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Dialogue in the crisis of representation : realism and antirealism in the context of the conversation between theologians and quantum physicists in Göttingen, 1949-1961 /

Djupsjöbacka, Stefan, January 2005 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Åbo Akademi university, 2005. / Bibliogr. p. 321-367. Index.
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Symétrie : réflexions sur les formes naturelles

Guay, Alexandre January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Eddington philosophe : la nature et la portée de la science physique d'après Arthur S. Eddington / Eddington as a Philosopher : the Nature and the scope of Physical Science according to Arthur S. Eddington

Laguens, Florian 24 October 2018 (has links)
Unanimement considéré comme l’astronome le plus influent de l’entre-deux guerres, Arthur S. Eddington (1882-1944) a aussi investi le champ philosophique avec deux ouvrages majeurs, The Nature of the Physical World (1928) et The Philosophy of Physical Science (1939), mais également d’innombrables remarques au long de son œuvre considérable. Cette étude propose, à partir de l’ensemble des écrits d’Eddington, un portrait de sa philosophie. Envisagée dans son développement progressif d’abord, mettant tour à tour l’accent sur la synthèse, le symbole et la structure, dans ses interactions ensuite, dans ses racines philosophiques enfin. Se déploie peu à peu une conception originale de la nature et de la portée de la science physique, parfois déroutante mais non sans cohérence, à condition de la reconduire à ses intuitions originaires. / Arthur S. Eddington (1882-1944) certainly was the world’s most famous astronomer during the interwar period. He also plunged into philosophy and published a couple of major books,The Nature of the Physical World (1928) et The Philosophy of Physical Science (1939), as well as numerous remarks scattered along his works. Grounding its claims on the entirety of his writings, this study intends to sketch Eddington’s own philosophy. Its progressive development is firstly addressed, highlighting three essential themes, i. e. synthesis, symboland structure. Then are explored its interactions with both science and religion, and its rootsin terms of philosophical authors. An original conception of the nature and the scope of physical science slowly merges, sometimes upsetting but never without some kind of unity,provided its originating intuitions are finally discovered.
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La théorie coordinative de la connaissance et son lien avec les problèmes épistémologiques de la mesure dans les écrits empiristes-logiques de la première moitié du XXe siècle / The coordinative theory of knowledge and its relation to the epistemological problems of measurement in the logical-empiricist writings of the first half of the twentieth century

Giovannetti, Gabriel 10 December 2018 (has links)
Ce travail fait l’analyse du concept de « principe de coordination » tel qu’il se développe au sein de la théorie coordinative de la connaissance, et plus particulièrement au sein du mouvement empiriste-logique, à partir de la deuxième décennie du XXème siècle. Ce concept est primordial lorsqu’il s’agit de comprendre la manière dont la définition des concepts de grandeur en physique se construit comme la mise en rapport, la coordination, des variables mathématiques de la théorie avec les opérations de mesure dans le laboratoire. L’enjeu est de montrer qu’un des concepts centraux de l’empirisme au XXème siècle est utilisé initialement, par Schlick et Reichenbach, pour analyser la théorie de la relativité, mais qu’il devient rapidement l’outil d’un programme plus spécifique, entrepris par Carnap et Hempel, de reconstruction logique des théories physiques. Pourtant ce concept, pris au sein de l’épistémologie coordinative, permet un empirisme qui laisse une place au développement historique des concepts de grandeur. Analysé et compris correctement il peut permettre de poser les fondements d’un empirisme historique, au sein duquel les concepts théoriques ne seraient plus reconstruits seulement à partir des mesures empiriques, mais aussi à partir des concepts hérités de théories historiquement antérieures. / This work analyzes the concept of "principle of coordination" as it develops within the coordinative theory of knowledge, and more particularly within the empiricist-logical movement, from the second decade of the twentieth century. This concept is essential to understand the way in which the definition of the concepts of magnitude in physics is constructed as the linking, the coordination, of the mathematical variables of the theory with the measurement operations in the laboratory. The challenge is to show that one of the central concepts of empiricism in the twentieth century is used initially, by Schlick and Reichenbach, to analyze the theory of relativity, but that it quickly becomes the tool of a more specific program, undertaken by Carnap and Hempel, of logical reconstruction of physical theories. Yet this concept, along with other concepts from coordinative epistemology, allows an empiricism that leaves room for the historical development of the concepts of magnitude. Analyzed and understood correctly, it can lay the foundations of a historical empiricism, in which theoretical concepts would no longer be reconstructed only from empirical measurements, but also from concepts inherited from historically antecedent theories.
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Les quantités dans la nature : les conditions ontologiques de l’applicabilité des mathématiques / Quantities in Nature : the Applicability of mathematics and its ontological conditions

Tricard, Julien 05 December 2019 (has links)
Si nos théories physiques peuvent décrire les traits les plus généraux de la réalité, on sait aussi que pour le faire, elles utilisent le langage des mathématiques. On peut alors légitimement se demander si notre capacité à décrire, sinon la nature intime des objets et phénomènes physiques, du moins les relations et structures qu’ils instancient, ne vient pas de cette application des mathématiques. Dans cette thèse, nous soutenons que les mathématiques sont si efficacement applicables en physique tout simplement parce que la réalité décrite par les physiciens est de nature quantitative. Pour cela, nous proposons d’abord une ontologie des quantités, puis des lois de la nature, qui s’inscrit dans les débats contemporains sur la nature des propriétés (théorie des universaux, théorie des tropes, ou nominalisme), et des lois (régularités, ou relations entre universaux). Ensuite, nous examinons deux sortes d’application des mathématiques : la mathématisation des phénomènes par la mesure, puis la formulation mathématique des équations reliant des grandeurs physiques. Nous montrons alors que les propriétés et les lois doivent être comme notre ontologie les décrit, pour que les mathématiques soient légitimement, et si efficacement, applicables. L’intérêt de ce travail est d’articuler des discussions purement ontologiques (et très anciennes, comme la querelle des universaux) avec des exigences épistémologiques rigoureuses qui émanent de la physique actuelle. Cette articulation est conçue de manière transcendantale, car la nature quantitative de la réalité (des propriétés et des lois) y est défendue comme condition d’applicabilité des mathématiques en physique. / Assuming that our best physical theories succeed in describing the most general features of reality, one can only be struck by the effectiveness of mathematics in physics, and wonder whether our ability to describe, if not the very nature of physical entities, at least their relations and the fundamental structures they enter, does not result from applying mathematics. In this dissertation, we claim that mathematical theories are so effectively applicable in physics merely because physical reality is of quantitative nature. We begin by displaying and supporting an ontology of quantities and laws of nature, in the context of current philosophical debates on the nature of properties (universals, classes of tropes, or even nominalistic resemblance classes) and of laws (as mere regularities or as relations among universals). Then we consider two main ways mathematics are applied: first, the way measurement mathematizes physical phenomena, second, the way mathematical concepts are used to formulate equations linking physical quantities. Our reasoning has eventually a transcendental flavor: properties and laws of nature must be as described by the ontology we first support with purely a priori arguments, if mathematical theories are to be legitimately and so effectively applied in measurements and equations. What could make this work valuable is its attempt to link purely ontological (and often very ancient) discussions with rigorous epistemological requirements of modern and contemporary physics. The quantitative nature of being (properties and laws) is thus supported on a transcendental basis: as a necessary condition for mathematics to be legitimately applicable in physics.
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La connaissance physique non empirique et le principe de la moindre action

Massussi, Michaël 04 1900 (has links)
Il n’est pas évident si et dans quelle mesure la connaissance non empirique peut donner de l’information sur des systèmes physiques réels. Hume croyait que toute connaissance à propos du monde qui nous entoure ne doit sa certitude à rien d’autre que l’expérience répétée de la conjonction des causes et des effets observables. Or, il y a quelques raisons de croire que le rôle de la raison en physique dépasse celui qui lui est attribué par Hume. Le principe de la moindre action est un bon candidat, pour quelques raisons : il a été découvert à partir d’un argument métaphysique, il rivalise avec les lois de Newton au titre de fondement de la mécanique classique, et il a fini par motiver le développement de nombreux formalismes qui lui sont propres jusqu’au sein des théories les plus récentes de la physique. Nous analyserons les idées ayant mené à sa découverte par Pierre-Louis de Maupertuis. / It is unclear whether and to what extent non-empirical knowledge can provide information about real physical systems. Hume believed that all knowledge about the world around us owes its certainty to nothing other than the repeated experience of the conjunction of observable causes and effects. However, there are some reasons to believe that the role of reason in physics goes beyond that attributed to it by Hume. The principle of least action is a good candidate for a number of reasons : it was discovered from a metaphysical argument, it rivals Newton’s laws as the foundation of classical mechanics, and it eventually motivated the development of several formalisms in a wide variety of the most recent theories of physics. We will analyze the ideas that led to its discovery by Pierre-Louis de Maupertuis.

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