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La poésie de Paolo Volponi comme forme complexe de relation / Volponi’s poetry as a complex form of connectionCandiloro, Mauro 29 June 2018 (has links)
À quelques exceptions près, dans le canon littéraire italien comme dans la réception que lui réserva la critique, la poésie de Volponi occupe une place secondaire par rapport à sa production narrative. Cela apparaît comme une contradiction, car l’auteur se considérait avant tout comme un poète. Une contradiction qui va de pair avec une biographie fort riche, qui fait de Volponi un homme et un écrivain à mi-chemin entre participation et dissidence, entre ordre et désordre. À la lumière de tout ceci, nous nous sommes interrogé sur la place que Volponi attribue à la poésie, à partir des notions mêmes d’ordre et de désordre : depuis les conquêtes scientifiques du début du XXe siècle ces derniers ne sont plus deux concepts en opposition entre eux, mais les deux faces nécessaires de toute organisation naturelle complexe, y compris humaine. Dès lors, nous avons adopté l’interaction complexe entre ordre et désordre comme clef de lecture de la poésie volponienne. Une complexité que nous avons observée au niveau tout d’abord biographique, d’où émergent les schèmes fondamentaux de la poésie de Volponi qu’on retrouve thématisés au fil de ses livres de poésie, à travers lesquels Volponi montre toujours une volonté claire de construction progressive d’un seul et unique Livre. À cette construction contribuent les outils poétiques empruntés par le poète, car ils varient en fonction de l’organisation qu’ils sont appelés à exprimer. Enfin, nous nous sommes penché sur la réflexion que mène Volponi au sujet de la poésie pour en conclure qu’à ses yeux elle n’est pas un genre littéraire, mais une force créatrice chargée de mettre en relation l’homme et la matière et les hommes entre eux. / Despite a few exceptions, Volponi’s poetry remains in the background as opposed to his narrative production, both in the Italian literary cannon and in the way it was received by critics. This seems to be a contradictory statement because the author considered himself as a poet primarily. This contradiction is inextricably linked to a very rich biography based on a plethora of life experiences and which makes Volponi a man and a writer at a crossroads between participation and dissidence, between order and disorder. I raise thus the question of the status assigned to poetry by Volponi. It was first necessary to redefine the notions of order and disorder to answer it: the scientific achievements of the beginning of the 20th century demonstrated that these two concepts are not antithetic anymore but that they are two necessary sides of any complex natural organization, including the human organization. I chose this complex interaction between order and disorder as a key to reading Volponi’s poetic work. First this complexity is to be found in Volponi’s biography, that shapes the fundamental frameworks of his poetry, frameworks which are then used as topics in each of his poetry books. In these works, the poet always clearly shows his will to elaborate progressively towards the one and only Book. Indeed, the poetic tools resorted to by the poet contribute to this elaboration because they vary according to the organization which they are meant to express. Finally, I tackled the problem of Volponi’s own reflection about poetry which leads him to conclude that poetry is not a literary genre, but a creative strength meant to connect man and matter but also man and man.
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La poesia italiana per l’infanzia in italia dal 1945 a oggi : riflessioni critiche, testi, illustrazioni. Proposta di antologia / La poésie italienne pour enfants dans la littérature de jeunesse en Italie depuis 1945 : textes, illustrations d'une anthologie / Italian Poetry for the Childwood in Italy from 1945 to today : critical reflections, textes, illustrations. Anthological proposalComes, Annalisa 04 May 2019 (has links)
Une analyse détaillée de la poésie pour enfants en Italie dans une direction multidisciplinaire (historique, thématique, rhétorique, pédagogique, sociologique) n’avait jamais été réalisée ni commencée jusqu’à aujourd’hui. Le présent ouvrage est donc le premier à prendre en considération une gamme chronologique suffisamment large - de 1945 à nos jours - qui traitent de problèmes éparpillés dans les différents chapitres de littératures pour enfants ou dans des articles de revues spécialisées. Malgré le grand intérêt que l’industrie de l’édition a manifesté dans le passé (au moins depuis les années 60) et continue de démontrer aujourd’hui au public d’enfants, et malgré la richesse et la variété des collections dédiés à la création de poésie et de poésie, l’absence d’ un étude générale nous a paru une grave lacune. L’absence de critique systématique s’explique peut-être par le peu de prestige qui, aujourd’hui malgré tout, recouvre l’écriture destinée aux enfants, comme si l’écriture pour enfants n’était qu’un prélude à la “vraie” écriture et que la poésie pour enfants (considerée comme “simplifiée”) n’était qu’une condition préalable de la “vraie” poésie.Nous pensons donc tout d’abord avoir démontré l’importance de la poésie dans l’enfance même et de sa grande importance dans le processus d’éducation et d’éducation esthétique. A notre avis, la critique ne peut en effet pas être soumise à des principes didactiques ou moraux, mais doit tenir compte de cette démarche artistique : le recueil de poésie pour enfants doit donc satisfaire ses besoins (curiosité, jeu, besoin de s’exprimer) et constituent en même temps un véritable pont entre l’art, la littérature et la musique. L’apport de disciplines telles que la sociologie, en particulier les réflexions sur la société et la culture dites “liquides” théorisées par Zygmunt Bauman ont enrichi les élaborations proposées.Une autre nouveauté est d’avoir mené une étude sur le genre dans le domaine de la poésie de l’enfance. Bien que non définitive, cette enquête nous a permis d’élargir l’horizon de la critique.Dans le contexte des auteurs, nous pensons avoir eu le mérite de nous rappeler des auteurs peu présents (ou totalement absents) dans les anthologies de poésie pour enfants, tels que Tommaso Landolfi, Giulia Niccolai, Rossana Ombres et Giovanni Arpino et pour avoir revendiqué et réservé espace particulier à Giuseppe Pontremoli et Pierluigi Cappello. Dans le contexte des anthologies, nous pensons également, à juste titre, que nous avons inclus l’analyse (et l’évaluation) d’anthologies pour enfants dans l’étude de l’anthologie poétique (en particulier celles de Roberto Antonelli dans « Critica del testo » et Niccolò Scaffai), une opération complètement nouvelle. L’anthologie proposée suit donc les critères mis en évidence et diffère considérablement de celles du passé et de celles actuellement sur le marché. / A detailed analysis of poetry for children in Italy in a multidisciplinary direction (historical, thematic, rhetorical, pedagogical, sociological) had never been carried out, nor started until today. The present work is therefore the first that takes into consideration a sufficiently wide chronological range - from 1945 to the present - dealing with issues that were found scattered in the various chapters of literatures for children or in articles in specialized magazines. Despite the great interest that the publishing industry has shown in the past (at least since the Sixties onwards) and still demonstrates today towards the public of children, and despite the richness and variety of necklaces dedicated to the creation of poetry and poetry, the lack of a general study seemed to us a serious gap. The absence of a systematic critique can perhaps be explained by the little prestige that still today, despite everything, covers the writing intended for children, as if writing for children were only a prelude to “true” writing, and poetry addressed to children a simple (and simplified) premise of “true” poetry.We therefore think, first of all, of having demonstrated the importance of poetry for childhood in itself and its great significance in the process of education and aesthetic education. In our opinion, the criticism cannot in fact be subjected to didactic or moral principles, but must take into account this artistic approach : the poetry book for children must therefore satisfy its needs (curiosity, play, the need to express oneself ) and at the same time constitute a real bridge to art, literature and music. The contribution of disciplines such as sociology, in particular the reflections on the so-called “liquid” society and culture theorized by Zygmunt Bauman have enriched the proposed elaborations.Another innovation is that of having carried out a gender study in the field of childhood poetry. Although not definitive, this survey has allowed us to broaden the horizon of criticism.In the context of the authors we think we have had the merit of remembering authors who are not very present (or completely absent) in the anthologies of poetry for children, such as Tommaso Landolfi, Giulia Niccolai, Rossana Ombres and Giovanni Arpino and for having claimed and reserved one particular space to Giuseppe Pontremoli and Pierluigi Cappello. In the context of anthologies, we also rightly believe that we have included the analysis (and evaluation) of children’s anthologies in the study of poetic anthology (in particular those by Roberto Antonelli in « Critica del testo » and Niccolò Scaffai), a completely new operation. The proposed Anthology therefore follows the highlighted criteria and differs considerably from those of the past as well as those currently on the market.
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Il corpo nella lettera. Le tracce del femminile nella poesia italiana contemporanea : le voci di Anedda, Cavalli e Gualtieri / Le corps dans la lettre. Les traces du féminin dans la poésie italienne contemporaine : les voix de Anedda, Cavalli, Gualtieri / The body in letter. Traces of the feminine in contemporary Italian poetry : the voices of Anedda, Cavalli and GualtieriBergamin, Maddalena 24 November 2017 (has links)
Le travail de recherche ici présenté porte sur l’analyse de l’écriture poétique de trois femmes écrivains italiennes contemporaines : Antonella Anedda (1955), Patrizia Cavalli (1947) et Mariangela Gualtieri (1951). Nous avons décidé d’aborder ce corpus sur la base de certains acquis théoriques de la psychanalyse lacanienne. L’hypothèse de départ repose sur l’idée que le texte poétique, en raison de son statut particulier au sein du langage, nécessite d’être interrogé à partir d’une réflexion scrupuleuse à propos de la relation entre inconscient et langage. Nous avons développé une conception du texte poétique qui prend appui sur deux élaborations majeures de Jacques Lacan, à savoir l’inconscient comme espace du sujet manque-à-être et l’inconscient parlêtre. À partir de là, nous avons défini le texte comme lieu de coexistence de deux univers distincts : celui du Symbolique, qui relève du glissement incessant du sujet sur la chaîne signifiante ; celui du Réel, qui relève de la langue singulière, opaque et indéchiffrable qui habite tout être parlant. Il s’est par conséquent avéré nécessaire de questionner en profondeur les problématiques de l’énonciation et de l’interprétation. Le concept lacanien de pas-tout, étroitement lié à la question féminine, nous a guidé dans l’élaboration d’une éthique de la lecture du texte qui vise à ne pas négliger sa dimension réelle, corporelle et irréductible. Nous avons ensuite testé notre approche à travers l’analyse du corpus poétique choisi. Interroger le mode d’énonciation spécifique de chacune des trois poétesses convoquées, nous a permis de donner la parole à trois voix majeures de la poésie italienne contemporaine. Les écritures de Anedda, Cavalli et Gualtieri se sont ainsi imposées non seulement comme trois expériences tout à fait originales dans le panorama de la poésie italienne de ces dernières années, mais surtout comme trois réponses complexes et différentes par rapport à la problématique de la subjectivité contemporaine / The research presented here concerns the analysis of the poetic writing of three contemporary Italian women writers: Antonella Anedda (1955), Patrizia Cavalli (1947) and Mariangela Gualtieri (1951). We decided to approach this corpus on the basis of certain theories of Lacanian psychoanalysis. The starting hypothesis rests on the idea that poetic text, because of its particular status within language, needs to be examined on the basis of scrupulous reflection on the relation between the unconscious and language. We have developed a notion of poetic text that is based on two major approaches by Jacques Lacan, namely the unconscious as the space of the subject manque-à-être and the unconscious parlêtre. From this point on, we have defined the text as the place of coexistence of two distinct universes: that of the Symbolic, which refers to the incessant sliding of the subject on the chain of signifiers, and that of the Real, which is singular, opaque and indecipherable lalangue, which inhabits every speaking being. It has therefore proved necessary to question the issues of enunciation and interpretation in depth. The Lacanian concept of pas-tout, closely linked to the feminine question, has guided us in the formulation of an ethic of reading the text that aims not to neglect its real, corporeal and irreducible dimension. We then tested our approach through the analysis of the chosen poetic corpus. Examining the specific mode of enunciation of each of the three poets referred to has allowed us to give a voice to three major exemples of contemporary Italian poetry. The writings of Anedda, Cavalli and Gualtieri have thus established themselves not only as three completely original experiments in the panorama of Italian poetry of recent years, but above all as three complex and different answers in relation to the issues of contemporary subjectivity.
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La poésie féminine italienne des années soixante-dix à nos jours. Parcours d'analyse textuelle / Italien women poetry from the seventies to nowadays. Itineraries of textual analysis / La poesia femminile italiana dagli anni Settanta a oggi. Percorsi di analisi testualeZorat, Ambra 05 December 2009 (has links)
À partir des années soixante-dix les femmes poètes s'affirment avec énergie dans le panorama littéraire italien. Bien que leur présence dans les anthologies les plus reconnues soit encore assez réduite, leurs écritures poétiques se caractérisent par une puissante originalité. L'objectif de cette thèse est d'étudier ces productions poétiques tout en s'interrogeant sur la possibilité d'identifier des éléments communs. Il ne s'agit pas de définir une spécificité féminine dans une perspective essentialiste, mais d'interpréter certaines données textuelles en se référant à un contexte historique et culturel bien défini. Le corpus de travail comprends les œuvres des femmes poètes suivantes: Amelia Rosselli (1930-1996), Alda Merini (1931), Jolanda Insana (1937), Patrizia Cavalli (1947) et Patrizia Valduga (1953). Afin de respecter les singularités de chaque écriture poétique et d’éviter des simplifications réductrices, nous avons accordé la priorité à l'analyse textuelle et organisé les chapitres selon une approche monographique plutôt que thématique. L'analyse révèle que ces femmes poètes abordent avec obstination trois nœuds problématiques: elles développent une réflexion sur la valeur de la langue poétique, ont tendance à structurer leur poésie autour d'oppositions fortes et irréductibles, et, enfin, font souvent appel à des éléments de type théâtral. Ces caractéristiques sont interprétées en considérant le rapport ambigu et contradictoire que le sujet féminin entretient avec le code poétique: il ressent un fort besoin d'inscription dans la langue poétique, mais aussi un sens d'extranéité. Cette tradition qui lui est chère ne lui appartient pas complètement car il a été exclu de son élaboration. / As from the seventies women poets assert themselves with energy in the Italian literary survey. Even if their presence in the most famous anthologies is curtailed, their poetic writings are characterized by a powerful originality. The aim of this thesis is to study their poetic production inquiring into the possibility of common elements. It’s not about defining a female specificity from an essentialist point of view, the purpose is rather to interpret some textual data with reference to a well-defined historical and cultural context. The study corpus includes works of the following Italian woman poets: Amelia Rosselli (1930-1996), Alda Merini (1931), Jolanda Insana (1937), Patrizia Cavalli (1947) and Patrizia Valduga (1953). In order to respect the particularities of every writing and to avoid hasty and restrictive simplifications, a great importance has been conferred to the textual analysis and the chapters have been arranged according to a monographic approach rather than a thematic structure. The result of the research demonstrates that contemporary Italian women poets attend insistently three knotty problems: they develop a reflection about the power of poetic language, they display a tendency to structure their verse on strong oppositions without appeasing synthesis and they often resort to dramatic elements. These characteristics can be interpreted referring to the double and conflicting position of the female subject towards poetic code: this new subject needs to inscribe himself in the poetic language, but he also feels a sense of extraneousness. The tradition he loves doesn’t belong completely to him as he was left out of its elaboration.
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Da Pieve di Soligo a Parigi : Andrea Zanzotto e la poesia moderna francese tra Michaux e Cendrars / De Pieve de Soligo à Paris : Andrea Zanzotto et la poésie moderne française entre Michaux et Cendrars / From Pieve di Soligo to Paris : Andrea Zanzotto and modern French poetry between Michaux and CendrarsFavaretto, Donatella 30 November 2015 (has links)
Andrea Zanzotto (Pieve di Soligo 1921- Conegliano 2011), poète italien parmi les plus marquants du XXe siècle, a privilégié, depuis sa jeunesse, la culture et la langue française. Notre travail met en évidence, à partir de sa poésie, des écrits critiques, de ses traductions et de ses nombreuses interviews, le lien, qu’il a tissé pendant plus de soixante-dix ans, avec la poésie transalpine moderne. Toutefois, c’est seulement à partir des dernières années que la critique littéraire a développé des études comparatives sur l’influence de la poésie étrangère, en particulière française, sur son œuvre. Sa prédilection littéraire commence par Rimbaud, passe à travers le Surréalisme (Éluard), et s’arrête sur certains auteurs appelés « hérétiques » par rapport au mouvement de Breton (Michel Leiris, Antonin Artaud), ou alors sur des auteurs très polémiques (comme Henri Michaux ou Blaise Cendrars avec son poème Pâques à New York) aux quels on a dédié un approfondissement. En ce parcours Zanzotto croise, bien qu’avec moins d’entrain, les contemporains André Frénaud, Alain Borne, Edmond Jabès, Jean Tardieu, Michel Deguy, Yves Bonnefoy, et René Char. Notre thèse, en s’appuyant sur l’examen des textes et sur l’analyse des traductions et des documents inédits, d’une part rends compte du caractère précurseur de Zanzotto pour ce qui concerne la connaissance de certains auteurs et les raisons de son intérêt pour le courant « hérétique » du Surréalisme. D’autre part, ce travail explique l’intersection de sa recherche littéraire, d’un point de vue thématique et linguistique, avec la poésie française et met en évidence le rendu poétique des expressions littéraires et existentielles de l’outrance et de l’absolu d’origine française. / Andrea Zanzotto (Pieve di Soligo, 1921 – Conegliano, 2011), one of the most outstanding poets of the 20th century, showed from an early age a huge interest towards the French linguistic and cultural heritage, above the others. Our thesis highlights how well present his strong relationship with modern French poetry is, testified by his own critical essays, translations and public statements; a connection bound to last for almost seventy years. Only recently the critics have started a comparative approach to the study of the influence of foreign poetry, and French poetry in particular, upon his œuvre. The literary lineage that Zanzotto follows starts with Rimbaud, crosses Surrealism (Eluard ) and then lingers upon a number of authors defined either as heterodox (Michel Leiris, Antonin Artaud,) or extremely critical (Henri Michaux, and Blaise Cendrars, the latter with his short poem titled Pâques à New York, herewith analysed) towards Breton’s movement. Zanzotto also deals with his contemporaries, although with minor depth (André Frénaud, Alain Borne, Edmond Jabès, Jean Tardieu, Michel Deguy, Yves Bonnefoy, René Char). The present research, backed up by textual comparison and the analysis of unpublished translations and documents, focuses on the pioneering features of Zanzotto’s knowledge of all these French authors compared to the subsequent Italian literature, and the reasons behind his ties with the “heretic” current of Surrealism. At the same time, our work explains the intersection, from the linguistic and thematic point of view, with French poetry and shows the poetic outcome of the literary and existential expressions of the Absolute and all-out of French origin.
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