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Évaluation de la pertinence d'utiliser les critères de pneumonie associée aux soins de santé au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS) étude de cohorte rétrospective 1997-2008 chez les adultes

Grenier, Cynthia January 2010 (has links)
Traditionnellement, la pneumonie se divisait en 3 catégories : la pneumonie acquise en communauté (PAC), la pneumonie nosocomiale et la pneumonie acquise sous ventilation. Afin de représenter adéquatement les changements imposés par le virage ambulatoire, une nouvelle catégorie a été ajoutée en 2005 : la pneumonie associée aux soins de santé (PASS). La littérature rapporte que la PASS est une pathologie plus sévère et les pathogènes multi-résistants sont plus fréquents comparativement à la PAC. L'antibiothérapie empirique de la PASS demeure controversée et les lignes directrices ne semblent pas être respectées. Une étude épidémiologique rétrospective a été menée chez des adultes ayant un diagnostic principal de pneumonie et nécessitant une hospitalisation au CHUS (1997-2008) afin de comparer les caractéristiques cliniques, microbiologiques et l'antibiothérapie empirique entre la PAC et la PASS. La fréquence des pathogènes multi-résistants est plus élevée chez la PASS, mais elle demeure plus faible que celle relatée dans la littérature. Les patients avec PASS possèdent davantage de co-morbidités, un taux de mortalité à 30 jours (toutes causes confondues) plus élevé (73/660 [11%] versus 212/3022 [7%], p<0,001) et nécessite plus fréquemment une intubation/ventilation mécanique (90/660 [14%] vs. 300/3022 [10%] p=0.006). Chez la PASS, la mortalité à 30 jours est similaire selon la concordance ou non du traitement empirique avec les lignes directrices (6/44 [14%] si concordant ; 19/165 [12%] si discordant, p=NS). Par contre, une différence a été observée pour la mortalité à 30 jours selon que le traitement empirique était efficace contre le pathogène causal ou non (7/30 [23%] si actif vs. 14/203 [7%] si inefficace, p=0.009). En conclusion, la PASS est associée avec des issues plus sévères que la PAC, les pathogènes multi-résistants sont retrouvés en proportion plus faible que celles rapportées dans la littérature. Les stratégies thérapeutiques de la PASS devraient tenir compte du contexte microbiologique local.
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Évaluation de l’efficacité du vaccin pneumococcique conjugué heptavalent pour la prévention de la pneumonie acquise en communauté avec un calendrier 2+1

Ndaya Tshibangu, Jeannette January 2014 (has links)
Le vaccin pneumococcique conjugué heptavalent (VPC-7) a été homologué au Canada en 2001. Au Québec, le programme universel de vaccination a été initié en décembre 2004, avec un calendrier de 2+1, à 2, 4 et 12 mois, pour les enfants à faible risque, âgés de moins de 5 ans. Pour évaluer l’efficacité du vaccin, il faudrait pouvoir cibler les pneumonies causées par le pneumocoque parmi tous les cas identifiés de pneumonie. Cependant, l’étiologie des pneumonies est difficile à établir, notamment en pédiatrie. L’objectif de cette étude cas-témoins est d’évaluer l’efficacité du VPC-7 à prévenir la pneumonie acquise en communauté (PAC), validée selon les critères radiologiques standardisés établis par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), chez les enfants âgés de moins de 5 ans. Un total de 151 enfants, âgés de 2 à 59 mois et hospitalisés au CHUS pendant la période d’implantation du vaccin, soit du 1er janvier 2005 au 31 décembre 2007, pour une PAC confirmée par radiographie, ont constitué le groupe des cas. À chaque cas ont été appariés quatre témoins selon l’âge et le lieu de résidence lors de l’hospitalisation index. Les données cliniques des cas ont été obtenues à partir des dossiers électroniques des patients, les données relatives aux facteurs de confusion potentiels ont été collectées en entrevue téléphonique et les données vaccinales à partir du registre régional d’immunisation. L’efficacité vaccinale a été évaluée par régression logistique conditionnelle, en ajustant pour les facteurs de confusion les plus plausibles. L’analyse multivariée a mis en évidence plusieurs facteurs de risque de PAC comme l’asthme RC=4,6 (95% IC: 2,5-8,6; p<0,001), l’ethnie caucasienne RC=0,2 (95% IC: 0,1-0,6; p=0,003), le tabagisme secondaire RC=2,2 (95% IC: 1,3-3,6; p=0,003), l’existence d’au moins une condition médicale sous-jacente RC=3,5 (95% IC: 1,7-7,2; p=0,001) et la présence d’au moins trois enfants de moins de 5 ans dans une même famille RC=2,9 (95% IC: 1,5-5,2; p=0,001). L’efficacité du VPC-7 à prévenir la PAC chez les enfants de moins de 5 ans, avec au moins 1 dose, était de 35% (95%IC -7% à 60%; p=0,08). Chez les enfants âgés de 2 ans ou plus, l’efficacité vaccinale était de 58% (95% IC 11,1% à 80,4%; p=0,024) avec au moins 1 dose et de 68% (95% IC : 12,5% à 88,1%; p=0,026) avec 2 doses. En conclusion, les résultats confirment l’efficacité du VPC-7 à prévenir la PAC avec un nombre réduit des doses. C’est la première étude qui évalue l’efficacité du VPC-7, avec un calendrier 2+1, à prévenir la PAC identifiée sur base des critères radiologiques de l’OMS et en ajustant pour les facteurs confondants.

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