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La politique étrangère des États-Unis en Afrique Australe de 1975 à 1995 : ses aspects-militaires, de l’indifférence indulgente, aux covert actions puis auCapacity Building. / The military aspects of the foreign policy of the United States in Southern Africa from 1975 to t1995 : the military aspects,from Covert actions and military interventions to Capacity Building.

Auran, Jean-François 04 December 2017 (has links)
Les États-Unis ont traditionnellement été accusés de ne pas avoir de réelle politique africaine. Une période semble échapper à cette affirmation car elle a été particulièrement riche dans ce domaine. Il s’agit des années 1975 à 1995 et particulièrement de la zone de l’Afrique australe. Cette politique étrangère a néanmoins été fluctuante au gré des présidences et influencée tant par la guerre froide et par des impératifs de politique nationale.Après l’effondrement de l’empire portugais, les États-Unis sont pris au dépourvu dans cette région stratégique à divers titres. Avec la fin de la guerre du Viêt Nam, Cuba et l’URSS lancent une politique expansionniste en Afrique. Ces deux paramètres vont créer les conditions d’un regain d’intérêt pour cette région et donner à l’Afrique du sud une rôle central au moment où les opinions publiques s’invitent dans la lutte contre l’apartheid.Les caractéristiques et composantes de cette politique, le processus de décision, ses acteurs multiples et variés constituent un sujet d’étude particulièrement riche. Quelle est la réelle part d’approche régionale de celle plus globaliste ? Quelles spécificités entre administrations démocrates et républicaines ?Au niveau militaire, il y a eu une certaine indulgence vis-à-vis du programme nucléaire et biologique sud-africain ainsi que le maintien de liens très forts entre les militaires des deux pays. L’utilisation des covert-actions de la CIA, l’appui du Zaïre, l’implication de l’OTAN et la résistance des états de la ligne de front constituent autant d’aspects de cette histoire très riche. / The United States has been traditionally accused of having no real African policy. A period seems to avoid this statement because it was particularly rich in this domain. It is the period covering the years 1975 to 1995 and particularly the Southern Africa area. This foreign policy has however been fluctuating according to presidencies and influenced so much by the cold war and by the imperatives of national politics.After the collapse of the Portuguese empire, the United States have been taken by surprise in this strategic region in various areas. With the end of the Vietnam war, Cuba and the USSR launched an expansionist policy in Africa. These two parameters will create the conditions for a resurgence of interest of this region and give South Africa a key role when public opinions started to be more engaged against apartheid.The features and components of this policy, the decision-making process with multiple and varied actors are a particularly rich subject of study. What is the real part of the regional approach to a more holistic one? What are the specificities of Democratic and Republican administrations?At the military level, there has been some leniency towards the South African nuclear and biological program and the maintenance of the strong linkage between the military of both countries. The use of the CIA's covert operations, Mobutu’s Zaire support, NATO's involvement and the resistance of the frontline states are all aspects of this rich history.
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La public diplomacy des Etats-Unis : théories, pratiques, effets (1948-2008) / American Public Diplomacy : theories, Pracices, Effects (1948-2008)

Ricaud, Raphaël 10 November 2012 (has links)
La présente étude vise à appréhender en trois temps la public diplomacy des Etats-Unis, objet civilisationnel protéiforme. Notre premier chapitre a pour objectif la constitution d’un appareil théorique permettant de comprendre le fonctionnement de la projection d’une image extraterritoriale des Etats-Unis. La multiplicité d’acteurs, d’auteurs et de prescripteurs façonnant la public diplomacy américaine nécessite d’en dresser une taxonomie. Par ailleurs, les nombreux prismes disciplinaires par lesquels la public diplomacy est décrite font amplement varier son signifié. Pour donner du sens à cet ensemble hétérogène, nous choisissons d’étudier la public diplomacy des Etats-Unis sous l’angle de la propagande. Notre second chapitre est une étude pratique. Celle-ci révèle que la littérature consacrée à la public diplomacy est de nature quasi hagiographique. Présentée comme vertueuse par ses acteurs, la réalité est tout autre. Quatre cas d’étude – la « campagne de vérité » sous Truman, la « guerre du Vietnam » sous Johnson, l’Office of Public Diplomacy for Latin America and the Caribbean sous Reagan, ainsi que la « guerre contre la terreur » sous Bush fils – montrent que sa praxis est en contradiction avec sa rhétorique. Lors de l’ultime chapitre, on s’interrogera sur les différences entre effets annoncés et effets constatés. Le phénomène le plus notable est la constitution d’un maillage international de personnes influentes au sein d’instituts servant de relais au message américain. Cet effet fait-il des chercheurs en Etudes américaines des propagandistes à leur insu ? / This three-part dissertation considers U.S. public diplomacy as a protean American Studies object. Part one is the creation of a theoretical apparatus to assist readers in their comprehension of how America projects its image abroad. The (too) many actors, authors and policy-makers involved in the shaping of American public diplomacy require the creation of a taxonomy. What is more, depending on academic focus, the meaning of public diplomacy varies. To make sense of this heterogeneous set, we choose to use propaganda as the master signifier tying together the different facets of public diplomacy. Part two is a practical study. Quasi hagiographic literature massages the reader into believing public diplomacy is of a virtuous nature. Yet four case studies (Truman’s Campaign of truth, Johnson’s Vietnam War, Reagan’s Office of Public Diplomacy for Latin America and the Caribbean and Bush 43’s so-called “War on Terror”) reveal the width of the gap that separates rhetoric from practice. Part three ponders the difference between supposed and real effects of American public diplomacy. Its most tangible achievement being the creation of a network of influential people and institutions to relay the American message abroad, one may wonder whether American Studies specialists unknowingly become propagandists themselves.

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