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Transmission, énonciation et littérarité dans «Au cœur de l’enfer» de Zalmen Gradowski

Côté, Julie 23 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016 / La Seconde Guerre mondiale laisse dans son sillage de nombreux témoignages de l’enfer des camps de concentration et d’extermination. Bien que la grande majorité de ces témoignages furent écrits après les événements, certains récits furent, quant à eux, rédigés au moment même des faits, alors que des milliers de victimes périssaient dans ces camps nazis. C’est le cas d’un homme en particulier, Zalmen Gradowski. En effet, dans son manuscrit, Au cœur de l’enfer, il expose aux lecteurs éventuels l’horreur de son travail de Sonderkommando. Tout comme huit autres membres du Sonderkommandos, Gradowski a rédigé, dans deux manuscrits, le récit de son expérience concentrationnaire. Récit à forte teneur historique de toute évidence, le témoignage de Gradowski comporte également une importante charge littéraire. Les théories de l’énonciation ainsi que les différentes configurations littéraires définies par Philipe Mesnard, dans Témoignage en résistance, nous permettent d’analyser en profondeur la littérarité de ce manuscrit.
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La caserne Dossin à Malines, 1942-1944: histoire d'un lieu

Schram, Laurence 07 May 2015 (has links)
Le 27 juillet 1942, la Sipo-SD de Bruxelles ouvre le camp de rassemblement pour Juifs, établi dans la caserne Dossin à Malines. La fonction de ce camp est génocidaire :elle consiste à rassembler en ce lieu les victimes des persécutions raciales en vue de leur « évacuation » à l’Est, c’est-à-dire leur déportation à Auschwitz-Birkenau.<p>Entre le 4 août 1942 et le 31 juillet 1944, 25.000 déportés juifs et 350 Tsiganes de Belgique et du nord de la France sont déportés à Auschwitz-Birkenau, qui est à la fois un centre de mise à mort et un complexe concentrationnaire. En 1945, seuls 1.252 de ces déportés raciaux ont survécu. Avec Drancy et Westerbork, la caserne Dossin constitue l’un des rouages essentiels de la mise en œuvre de la « Solution finale de la Question juive » (en Allemand, Endlösung der Judenfrage), le programme nazi d’élimination systématique et totale des Juifs d’Europe. <p>Bien que ce lieu ait été l’antichambre de la mort, son histoire est très mal connue. Pour la première fois, elle est étudiée dans sa globalité. <p>Après avoir donné un aperçu des persécutions raciales sous l’occupation allemande en Belgique et dans le nord de la France, l’auteur examine comment et dans quel contexte le camp de Malines est organisé par la Sipo-SD. <p>Le camp nécessite un personnel SS très restreint :une dizaine d’Allemands et quelque 80 auxiliaires flamands suffisent. Les rôles et les parcours individuels de plusieurs d’entre eux sont abordés plus en détail, afin d’en dégager des profils particuliers. Pour faire fonctionner le camp, les SS utilisent des travailleurs juifs détenus. Leurs tâches vont de l’entretien quotidien du camp à l’administration de la déportation, l’enregistrement sur les listes de transports et la spoliation. L’implication forcée des détenus dans la destruction de leur propre communauté est analysée. Le fonctionnement du SS-Sammellager est comparable à celui du système concentrationnaire. À la caserne Dossin, des détenus juifs endossent des fonctions privilégiées, similaires à celles des Kapos dans les camps de concentration, mais évidemment à des degrés de violence très éloignés. <p>Les SS, maîtres absolus, règnent par la terreur que les internés subissent dans tous les aspects de leurs conditions de détention :le règlement intérieur, les horaires, l’hygiène déplorable, la promiscuité dans les chambrées, l’insuffisance du ravitaillement, l’exploitation de leur travail. <p>L’arbitraire, renforcé par l’impunité dont jouissent les SS, débouche sur de nombreux mauvais traitements, exactions, et sévices. Certains épisodes, plus violents que d’autres, qui ont marqué l’histoire du camp, sont analysés en profondeur. Le nombre extrêmement restreint de décès survenus au camp doit cependant être souligné.<p>Devant tant de violences, confrontés à l’inacceptable, les internés adaptent leurs comportements aux circonstances, jouant sur un vaste registre allant de la collaboration avec leurs persécuteurs jusqu’à la résistance. Cette résistance, multiforme et diffuse, se développe à l’intérieur du camp, tout en n’aboutissant jamais à la mise sur pied d’un réseau organisé. <p>Mais au sein des détenus, une catégorie particulière n’aura jamais l’occasion de résister, pas plus que celle de se mêler aux internés juifs. Dès leur enfermement dans la caserne Dossin, les Tsiganes sont encore plus mal lotis que les Juifs. Leur sort, tout à fait exceptionnel et ne se confondant pas avec celui des Juifs, est présenté dans un chapitre qui leur est exclusivement consacré. <p>Dans la nuit du 3 au 4 septembre 1944, le SS-Sammellager est abandonné par les SS, en pleine débâcle. La plupart des Juifs qui s’y trouvent encore sont livrés à eux-mêmes. Leur « libération » ne suscite pas de grand intérêt. Pour leur part, la liesse s’éteint rapidement devant le constat de leur monde ravagé par la Shoah. Presque aucune famille n’est sortie indemne de ces deux années de déportation.<p>Vingt-sept transports juifs et un transport tsiganes ont été dirigés à Auschwitz-Birkenau. Trois convois exceptionnels partent aussi pour Buchenwald, Ravensbrück et Bergen-Belsen et deux petits groupes d’internés sont envoyés de Malines à Vittel. <p>L’histoire de chacun de ces transports permet de relater la façon dont leur effectif a été rassemblé, de suivre le sort des déportés, des évadés, des assassinés dès la descente du train, des forçats ainsi que des rares survivants. <p>Aussi l’auteur replace-t-il la caserne Dossin dans son contexte européen en mettant l’accent sur sa fonction génocidaire.<p>La mise en œuvre de la Shoah en Belgique, en France et aux Pays-Bas est présentée et une comparaison entre les camps de rassemblement de ces pays, Dossin, Drancy et Westerbork est réalisée. <p>Tout au long de son développement, cette thèse met l’accent sur la mission génocidaire du camp, maillon entre les SS l’Office central de Sécurité du Reich de Berlin et Auschwitz-Birkenau, le lieu de l’extermination des Juifs de l’Ouest. Le SS-Sammellager für Juden est replacé dans le contexte de la Shoah en Europe, en particulier à l’Ouest, dans le triangle formé par Westerbork, Drancy et Dossin.<p><p><p><p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Jean Amérys Ethik der Erinnerung: die Materialisierung des Geistes im Körper

Weiler, Sylvia 19 December 2008 (has links)
In dieser Dissertation wird Jean Amérys Ethik der Erinnerung auf ihre philosophischen, politischen und literarischen Implikationen hin untersucht. Dabei wird sie als ein moegliches philosophisches Fundament fuer den westdeutschen Auschwitz-Diskurs und die westdeutsche Nachkriegsliteratur vorgestellt. Ihre Besonderheiten gewinnen auf der Grundlage eines Vergleichs von Amérys erinnerungspolitischen Positionen mit jenen Theodor W. Adornos Kontur, der allgemein als der philosophische Begruender der deutschen Literatur nach 1945 gilt. Beide Intellektuelle denken ausgehend von ihrer Verfolgungserfahrung als Juden deutscher (Adorno) bzw. oesterreichischer (Améry) Herkunft. Doch anders als Adorno, dem 1938 die Emigration nach Amerika gelang, wurde Améry als politischer Widerstandskaempfer gefoltert und nach Auschwitz deportiert. Vor diesem Hintergrund geht es um die Frage nach der erkenntnistheoretischen Bedeutung der koerperlichen Erfahrung der Vernichtung beim Versuch, ein der Zaesur Auschwitz angemessenes Denken zu begruenden. Hierzu werden erstmals Amérys Anleihen bei dem Phaenomenologen Maurice Merleau-Ponty systematisch analysiert. Wie er geht auch Améry davon aus, dass die koerperliche Wahrnehmung eines Menschen in entscheidender Form ueber sein Engagement in Kultur und Gesellschaft mitbestimmt.<p>Im Rahmen der Forschungsarbeit werden saemtliche Werke Amérys beruecksichtigt, inklusive seiner zum Teil noch unveroeffentlichten Nachlass-Arbeiten. Sie ist in drei Teile aufgegliedert, in denen jeweils eine der Werkepochen, die Améry auf seinem Werdegang als politischer Schriftsteller durchlaeuft, zentral steht: sein politisches Erwachen 1934/35 in Wien, seine ersten Schreibversuche nach der Befreiung aus dem Konzentrationslager Bergen-Belsen zwischen 1945 und 1949, und zuletzt die Ethik der Erinnerung des kanonischen Améry, die er in zwei Werkepochen erarbeitet hat, in denen er sich jeweils unterschiedlichen Fragestellungen widmet.(1966-1974 und 1974-1978). <p>Aus der Literaturzeitschrift "Die Bruecke", die der 22jaehrige 1934 gemeinsam mit einem Freund herausgab, und Amérys Jugendroman "Die Schiffbruechigen" werden in den ersten beiden Kapiteln die fruehen philosophischen und aestetischen Urspruenge von Amérys Ethik eroertert. Im folgenden Kapitel rueckt die Vernichtungserfahrung des Autors in den Brennpunkt. Die Parameter ihrer ersten literarischen Verarbeitung in seinen Schriften aus der unmittelbaren Nachkriegszeit werden herausgestellt, die Améry in seinem Spaetwerk weitergedacht hat. Auf den vorangehenden Forschungsergebnissen aufbauend wird im letzten Kapitel Amérys Ethik der Erinnerung im Vergleich zu jener Theodor W. Adornos erarbeitet. Ihr phaenomenologisches Fundament wird dem geschichtsphilosophischen Fundament des Adornoschen Denkens gegenuebergestellt. Dabei wird gezeigt, dass nicht nur Amérys Denken, sondern auch seine Aesthetik phaenomenologisch ausgerichtet ist. Durch die Analysen in diesem Hauptteil der Dissertation, in dem erstmals alle Essay-Baende auf ihren erinnerungspolitischen Gehalt im Zusammenspiel untersucht wurden, wird Amérys Beitrag zur Begruendung einer postmodernen Ethik und der Gattung der Shoah-Literatur einsehbar.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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