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The prolegomenon to Proclus’ Platonic theology : an introduction, translation, and commentary of chapters 1-7 of Book I of the Platonic theology

Fortier, Simon 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Bien qu’elle représente son opus magnum, la Théologie platonicienne de Proclus a souvent été négligée par les études néoplatoniciennes récentes. Hormis l’importante édition et traduction de cette œuvre dans la Collection des Universités de France (Proclus, Théologie platonicienne, 6 vol., éd. H. D. Saffrey et L. G. Westerink, Paris, 1968-1997), et le Festschrift qui l’a célébrée par la suite (Proclus et la théologie platonicienne, Actes du Colloque International de Louvain [13-16 mai 1998], en l'honneur de H. D. Saffrey et L. G. Westerink (†), éd. A. Ph. Segonds (†) et C. Steel, , Leuven/Paris, 2000), peu de travaux ont été consacrés à la Théologie platonicienne. Le signe le plus révélateur de ce manque criant est sans aucun doute l’absence d’une traduction anglaise digne de foi et d’un commentaire détaillé de cette œuvre, pourtant capitale, de la tradition philosophique occidentale. La présente traduction anglaise des premiers chapitres des prolégomènes de la Théologie platonicienne (chap. 1-7), accompagnée d’une introduction, d’un essai interprétatif et d’un commentaire détaillé, cherche en partie à combler cette lacune, espérant aussi stimuler par-là l’intérêt pour ce dernier grand monument de la philosophie antique tardive. / Despite being his magnum opus, Proclus’ Platonic Theology has been largely overlooked by the contemporary revival of Neoplatonic scholarship. Aside the publication of H. D. Saffrey and L. G. Westerink’s edition in the Collection des Universités de France (Proclus, Théologie platonicienne, 6 vol., éd. H. D. Saffrey et L. G. Westerink, Paris, 1968-1997), and a Festschrift dedicated thereto (Proclus et la théologie platonicienne, Actes du Colloque International de Louvain [13-16 mai 1998], en l'honneur de H. D. Saffrey et L. G. Westerink (†), éd. A. Ph. Segonds (†) et C. Steel, Leuven/Paris, 2000), scant work has been done on the Platonic Theology. Perhaps the most telling signs of the neglect from which it has suffered are its lack of at once a reliable English translation and detailed commentary. The present English translation of the opening chapters of the prolegomenon of the Platonic Theology (chap. 1-7), with its accompanying introduction, interpretative essay, and running commentary, is therefore an attempt to give this work some of the attention it so richly deserves.
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La doctrine de l'intellection dans la philosophie de Proclus : étude sur les principes de la noétique néoplatonicienne

Lortie, François 23 April 2018 (has links)
Dans son Commentaire sur le Timée, alors qu’il analyse le lemme où apparaît le syntagme intellection accompagnée de raison (noêsis meta logou) (Timée, 28a1-4), Proclus s’interroge sur la nature de la connaissance par laquelle, selon le discours de Timée, l’âme humaine peut appréhender l’Être véritable. D’après les principes dialectiques (division, définition, démonstration et analyse) qui guident son travail de philosophe et de commentateur, le diadoque de l’École d’Athènes présente six acceptions de l’intellection (noêsis), parmi lesquelles il détermine, après avoir écarté les cinq autres, la seule qui puisse convenir aux propos de Timée : i) l’intellection intelligible; ii) l’intellection qui lie l’intellect à l’intelligible; iii) l’intellection de l’intellect divin; iv) l’intellection des intellects particuliers; v) l’intellection de l’âme raisonnable; vi) l’intellection de l’imagination. Les trois premières acceptions sont d’emblée rejetées, car elles transcendent la connaissance humaine. L’intellection de l’âme raisonnable, liée au temps, est jugée inapte à saisir l’Être, par nature éternel, alors que l’intellection imaginative, dont le corrélat est une image particulière, ne saurait convenir à sa connaissance, l’Être étant universel et sans figure. Par conséquent, seule l’intellection d’un intellect dit particulier peut expliquer la connaissance que l’âme humaine peut avoir de l’Être, celle que définit l’expression noêsis meta logou. Par l’étude des principes de la philosophie de Proclus et des sources platoniciennes, aristotéliciennes et néoplatoniciennes de sa noétique, nous avons analysé chacune des acceptions de la noêsis mentionnées dans son Commentaire sur le Timée, dont l’intellection de cet intellect dit particulier, qui, en activant la puissance intellective de l’âme rationnelle, cause l’intellection humaine au sens propre. En annexes, nous avons joint deux études sur des thèmes déterminants pour l’élaboration de la doctrine proclienne : d’abord, une enquête sur les rapports entre discours épistémologique et discours théologique dans le Phèdre de Platon, qui s’intéresse à la notion d’inspiration divine en tant que fondement de la dialectique; ensuite, un exposé sur la critique de la théorie des Idées-Nombres dans la Métaphysique d’Aristote, une doctrine pythagorico-platonicienne que Proclus, à la suite de Syrianus, a voulu réhabiliter et intégrer à son système. / In his Commentary on the Timaeus, while analysing the passage containing the expression “intellection accompanied by reason (noêsis meta logou)”, Proclus launches into a discussion of the nature of the mode of knowledge by which, according to Timaeus, the human soul can reach real Being. According to the dialectical principles (division, definition, demonstration and analysis) that guide his work as a philosopher and commentator, the head of the School of Athens defines six meanings for the word noêsis, amongst which he determines, after having discarded the others, the only one that can be meant by Timaeus in his speech: i) the intelligible intellection, ii) the intellection linking the Intellect to the Intelligible, iii) the intellection of the divine Intellect, iv) the intellection of the particular intellects, v) the intellection of the rational soul, vi) the intellection of the imagination. The first three senses of ‘intellection’ are promptly set aside, as they imply an intellection that transcends human knowledge. The intellection of the rational soul, because of its temporal activity, is judged unable to grasp Being in its eternity, whereas imaginative intellection, whose object is a particular image, cannot adequately grasp the universality and shapelessness of Being. Only the intellection of a so-called particular intellect can therefore explain the human soul’s knowledge of Being, that knowledge which Proclus takes to be defined by the expression noêsis meta logou. Through a study of the relevant passages in the works of Proclus and the Platonic and Aristotelian sources of his noetics, we offer an analysis of each of the various senses of noêsis mentioned in the Commentary on the Timaeus, including that of the particular intellect, which, by activating the intellective potential of the rational soul, is the cause of human intellection. By way of annex, we have added a pair of studies addressing two key themes of the Procline doctrine of intellection. Firstly, we offer a study of the relation of epistemological and theological discourses in Plato’s Pheadrus, a dialogue which takes a particular interest in the notion of divine inspiration as the foundation of dialectic. Secondly, we offer a study of the critique of the theory of ideal numbers in Aristotle’s Metaphysics, a Pythagoro-platonic doctrine of which Proclus, following Syrianus, wished to rehabilitate and integrate into his own thought.
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L'interprétation de l'Atlantide de Platon par Proclus : commentaire sur le Timée, I. 75.27-190.30

Brillant, Céline 08 May 2021 (has links)
L'interprétation de l'Atlantide de Proclus constitue avec la récapitulation de la République un prologue-guide au Commentaire sur le Timée. Ce commentaire représente la première étude d'importance du néoplatonicien des œuvres de Platon réalisée aux alentours de 439 après J.-C., alors qu'il était âgé de 27 ans. L'introduction du commentaire tient compte de chacune des règles d'interprétation auxquelles se soumettaient les exégètes à la fin de l'Antiquité dans leurs études des travaux de Platon et d'Aristote. Proclus applique, une première fois, ces règles d'interprétation, de manière générale, dans son prologue scientifique au Commentaire sur le Timée, et une autre fois, de manière particulière, dans son introduction rhétorique au discours symbolique de l'Atlantide. Il interprète le mythe de l'Atlantide de Platon selon la méthode analogique qui consiste à rapporter les réalités d'en bas aux réalités d'en haut. Il s'agit de la méthode des images qui procède du rapport de l'effet à la cause. Cette méthode n'est pas sans rappeler la réminiscence platonicienne laquelle vise à approcher l'unité à partir de la multiplicité. L'application de l'analogie donne le ton à la lecture symbolique du récit de l'Atlantide en ce que les parties terrestres sont ramenées aux touts célestes, par opposition à une interprétation qui emprunte le mode d'exposition à partir des images et qui tend à remonter des copies aux modèles. En conservant le même but que le Commentaire sur le Timée , Proclus interprète l'Atlantide en regard de la science de la nature. Il réalise donc son interprétation selon les thèmes de la génération et de la destruction. Il aborde le terme de principe créatif par opposition à celui de la matière, et les termes de la mémoire et de l'oubli, ainsi que les séries parallèles pythagoriciennes en tant qu'elles sont responsables de la génération dans le Tout, de même que les causes et les types de la destruction dans la génésis. Puis, les meilleurs que représentent les Athéniens et les moins bons que personnifient les Atlantes. Alors que les Athéniens demeurent sous la protection de la déesse Athéna qui symbolise l'unité, les Atlantes sont identifiés à Poséidon qui est analogue à la multiplicité. Les premiers font état de ce qui est permanent dans la génésis et les seconds de ce qui est en perpétuel changement.

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