Thesis (J.S.D.)--University of Illinois at Urbana-Champaign, 2009. / Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 70-06, Section: A, page: . Adviser: Lawrence B. Solum. Includes bibliographical references (leaves 179-216) Available on microfilm from Pro Quest Information and Learning.

Thesis (Ph.D.)--Indiana University, School of Public and Environmental Affairs and School of Law, 2005. / Title from PDF t.p. (viewed Dec. 3, 2008). Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 66-03, Section: A, page: 1153. Co-Chairs: Elinor Ostrom; Patrick O'Meara.

Thesis (Ph. D.)--Syracuse University, 2003. / "Publication number AAT 3081638."

Thesis (PH.D.) -- Syracuse University, 2004. / "Publication number AAT 3160383."

Thesis (Ph. D.)--Syracuse University, 2005. / "Publication number AAT 3177016."

Thesis (PH.D.) -- Syracuse University, 2006 / "Publication number AAT 3251822."

The media in Japan is unique in the world. Even though Japanese Society today enjoys advances in digital technology, the major national newspapers remain one of the most reliable sources for the public to learn about domestic and foreign news. Many researchers have examined the Japanese press's influence on public opinion during election campaigns, but very few have examined the interactions of the press and national public opinion in the context of international relations. This thesis analyzes the effects of the print media on the formation of national public opinion by examining the Japanese press coverage of Sino-Japanese relations. By testing the second-level agenda-setting theory through a content analysis of the coverage of Sino-Japanese relations in two major Japanese national newspapers, this thesis argues that the Japanese press plays a central role in the formation of Japanese public opinion toward China.

Cette thèse porte sur la politique et l'Internet. Nous adoptons une approche interdisciplinaire dans une perspective principalement de sociologie politique de la communication. L'hypothèse est à l'effet que l'arrivée d'Internet ait fortement contribué à dépouiller l'État et ses agences de leur prépondérance d'une part en matière d'information et d'autre part en matière d'identification des enjeux de société, dans les deux cas au profit d'une pluralité d'acteurs non étatiques. Nous présentons ensuite deux études de cas, d'abord sur le discours et la communication politique des réseaux de défense de l'environnement et des droits de la personne utilisant Internet à des fins de mobilisation, et ensuite, sur certains défis et possibilités reliés à la radio-télédiffusion publique face à Internet au XXIe siècle. Notre étude révèle que la relation entre Internet et la science politique est empreinte de contradiction: d'un côté, il existe un potentiel emancipatoire pour la société et de l'autre, nous constatons la persistance des inégalités. Toutefois, cette contradiction est surmontable et la société peut tirer profit des leçons apprises pour le bien fondé de l'humanité et le respect de la diversité des valeurs sociales et culturelles.

Comment les rapports de pouvoir fonctionnent-ils et pourquoi sont-ils établis? C'est à travers les discours et les représentations qu'ils sont perpétués. L'orientalisme d'Edward W. Said est un exemple parfait de discours permettant plus particulièrement à l'Occident de dominer l'Orient. Pendant la guerre en Irak, il est d'ailleurs possible d'observer l'utilisation de ce discours dans le but de légitimer l'autorité occidentale sur ce pays. Selon Said, le discours et les représentations que l'Occident se fait de l'Orient déterminent ce dernier de façon impérialiste, mythique et réductrice. De plus, ce sont par les médias occidentaux que ces conceptions orientalistes sont véhiculées à travers le monde occidental, ces derniers jouant ainsi un rôle important dans la légitimation de ces actes de domination sur l'Orient auprès de la population. En s'appuyant sur la théorie orientaliste, cette étude cherchera à démontrer que les médias et les politiciens concernés utilisent un discours qui se fonde sur les représentations orientalistes, rendant ainsi légitime l'occupation de l'Irak.

In 1998 the Supreme Court of Canada was asked by the federal government to gives it opinion on a matter that goes to the very heart of the Canadian constitution. In short: does Quebec have the right, both in terms of international and domestic law, to secede from Canada? The answer would have implications not only for the Canadian constitution but international law as well. In the event that these questions were resolved by a sovereigntist government in Quebec and that government assumed a mandate to pursue secession from the rest of Canada, to what extent under international law is the question of secession now regulated by international legal norms? In the process of researching this thesis, I came across the work of jurists who vehemently dispute the Supreme Court's contention that the legitimacy of the process of secession is a pre-condition for international recognition nor is it an established norm of international law, as was suggested by the court in its judgment. They maintain that there are a number of cases that contradict the Court. Whether these cases are relevant to the Canadian question of secession, is open to debate. However, it seems clear that, far from being well-established international law, these issues continue to be extremely problematic. But it does seem clear that the question of secession and recognition in the international system are now, to some extent, subject to certain legal criteria, some of which (e.g. self-determination) are raised by the court in the context of the Reference and must now be regarded as applying to the case of Quebec at least.