation aux circonstances, qu'Aristide manifeste en modifiant son style en fonction des vertus qu'il exalte. Il se constitue ainsi en modèle des vertus qu'il loue et de leur application appropriée selon les circonstances. Les Quatre ont protégé la Grèce contre les barbares : Aristide tente de les imiter sur le plan culturel, à une époque où la paideia est à ses yeux menacée par des philosophes populaires. / Aelius Aristides' Platonic orations (Or. II-IV) – the In Defense of Oratory (Or. II), the To Capito (Or. IV), and the In Defense of the Four – have mostly been studied synchronically, as if they formed a single work written under the same circumstances. Moreover, the relations between these orations and Middle Platonism have not yet been thoroughly investigated. This thesis aims to better understand the progression of these orations by tying the polemic with the context of Middle Platonism. The two privileged lines of inquiry concern the relationship with the Greek cultural tradition: the first is the attitude advocated and observed towards Plato and the Ancients; the second is composed of the principles governing the exegesis of this philosopher's texts. It is also about better defining the specificity and relevance of the In Defense of the Four, the least studied oration of the corpus. The diachronic approach dictates the structure of the thesis: the orations are studied in their writing order. Regarding the first line of inquiry, that of the attitude towards the Ancients, the type of relationship that is advocated and put into practice remains essentially the same across the three orations: Aristides promotes rivalry and he carries it out quite openly with Plato. However, changes, that can be explained in the light of Middle Platonism, appear with each text. In Defense of Oratory exalts the audacity that is required to contradict an Ancient as opposed to the cowardice of those Platonists who dare not oppose a figure of authority. From the To Capito onwards, the emphasis is on the restraint and respect that should characterize the treatment of the Ancients. From this oration to the last one, In Defense of the Four, the writing increasingly embraces a rhetoric of restraint while increasing the intensity of the reprimands. The In Defense of the Four appears to be the culmination of the Aristidian project because it transforms the relation with tradition in a major and structuring theme, in addition to clarifying the issue raised by this question during the imperial era, namely the survival of Hellenism. The Platonic orations are consistent with regard to the second line of inquiry, the exegesis of Plato's dialogues, because they all point out the insufficiency of the Middle Platonic categories. However, only the In Defense of the Four tackles the Gorgias on the basis of these categories. It is also in this discourse that a constant specular effect between Plato and Aristides appears: the former would corrupt readers with straightforward and unrestrained critiques, whereas the latter tries to do the exact opposite. The specificity of the In Defense of the Four also manifests itself in the increasing importance taken by the theme of the actions aimed at preserving Hellenism. On this point, the political actions and the pedagogy of the Four are represented in such a way as to intersect in their principles the education that Aristides intends to implement through his speech. In both cases, success depends on the ability to adapt to circumstances, a skill which Aristides manifests by modifying his style according to the virtues he exalts. In this way, he himself becomes a model of the virtues he praises and their appropriate application according to the circumstances. The Four protected Greece against the barbarians: Aristides tries to imitate them culturally, at a time when paideia is, in his eyes, threatened by popular philosophers.
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Figure(s) du philosophe chez Maxime de Tyr : traduction et commentaire des Dialexeis 3, 17, 26 et 36 / Figure du philosophe chez Maxime de Tyr / Figures du philosophe chez Maxime de Tyr

Huot, Colette-Marie 24 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / Les Dialexeis de Maxime de Tyr (seconde moitié du IIe siècle ap. J.-C.) sont de courts textes abordant des questions philosophiques avec clarté et élégance. Ce mémoire présente la traduction et le commentaire littéraire de quatre d’entre eux, qui discutent de grands philosophes du passé : le procès de Socrate (Dialexis 3), la querelle d’Homère et de Platon sur la poésie (Dialexis 17), la réconciliation de ces derniers en faisant d’Homère le premier des philosophes (Dialexis 26) et enfin l’éloge de Diogène (Dialexis 36). À la suite d’une traduction annotée, le commentaire cherche à dégager les principaux aspects de la construction d’un idéal du philosophe à partir de micro-analyses textuelles. Le premier chapitre pose le cadre conceptuel de ces portraits : une rhétorique proche de la Seconde Sophistique, marquée par les procédés de l’éloge ; et une définition de la philosophie comme sagesse et vertu poussées à leur paroxysme, s’incarnant au long des siècles dans la succession des sages. Le deuxième chapitre examine les traits caractéristiques de ces philosophes. Socrate et Diogène, tout comme Homère et Platon – les premiers traités comme exempla d’action vertueuse et les derniers comme des enseignants de la sagesse par leurs œuvres – voient leur ethos grandi par la présence de comparants divers. Enfin, le dernier chapitre s’intéresse de plus près à la situation d’énonciation interne et externe des Dialexeis, qui se reflète dans la stratégie pédagogique d’une part, et d’autre part dans la confrontation des différentes figures philosophiques – Maxime compris – avec leurs rivaux dans le domaine littéraire et esthétique, sophistes, orateurs, poètes et artistes. Le mémoire conclut sur le caractère protéiforme de la figure du philosophe dans les Dialexeis. / Maximus of Tyre’s Dialexeis (second half of the 2nd century BC) are short lectures dealing with style and clarity with philosophical questions. This study aims at translating and analysing four of them, in which Maximus portrays some famous philosophers of the Greek past. He thus pictures Socrates’ trial (Dialexis 3), Homer and Plato’s quarrelling about poetry (Dialexis 17), tries to reconcile both of them by showing how great a philosopher Homer is (Dialexis 26) and praises Diogenes’ lifestyle (Dialexis 36). The literary comment is based on close readings of the annotated translation, in order to show the author’s ideal picture of the philosopher. The first chapter qualifies Maximus’ style as mainly epidictic, close to the Second Sophistic’s standards, and defines philosophy as virtue and wisdom embodied in the wisemen who succeed in cultivating them along centuries. The second chapter explores the philosopher’s main features. Whereas Socrates and Diogenes are pictured as virtuous exempla, Homer and Plato are rather dealt with as authors and teachers of wisdom. All of them are compared with diverse characters, who add to their ethos. Eventually, the third chapter is a closer look at the Dialexeis’ internal and external enunciative situation: Maximus’ and his philosophical characters’ self-display as wise and virtuous teachers leads them to confront their fellow enemies – sophists, orators, poets and artists – in the literary and aesthetic field. This study concludes on the portray of the philosopher as a man with many turns and faces.

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