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Function of membrane microdomains in plasmodesmata mediated intercellular communication / Implication fonctionelle des microdomaines membranaires dans la fonctionalité des plasmodesmes

Grison, Magalie 20 December 2018 (has links)
Les plasmodesmes sont des nanopores membranaires qui traversent la paroi des cellules végétales. Ces nanostructures jouent un rôle central en communication intercellulaire et agissent comme des centres de signalisation capables de générer et de relayer le signal de cellule à cellule via l’activité de récepteurs. En tant qu’éléments clés de la communication intercellulaire, les plasmodesmes coordonnent les processus liés à la croissance et au développement des plantes ainsi que les réponses aux stress environnementaux. Dans cette étude, nous avons identifié trois récepteurs de la famille des récepteurs riches en leucine (LRRRLK), capables de relocaliser de manière dynamique au niveau des plasmodesmes après un stress abiotique. L'association plasmodesmale est rapide et survient en moins de 2 minutes. Cette association dynamique n’est pas un comportement général des protéines associées à la membrane plasmique ou aux microdomaines membranaires. En focalisant notre étude sur SAK1 (Sucrose Activated Kinase) nous avons démontré que l'association dynamique aux plasmodesmes est indépendante de la composition en stérols ou en sphingolipides et est partiellement dépendante du statut de phosphorylation de cette protéine. Nous avons identifié un strech d'acide aminé polybasique dans le domaine Juxtamembrane (JMD) de SAK1, décrit chez l’homme comme interagissant avec les lipides anioniques, qui est indispensable à l'association conditionnelle aux plasmodesmes. Au total, nos données indiquent que les changements dans la membrane signature moléculaire des domaines spécialisés plasmodesmes accompagne les réponses aux stimuli externes. / Plasmodesmata pores sustain intercellular communication in plants. They act as specialized signalling hubs clustering receptor activities, and are capable of generating and relaying signalling from cell-to-cell. As key elements in intercellular communication, plasmodesmata coordinate processes related to plant growth, development and environmental stresses responses. In this study, we identified three PM-located Leucine Rich Repeat Receptor Like Kinases (LRR-RLKs) that are able to dynamically and conditionally relocate to plasmodesmata upon abiotic stress. Plasmodesmal association occurs within 2 minutes and is not a general behaviour of PM or microdomain-associated proteins. Focusing on SAK1 (SUCROSE ACTIVATED KINASE) we demonstrated that the plasmodesmal dynamic association is neither dependent of sterol or sphingolipid composition and nor driven by the protein phosphorylation status. Importantly, we identified a polybasic amino acid motif in the Juxtamembrane Domain (JMD) of SAK1 predicted to bind anionic lipids that is critical for conditional plasmodesmal association. Altogether our data indicate that changes in the membrane molecular signature of plasmodesmata specialized domains accompanies responses to external stimuli.
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Understanding plasmodesmata membrane organization and the control of cell-to-cell connectivity in plants / Étude de l'organisation membranaire des plasmodesmes et de la régulation de la communication intercellulaire chez les plantes

Nicolas, William 09 December 2016 (has links)
La communication intercellulaire est essentielle pour le développement et la survie d'organismes multicellulaires. Dans le règne végétale, une des voies privilégiée pour la communication intercellulaire est la voie symplastique qui implique des canaux aux dimensions nanométriques connectant les cellules entre elles, leur permettant d'échanger directement photo-assimilats, miARN, protéines, oligoéléments etc. Observés pour la première fois en 1880 par le botaniste autrichien Eduard Tangl (Tangl 1880; Kohler & Carr 2006), ils ont longtemps été considérés comme de simples trous perméables permettant la diffusion de matériel cellulaire (Lee & Lu 2011; Oparka & Roberts 2001). Etant donné leurs taille nanoscopique, ce n'est que dans les années 1960, avec la démocratisation de la Microscopie Électronique en Transmission (MET) qui permet d'atteindre , que les premiers modèles ultrastructuraux sont établis (Lopez-Saez 1965; Robards 1970). Ils font état d'un canal d'environ 30 à 40 nm de diamètre avec un élément central cylindrique traversant le pore, appelé le desmotubule, connecté au Réticulum Endoplasmique des deux cellules (Figure 1 of our review Tilsner et al. 2016). Dans les années 1980 notre compréhension des plasmodesmes a quelque peu évolué et nous savons maintenant que ces structures ne sont pas de simples trous mais des structures membranaires très spécialisées et régulées (Lucas & Lee 2004; Faulkner & Maule 2011; Furuta et al. 2012). Le modèle ultrastructural actuel découle de la congrégation d'études ultrastructurale, physiologiques et pharmacologiques plus ou moins anciennes dépeignant une structure morphologiquement très souple et changeant de conformation au cours du développement. Les plasmodesmes peuvent réguler leur ouverture/fermeture par la constriction de leurs extrémités grâce à l'accumulation entre la membrane plasmique et la paroi végétale d'un polymère de sucre, la callose qui va pousser la membrane plasmique contre le desmotubule et en obstruer les entrées. Cette modulation permettrait majoritairement de réguler les flux intercellulaires qui impliquent les plasmodesmes. Cependant nos connaissances sur les remaniements membranaires prenant place durant le développement des plasmodesmes et sur la régulation de leur perméabilité sont encore imparfaites.La microscopie électronique en transmission, malgré l'ancienneté de la technique, est l'une des plus résolutive, largement utilisée en biologie. Avec l'amélioration des techniques de préservation d'échantillons, notamment les cryo- méthodes, elle permet d'atteindre à l'heure actuelle des résolutions inférieures à 5 nm en condition contrastée et inclus en résine et peut descendre en dessous du nanomètre pour la cryo-microscopie. Ce potentiel permet aisément l'étude des sous-compartiments cellulaires de l'ordre du µm tel que mitochondries, chloroplastes, noyaux etc. (Frey et al. 2002) mais permet également l'étude ultrastructurale précise de structures de l'ordre de la dizaine de nm (Beck et al. 2007; Al-Amoudi et al. 2007).En revanche, dans son utilisation classique, la microscopie électronique ne permet pas d'accéder à la troisième dimension de l'espace, rendant difficile l'interprétation de structure à l'architecture quelque peu compliquée. En effet, les images produites ne sont que des projections en deux dimensions d'objets en trois dimensions. Cela a mené au développement de la tomographie électronique en transmission (Crowther et al. 1970), méthode basée sur un concept mathématiques formulé par Johann Radon au XIXe siècle. Ce n'est que dans les années 2000 que la tomographie électronique a pris un essor significatif grâce au couplage avec des méthodes d'automatisation informatiques. / Plasmodesmata were first observed by Austrian botanist Eduard Tangl in 1880. He devoted himself to studying the anatomy and cytology of plants and his greatest discovery, of course, was the observation and first characterization of plasmodesmata (Tangl 1880, 1884 and 1885). Despite not having access to their ultrastructure, he observed thin striations (see front page engraving) between cotyledon cells of Strychnos nuxvomica and in the endosperm of seeds and described them as being conductive ducts. Already at the time, he was evoking the idea that these strands "unite them [the cells] to an entity of higher order", in other words formulating the first definition of a symplastic domain. lt is only in 1901 that Strasburger finally names these canals "plasmodesmata". His discovery led to a radical change in our conception of the plant entity and brought in new concepts such as the symplasm (Munch 1930) and transmembrane fluxes between cells, which are now being tackled with great interest by numerous research teams around the globe.Because of their size, plasmodesmata ultrastructure was not accessible until the advent of electron microscopy and they were long thought to be simple holes connecting plant cells one-another with no specific regulation. lt is only with the advent of electron microscopy and chemical fixation that botanists started to gain interest in this structure again. And even with these methods allowing the observation of structures down to several nanometers in size, there are still debates on the nature of the canal, its constituents and physiology (Lopez-Saez J. 1965, Robards A. 1970, Ding et al. 1992, Tilney et al. 1991, Overall and Gunning 1982, Schulz et al. 1995).Nowadays, with the advent of modern cryopreservation and three-dimensional electron tomography methods, great improvements are to be done in the understanding of the ultrastructure and physiology of these mysterious canals. More particularly by understanding the link between the membranous rearrangements taking place in these pores and the molecular transit regulation.My work has led us to view plasmodesmata as specialised Membrane Contact Sites (MCS). Hence, by analogy with MCS found in mammals, yeast and plants, this work embraces an original angle on the speculation of the composition and role of the desmotubule-plasma-membrane tethering complex. The work produced during my thesis allowed me to contribute to the publication of one review and two articles, which will constitute the introduction and two main sub-sections of the results chapter, respectively. The introductory review has been published in 2016 in Annual Review of Plant Biology. The first one is still under reviewing at Nature Plant and the other has been published in The Plant Cell journal in April 2015.
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Caractérisations physiologique et moléculaire des transporteurs de sucres et de polyols des cellules laticifères chez "Hevea brasiliensis", en relation avec la production de latex

Dusotoit-Coucaud, Anaïs 29 May 2009 (has links) (PDF)
L'hévéa est un arbre qui revêt un fort intérêt à l'échelle mondiale. Il représente la seule source de caoutchouc naturel commercialement exploitée. La demande grandissante de cette matière première a conduit à l'initiation de nombreuses recherches visant à augmenter la production de latex. La biosynthèse du caoutchouc à partir du saccharose se déroule dans le cytoplasme (latex) des cellules laticifères, hétérotrophes et dépourvues de plasmodesmes, les cellules laticifères disposeraient d'un équipement membranaire de transporteurs actifs spécifiques, afin de répondre à leurs besoins importants en photoassimilats.Toutefois, le rôle de ces transporteurs dans la physiologie des cellules laticifères n'a jamais été élucidé. Ce travail propose la première étude moléculaire des co-transporteurs H+ / sucres solubles et H+ / polyol (quebrachitol) au sein des cellules laticifères, en relation aves la production de latex. Ce travail a permis l'identification des premiers co-transpoteurs de saccharose d'hexoses et de polyols chez l'hévéa. Dix gènes de trasporteurs ont été clonés dans les cellules laticifères : 7 transporteurs putatifs de saccharose (HbSUT1A, HbSUT B, HbSUT2A, HbSUT2B, HbSUT2C, HbSUT4, HbSUT5), 1 transporteur putatif d'hexoses (HbHXT1) et 2 transporteurs putatifs de polyols (HbPLT1, HbPLT2). Ensuite les caractérisations physiologiques et moléculaires fines de ces transporteurs ont permis la mise en evidence du rôle potentiel et complémentaire de HbSUT1B, HbHXT1et HbPLT2 dans la production de latex, HbSUT1B et HbHXT1 seraient impliqués dans la régulation de la régénération du latex, alors que HbPLT2 interviendrait dans le contrôle de l'écoulement. Ces trois gènes sont proposés en tant que marqueurs moléculaires potentiels de production.
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L'effecteur fongique Mlp37347 modifie le flux de plasmodesmes et augmente la sensibilité aux pathogènes = The fungal effector Mlp37347 alters plasmodesmata fluxes and enhances susceptibility to pathogen

Rahman, Md Saifur January 2021 (has links) (PDF)
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