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La figure mythique de Prométhée dans la philosophie de Platon

Beaudin, Jean-Philippe A. 06 1900 (has links) (PDF)
Je m'intéresse au traitement fait de la mythologie traditionnelle chez Platon. Afin de comprendre le travail sur le mythe (selon l'expression de Hans Blumenberg) fait par Platon, je me penche particulièrement sur une figure mythique traditionnelle, celle de Prométhée. En un bref survol synthétique, j'étudie d'abord ce qu'on doit entendre par « figure mythique de Prométhée ». J'établis que cette figure est associée au don du feu aux hommes (don rendu possible par un vol du feu aux dieux), à un épisode de supplice résultant de ce vol, par son caractère de dieu à mētis et par un caractère philanthropique. J'étudie par la suite chacune des quatre occurrences du mythe dans le corpus platonicien. Dans le Protagoras, je remarque que le mythe sert plusieurs objectifs : divertissement des auditeurs, diversion afin d'exposer des idées pouvant choquer, procédé sophistique élaboré, etc. Prométhée joue alors un rôle curieux: non seulement il rend possible la civilisation, mais, dans le cadre du dialogue lui-même, il finit par être évoqué en une opposition entre philosophie et sophistique. C'est à une intention semblable que participe la figure prométhéenne dans le Gorgias, bien que de façon plus effacée, alors que Platon oppose la vie philosophique à celle des rhéteurs. Dans Le Politique, Prométhée joue le rôle semblable à celui du Protagoras, donateur du feu, don participant au règne de Zeus et de l'exercice de la raison par les hommes. Finalement, dans le Philèbe, Platon compare la dialectique au don du feu de Prométhée, en en faisant un don encore plus précieux. J'arrive à deux constats. D'une part, Platon reprend toujours la figure prométhéenne de façon relativement fidèle aux traditions mythiques déjà connues, non sans l'avoir épurée de ses certains traits pourtant constants dans la tradition mythique - son caractère de dieu à mētis, qui est significativement limité, et son supplice. D'autre part, je constate que la figure de Prométhée est employée à chaque fois que Platon traite d'epimeleia, du soin, et alors qu'il s'agit de faire la promotion de la philosophie, soit pour elle-même, soit encore en opposition avec la sophistique et la rhétorique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Platon, Prométhée, Mythologie, Mythe, Antiquité, Philosophie, Philosophie grecque
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Le mythe de Prométhée dans les littératures de l'Europe occidentale des origines à la fin du romantisme

Trousson, Raymond January 1962 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Figures du feu dans l'art contemporain et la guerre : sous le signe de Prométhée, du Phénix et d'Empédocle / Figures of fire in contemporary art and war : under the sign of Prometheus, the Phoenix and Empedocles

Raad, Fadi 13 December 2016 (has links)
La thèse traite de la problématique du feu comme instrument de la création plastique contemporaine. En effet, depuis les années 1960, on observe une utilisation accrue de l’élément feu dans de nouvelles formes d’expression artistique. L’accent est mis particulièrement sur le feu de la guerre qui, en transformant la vie des artistes, fait également évoluer leur création. Tout au long de la thèse, l’analyse des oeuvres personnelles vient appuyer ce constat et sont explorées sur la base de l’expérience de la guerre vécue par l’auteur. Les parties de la thèse font référence à des figures mythiques en relation avec l’image du feu. Ainsi, se classent-elles « Sous le signe de Prométhée », « Sous le signe du Phénix » et « Sous le signe d’Empédocle ». / This Ph.D. dissertation deals with the problem of fire used as a tool in the contemporary plastic art creations. In fact, since the 1960s, an increased use of fire is noted within new forms of artistic expression.The emphasis is put particularly on the “fire of war” which, by changing the lives ofthe artists, transforms their creations as well .Throughout the dissertation, the analysis of personal pieces of art, observed through the context of the war experienced by the artist, confirms the above finding. The sections of the dissertation refer to some mythical characters with close relationship with the image of fire. Hence, they are referenced “Under the sign of Prometheus”,“Under the sign of the Phoenix” and “Under the sign of Empedocles”.
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Les ombres du monde : Anders et le refus du nihilisme / The shadows of the world : Anders and the refusal of nihilism

Jolly, Édouard 10 December 2013 (has links)
Ancien élève de Husserl et Heidegger, Günther Anders (1902-1992) composa une oeuvre philosophique dont la particularité est d'interroger la situation de l'homme face aux événements les plus sombres du 20e siècle. Ce travail, élaboré à partir d'une lecture de l'oeuvre éditée à ce jour, complétée par celle du Nachlass, vise à ressaisir l'unité, la cohérence et la singularité de sa pensée autour d'une question majeure : comment un monde technicisé, un monde sans hommes, est-Il compatible avec une éthique pour des hommes sans monde ? Décrire les ombres du monde, celles d'abord laissées par un monde humain technicisé, c'est déceler les idéalités de la technique qui recouvrent chaque chose d'une évidence artificielle. Observer le monde fabriqué par des hommes devenus des ombres, c'est aussi percevoir qu'ils peuplent un environnement dont ils sont les produits. Ce monde artificiel, à défaut de ne faire que soulager l'hostilité naturelle, ajoute d'autres souffrances au poids de la nécessité, que les arts parviennent à peine à déjouer. Théoriser les ombres du monde, c'est relever la négativité d'un nihilisme réalisé par la technique, à refuser. L'hypothèse philosophique ici défendue est celle d'un nihilisme métaphysique conçu comme préalable nécessaire au refus de toute autre pratique nihiliste. A cet effet, à partir de l'oeuvre d'Anders se conçoit une philosophie occassionnelle comme pratique théorique d'une sobriété tragique. Si briser toute idée métaphysique aboutit à désenchanter les victimes de trop naïves généralités, cette théorie n'impose cependant en rien de s'interdire de faire de la métaphysique. / As a former student of Husserl and Heidegger, Günther Anders (1902-1992) wrote a philosophical work which characteristic is to examine the situation of man facing the darkest events of the 20th century. Our thesis developed with a reading of the edited work supplemented by the Nachlass, aims to synthesize the unity consistency and uniqueness of his thoughts by asking a specific question : how a technical world, a world without men, could be compatible with any ethic for men without world ? To describe the shadows of the world left by a technical one, is meant to identify idealities which cover everything with an artificial obviousness. To observe the world made by men, who themselves became shadows, is like to perceive thet they are living in a environment whose they are the products. This artificail world, instead of relieving man about the nature hostility, adds other difficulties, which the technology is only sometimes able to cope with. To theorize the shadows of the world is meant to seek the specific negativity of nihilism, which is produced by technology. Our task is to show that we can refuse the nihilism as an attitude. The philosophical hypothesis defended here is metaphysical nihilism designed as prerequisite for the refusal of any other nihilistic praxis. The philosophical work of Anders allows us to conceive an occasional philosophy as a theoretical practice, pointed out as a tragic sobriety. If to break any metaphysical idea leads to disenchant the naïve victims of generalities, this theory however does not refrain us from doing metaphysics.

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