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Le féminisme de Marcel Prévost; ou, l'art de la mystification / Art de la mtstificationPetcoff, Christine January 1992 (has links)
Even though Marcel Prevost was considered neither an author of world magnitude nor even important within the framework of French literature, he interests us from an historical perspective. The discursive tone he uses in his novels conveys a negative vision of feminism that was common in the last century. Prevost expresses within the romantic structure of his novels the unyielding masculine attitude in the face of women's quest for self-assertion. In his novels one cannot escape the tone of domination and control, and the revival of patriarchal power. Always very aware of his popularity as a writer, Prevost sought to instill his doctrine in the most subtle way possible, and while posing as women's ally, he remained true to his ideal of a domineering male. / It is only in the light of contemporary thought that we perceive the idealistic structure he was building. We rediscover the likeness of our ancestors, our great grandmothers, real and idealized by a masculine mind. Over the course of Prevost's novels we observe his image of Woman changing from a chaperoned entity to a quasi autonomous being, while retaining, in his eyes, the same mentality. The stereotyped and fixed role given her since time immemorial have left her without the ability to release her shackles and escape her subservient position. / Prevost 's language reveals the resistance of a man who foresees the inevitable day when Man will have to hand over to Woman the control over her own destiny. Throughout his works, mostly forgotten today, he exalts the young virgin, the loving wife and the fulfilled mother. Women who deviate from these norms are relegated to the role of degenerate, hysterical or unsound beings. The interplay between the forces of good and evil serves as a model to incite the reader into making the right choice. Prevost's only goal is to redress women's behaviour and help maintain their traditional role. His work strikes a nostalgic note of the past, recalling "la Belle Epoque" when women were imprisoned as much by conventions as by their corsets, while still letting one guess at their charms. Prevost chooses to continue not to see or understand Woman, only to better reinvent her on the wings of his imagination.
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Le féminisme de Marcel Prévost; ou, l'art de la mystificationPetcoff, Christine January 1992 (has links)
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Les sociétés idéales dans le Cleveland de l’abbé Prévost.Wood, Janice Marianne. January 1966 (has links)
Au dix-septième et au dix-huitième siècles, l'existence imaginaire ou véritable des sociétés idéales sur le continent américain posait une question intéressante. Si l'on étudie ce thème du point de vue historique ou littéraire, on y trouvera des renseignements sur la pensée de l'époque. L'idée de telles sociétés' eut une influence considérable sur l'esprit européen. La conception du Nouveau Monde s'est formée autour de l'image, quelquefois fantaisiste, de ses habitants. [...]
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Les sociétés idéales dans le Cleveland de l’abbé Prévost.Wood, Janice Marianne. January 1966 (has links)
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La famille française dans les romans de la première moitié du XVIIIe siècle d’après Challe, Prévost et MarivauxKhelladi, Samira 14 November 2011 (has links)
La famille dans l’invention romanesque est un thème neuf abordé par Challe, le père du roman moderne, dans son chef-d’œuvre Les Illustres Françaises, roman où tous les personnages sont liés par des liens de parenté, d’amitié et de voisinage. Prévost, avec Manon Lescaut et Cleveland, annonce l’évolution du genre littéraire : un fils révolté et un enfant bâtard sont les héros de ces romans. Marivaux dans Marianne et Le Paysan parvenu imprime sa touche artistique en inventant des procédés nouveaux et en créant Marianne et Jacob, deux êtres indépendants qui arrivent à se réaliser dans la vie, malgré le système rude sur lequel se fondent les familles de leur époque. Annoncent-ils ainsi une nouvelle ère où l’individu pourra se réaliser sans l’intervention ni l’aide de sa famille ?Les romanciers trouvent leurs sujets exaltants dans la peinture de la réalité du « vrai » en représentant la vie quotidienne et en créant des scènes frappantes où le personnage authentique mène une expérience exemplaire de la vie. Les membres de la famille : le père, la mère, le fils, la fille sont présentés dans des portraits littéraires. Les pères despotiques et autoritaires séquestrent, traquent, violentent, déshéritent et renient les enfants qui osent défier leur autorité. Le vieux Dupuis refuse de marier sa fille à Des Ronais, un homme riche et de bonne famille. Il veut garder sa fille auprès de lui, considérant qu’elle est sa seule famille ou son unique « bien » dans la vie, dans un monde où la fille est destinée au mariage ou à la vie religieuse. De Bernay père oblige sa fille aînée à se marier contre son gré et contraint Clémence à devenir religieuse. Enfin le père de Des Pres et le père de Des Grieux veulent imposer leur autorité à leur fils. La représentation de la mère bonne ou mauvaise permet de voir comment cette dernière assume la responsabilité parentale et peut parfois sacrifier sa maternité pour respecter les règles de sa société comme elle peut par amour pour son enfant sacrifier la réputation de la famille en acceptant, comme dans le cas de Mme de Miran et Mme de Contamine, de marier leurs fils uniques avec des filles pauvres.Les fils représentent une génération de jeunes gens qui sont à la recherche de soi, voulant se réaliser dans la vie. Après l’expérience, les jeunes gens murissent et acquièrent une certaine sagesse comme dans la réalité. Des Ronais est conseiller au parlement, Des Frans est le cavalier qui a réalisé au champ d’honneur son rêve en combattant. Le jeune Dupuis, le libertin, se réforme et décide de mener une vie réglée.Parmi les filles, la fautive et l’aventurière ne sont pas sévèrement jugées, mais elles sont absentes de la scène occupée par Angélique la fille vertueuse, Manon Dupuis la fille obéissante et Clémence la révoltée. J’ai abordé également l’amour qui est la raison d’être du roman, avec les belles scènes de rencontre où les héros découvrent la passion amoureuse. Le mariage secret, l’union libre sont les moyens qu’emploient les jeunes amoureux pour réaliser leur désir. Afin d’aborder la vie de couple au sein du mariage, les auteurs n’hésitent pas à donner cette fin heureuse au milieu du récit qui voit s’unir Angélique et Contamine, Jacob et Mlle Habert, Cleveland et Fanny. Les auteurs semblent souligner ainsi que le mariage n’est pas une fin en soi, que le plus important c’est l’amour, l’entente et l’harmonie de l’être au sein de son groupe et de sa famille. / The French family in the novels of the first part of the eighteenth-century according to Challe, Prévost and Marivaux.The family is a new subject treated by Challe, the founder of the modern novel, in his masterpiece Les Illustres Françaises. All the characters are bound by kinship, friendship or neighbourhood relations. Prevost in Manon Lescaut and Cleveland modernises the fictional genre: a rebellious son and a bastard are the heroes of his novels. Marivaux in Marianne and Le Paysan parvenu invents a new artistic process and creates Marianne and Jacob, both of whom are independent. Despite the harsh system on which the family of their time was based, they are able to fulfil themselves in life. Is this the start of a new era when the individual can realize himself without the help and the support of his family?The novelists find their subject matter in the painting of reality, of "the truth”, they represent everyday life and create striking scenes in which an authentic character lives an exemplary life.The family members: father, mother, son, daughter, are presented in literary portraits. Despotic and authoritarian fathers kidnap, persecute, abuse, disinherit and disown children who dare to challenge their authority. Old Dupuis refuses to marry his daughter to Des Ronais, a rich man son of good family. He wants to keep his daughter with him, considering her as his only family and his only “treasure” in life, in a world where girls are destined for marriage or for religious life. Bernay Senior obliges his eldest daughter to marry against her will and forces Clémence to become a nun. Finally the fathers of Des Pres and Des Grieux want to impose their authority upon them.The representation of the good or bad mother shows that she is capable of assuming parental responsibility and also shows how she sometimes sacrifices her motherhood in order to respect the rules of her society, in the same way as she can, through love for her son, forfeit her family’s reputation by accepting to marry their only son with poor girls, as is the case with Mme de Miran and Mme de Contamine.The sons represent a generation of young people who are seeking to fulfil themselves in life. With experience, the young people mature and acquire some wisdom, as is the case in real life. Des Ronais becomes an advisor to parliament; Des Frans is now the gentleman who has realized his dream by fighting on the field of honour. Dupuis the rake reforms and decides to lead an orderly life.Among the daughters, deviant and adventurous are not severely judged in the novels, but they are absent from the stage occupied by the virtuous daughter Angélique, the obedient Manon Dupuis and the rebellious Clémence.My thesis also deals with love, the raison d’être of the novel. We find beautiful scenes of encounter, where the heroes discover the passion of love. Secret or common-law marriage are the means used by the young lovers to be with their beloved. So as to be able to portray the life of the married couple, the authors do not hesitate to arrive at this happy ending in the middle of the story. This is the case with Angélique and Contamine, Jacob and Mlle. Habert, Cleveland and Fanny. The authors underline that marriage is not an end in itself: the most important thing is love, understanding and harmony within the family.
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Agréable désordre? : le domaine du plaisir dans deux romans de PrévostPépin, Elsa January 2004 (has links)
The objective of this thesis is to analyse the evolution of the concept of pleasure in the literature and the history of ideas of the beginning of the 18th Century in France, through the study of the upheaval of sensibility carried out by Prevost's worried hedonism. In order to better understand the progressive transition of the semantic and lexicological concept of pleasure in the theoritical literature, we examine the philosophical and moral treaties on pleasure as well as the definitions found in the dictionnaires of the time. The study then focuses on two novels by Prevost: L'Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut and L'Histoire d'une Grecque moderne. These novels stage two experiences of pleasure which contribute to shape a new architecture of man characterised by instability and inconsistance. Prevost's hedonism redefines the position of the social, moral and psychological being according to certain features which lead to a particular aesthetic of disharmony.
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Agréable désordre? : le domaine du plaisir dans deux romans de PrévostPépin, Elsa January 2004 (has links)
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Narcisse philosophe : une figure de la fiction française du premier dix-huitième siècle / Narcissus philosopher : a figure of the French fiction in the early 18th centuryMirlo, Audrey 07 November 2013 (has links)
Au début du XVIIIe siècle, les récits à la première personne abondent dans les lettres françaises. Parmi les narrateurs soucieux de retranscrire le cheminement de leur vie se signalent plus spécifiquement des personnages de philosophe. De 1721 à 1731, les lecteurs découvrent par exemple Usbek, le spectateur français, l’indigent philosophe et Cleveland, quatre personnages de fiction romanesque qui sont autant d’épistolier, de journaliste ou de mémorialiste philosophes. Auteurs, ils exercent leurs pensées sur le fond de leurs expériences intimes. Notre travail tend à examiner de quelle façon, à l’époque de Marivaux, Montesquieu et Prévost, la littérature de fiction à la première personne place le philosophe face à lui-même, nouveau Narcisse censé réfléchir le sens d’une existence. Intégré à la trame narrative, le philosophe (ou le moraliste) du premier XVIIIe siècle n’est plus cet observateur d’une objectivité détachée qui se retranche derrière des discours : il devient lui-même figure, c’est-à-dire forme observable livrée à l’appréciation des lecteurs. Ils ne manqueront d’ailleurs pas de relever les ambiguïtés de cette figure paradoxale qui ne parvient pas toujours à concilier les impératifs de la sensibilité et ceux de la raison. Précisément les œuvres du corpus interrogent les conditions du déploiement de la pensée dans l’esprit humain et dans le monde des choses concrètes. Les implications – littéraires et philosophiques, mais encore poétiques, esthétiques, morales ou cognitives – de la figuration du philosophe dans la fiction constituent ainsi l’objet de notre étude. / In the early 18th century, first-person novels would abound in French literature. Philosophers would become a prominent figure among the various kinds of narrators that specify their personal way of life. From 1721 to 1731, readers discovered Usbek, the spectateur français, the indigent philosophe, and Cleveland, four fictional characters who are letter writers, journalists or memorialists. As authors, they were inspired by their personal life experience and wrote to share their thoughts. The purpose of this work is to analyse at the time of Marivaux, Montesquieu and Prévost how the first-person literature makes philosophers face up their own image. Therefore, the philosopher becomes a new Narcissus supposed to reflect the meaning of existence. While integrated into the narrative, the philosopher (or the moralist) is no longer an objective observer who could hide behind a speech: he is himself a figure facing the judgment of readers. Moreover, they point out the ambiguities of this paradoxical figure that does not always manage to deal with sensitivity and reason. The works of the corpus are questioning the conditions for the deployment of thought in the human mind and the world of concrete things. The implications of the representation of the philosopher in fiction are the object of this study, whether on the literary or philosophical fields, but also on the poetic, aesthetic, moral or cognitive fields.
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La création des figures romanesques dans Le Doyen de Killerine de l’abbé Prévost / The fictional figures creation in abbé Prevost's Le Doyen de KillerineCheng, Alisson 06 January 2011 (has links)
Le Doyen de Killerine (1730-1735), troisième roman de l’abbé Prévost, malgré un succès notable au moment de sa parution figure actuellement parmi les œuvres les plus méconnues du public. Pourtant, à l’image de Cleveland ou de Manon Lescaut, celui-ci fait partie des romans les plus représentatifs et significatifs de l’auteur. Les personnages offrent une grille de lecture pertinente et remarquable quant au processus de la création romanesque : si Manon Lescaut et des Grieux forment l’un des couples les plus populaires de la littérature du XVIIIe siècle, que dire des multiples personnages que l’auteur crée au fil de ses écrits ? À ce titre, Le Doyen de Killerine offre une kyrielle de portraits riches et variés qui se révèlent être au cœur du roman ; afin d’en dégager les enjeux et les effets romanesques propres à l’univers du romancier, notre thèse se propose d’étudier les aspects de la création des figures romanesques dans Le Doyen de Killerine dont nous pensons qu’il témoigne du génie prévostien et qu’il offre un éclairage non seulement sur la production littéraire du XVIIIe siècle, mais aussi sur la société d’Ancien Régime dont il reflète les aspirations, les doutes et les attentes.Pour tenter de répondre à ces exigences, nous mettrons ce roman en relation avec l’ensemble de l’oeuvre de l’abbé Prévost ainsi qu’avec d’autres œuvres contemporaines ou non tout en orientant notre démarche vers des aspects essentiels de la création des personnages à l’instar de la manière dont l’auteur les inscrit dans une vie fictive, dont il les plonge dans l’aventure, dont il leur assigne une identité, des rôles ou encore dont il leur impose un destin. / Le Doyen de Killerine (The Dean of Killerine, 1730-1735), Abbé Prévost’s third novel remains among it’s author’s less known work, although it was a certain success when it came out. Though, like Cleveland or Manon Lescaut, it is among the most representative works of the author. The characters provide a relevant and remarkable way to understand the process of fictional creation: if Manon Lescaut and des Grieux form one of the most popular couple in the 18th century literature, what can we say about the numerous characters the author invented through his writings?As such, Le Doyen de Killerine shows a myriad of different portraits that are actually in the heart of the novel. In order to identify the specific issues and the fictional effects of the author, this thesis is to study the different aspects in the creation of the fictional characters in Le Doyen de Killerine. Indeed, we believe this work reflects the genius of Prévost and provides a perspective on the 18th century writing production on the one hand, and on the Ancien Régime society on the other hand, as it reflects its aspirations, doubts and expectations.To try to complete these demands, this study will relate that novel to the entire work of Abbé Prévost as well as to other works, contemporary or not. We will direct our research on the fundamental aspects of creating characters, like the author’s way to put them into fictional life, to immerse them in adventure, to assign them an identity, a role, or to impose them a destiny.
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La fiction déjouée. La part du jeu dans l’écriture fictionnelle (1687-1781) / The game of fiction. The role of play in eighteenth-century literature (1687-1781)Hakim, Zeina 12 December 2009 (has links)
Cette étude porte sur les procédés narratifs et les dispositifs rhétoriques auxquels certains romanciers du XVIIIe siècle ont recours pour jouer avec les attentes de leurs lecteurs. En effet, ces auteurs ne cessent de revendiquer la véridicité de leurs textes et pourtant, simultanément, utilisent deux stratégies visant à forcer le lecteur à se distancer de ce qui lui est raconté: d’une part ils mettent en scène un arsenal de lieux communs si connus que le lecteur reconnaît ceux-ci comme des signaux de fictionnalité; d’autre part ils multiplient les indices empêchant de croire à la réalité des récits qu’ils relatent. Cette étude en tire un certain nombre de conséquences et propose quelques hypothèses théoriques pour rendre compte de cette poétique paradoxale du jeu. Elle en examine également les effets et les implications – principalement rapportés à la figure du lecteur – et interroge la notion, à première vue contradictoire, de ‘vérité de la fiction’. / This dissertation analyzes the narrative devices and rhetorical techniques used by eighteenth-century novelists in order to play with the expectations of their readers. These authors present their fictional narratives as true accounts. At the same time, however, they use strategies that force the readers to distance themselves from what they read: on the one hand, these authors present a series of literary topoï, which are so familiar to the readers that they can only be taken as a sign of fictionality; and on the other hand, the authors give a series of clues that prevent the readers from believing what is said. This study examines the consequences of these procedures and offers several theoretical hypotheses in order to understand the paradoxical poetics of play. It questions the effects and the implications of this poetics on the reader and proposes the apparently contradictory concept of “fictional truth” as a way to think through the various notions of play in eighteenth-century fiction.
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