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Désubjectivation, resubjectivation et résilience collective en situation de catastrophes : l'exil des européens d'Afrique du Nord / Desubjectivation, resubjectivation and collective resilience in disasters situation : the exile of European and Jewish populations of the Maghreb

Bornancin Tomasella, Saverio 02 December 2016 (has links)
L’actualité est occupée par la question des catastrophes. Qu’il s’agisse de cataclysmes naturels, de massacres humains ou d’attentats terroristes, ces désastres interrogent directement notre capacité à y faire face et à y répondre, aussi bien individuellement que collectivement. Dans ce contexte, la notion de trauma et plus encore l’idée de « résilience » demandent à être complétées et élargies, voire dépassées. La catastrophe correspond à une rupture de la continuité existentielle de personnes, de familles et de communautés. Plus qu’une somme de deuils et de traumatismes, elle engendre un véritable bouleversement entraînant la désubjectivation de celles et de ceux qui y sont confrontés ou qui en sont les témoins. A la suite d’une telle expérience du ravage et du chaos, quelles sont les possibilités de resubjectivation pour l’individu ? Quelles pourraient être les formes de « résilience collective », entendue comme un ensemble de processus à inventer ensemble, notamment grâce à la mémoire et à la solidarité ? / Our present time is engrossed with the question of disasters. Whether natural disasters, human slaughters or terrorist attacks, such disasters challenge our ability both to confront, and respond to, them, both individually and collectively. In this context, the notion of trauma and, still more, the idea of "resilience" need to be supplemented and expanded, or even superseded. The disaster corresponds to a rupture of existential continuity for individuals, families, and communities. More than an amount of grief and trauma, it brings about a real overthrow leading to the desubjectivation of those facing it or those who were witnesses. After such an experience of the chaos, what are the possibilities of resubjectivation for the individual? What could be the forms of "collective resilience", considered as a set of processes to invent together, particularly through memory and solidarity?
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Problèmes d'interaction de santé et sécurité au travail et de gestion des ressources humaines

Dubé, Jessica 12 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire s'inscrit dans un projet d'enseignement et d'intégration des apprentissages en gestion des situations de santé et de sécurité et au travail (SST) et de gestion des ressources humaines (GRH) (Gravel et coll., 2009). Le but du projet initial était d'élaborer une banque d'études de cas à partir de situations réelles d'entreprises documentées par des entretiens menés auprès des responsables de SST et des directeurs des RH. Ce projet pédagogique est né du constat qu'il existe une littérature importante portant sur les problématiques de SST et de GRH, mais peu d'études se sont intéressées à l'interaction entre ces deux dimensions. Ce mémoire fait une analyse secondaire des données issues de cette banque de onze études de cas centrées sur l'interaction entre les problématiques de SST et de GRH. Les questions de recherche qui ont orienté la réalisation de ce mémoire sont : quels sont les problèmes d'interaction de SST et de GRH dans les entreprises étudiées? Comment les entreprises les ont-elles résolus? En cours de réalisation, deux éléments ont émergé systématiquement des entretiens, les représentants de toutes les entreprises ont identifié un problème de société (vieillissement ou pénurie de la main-d’œuvre, intégration des immigrants, etc.) comme cause à l'interaction des problèmes de SST et de GRH. Au moment de la cueillette des données, les entreprises n'avaient pas résolu leur problème d'interaction SST et GRH. Néanmoins, certaines avaient fait preuve de résilience, elles avaient emprunté des voies inhabituelles d'analyse et de résolution de problèmes pour corriger les situations de façon novatrice. Ces deux éléments, les problèmes de sociétés et la résilience, nous ont incités à recentrer le projet, et à ajouter au mémoire, la question de recherche suivante : quelles sont les stratégies de résilience des entreprises face aux problèmes d'interaction de SST et de GRH? Les résultats indiquent que les problèmes d'interaction en matière de SST et de GRH se sont révélés à la suite d'évènements déclencheurs ou accélérateurs. Les entreprises dites résilientes sont celles qui ont eu l'initiative et les moyens de résoudre ces problèmes en reconnaissance la valeur de l'erreur des actions passées pour adopter des solutions inhabituelles. La cueillette des données s'est faite entre juin 2009 et août 2010. Notre échantillon est constitué de onze entreprises volontaires, œuvrant dans quelques secteurs d'activités privés et publics. Elles ont été recrutées via les réseaux professionnels de l'équipe de recherche, dix sont des grandes entreprises (>200 travailleurs), établies dans la région métropolitaine et périphérie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : santé et sécurité au travail, gestion des ressources humaines, problèmes sociétaux, résilience organisationnelle, processus de résolution de problème
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Résilience des quartiers précaires de Port-au-Prince : une étude comparative

Watters, Jérémie 06 1900 (has links) (PDF)
La vulnérabilité des quartiers précaires face aux catastrophes naturelles et anthropiques est en constante augmentation à travers le monde. Les énormes dégâts et les nombreux drames humains causés par le tremblement de terre du 12 janvier 2010 à Port-au-Prince sont en soi un exemple des impacts négatifs de cette vulnérabilité. Dans leur grande diversité, les différents quartiers précaires présentent aussi une vie sociale variant d'une communauté à l'autre. Souvent très intense, cette vie sociale permet en temps normal l'amélioration des conditions de vie dans ces quartiers souvent laissés à eux-mêmes. Mais qu'en est-il lors de situation post catastrophe? Cette recherche se propose de vérifier si l'intensité du capital social, qui englobe différents types de réseaux sociaux préalablement existants avant la catastrophe du 12 janvier 2010, explique la résilience ou non des quartiers précaires de l'agglomération urbaine de Port-au-Prince et si le capital social a également joué un rôle dans la rétention des habitants de ces quartiers à l'intérieur de ceux-ci après le séisme. Une comparaison de deux quartiers précaires (Baillergeau et Morne Lazarre), effectuée sur la base de l'intensité du capital social préexistant et de trois critères de résilience, permet effectivement d'atteindre l'objectif fixé. D'un côté, Baillergeau, avec un capital social fort, a réussi à trouver des aides de toutes sortes et à conserver sa population dans le quartier. Les solidarités locales s'expriment de différentes manières et les ONG y financent de nombreux projets auxquels participent les résidents de ce quartier. La communauté de Baillergeau se mobilise facilement grâce, entre autres, à des leaders locaux expérimentés et légitimes. De l'autre, Morne Lazarre avec un capital social faible, a été déserté par la majorité de sa population après le séisme. Les habitants y demeurant toujours n'arrivent pas à nouer des partenariats durables avec des ONG et mener des projets ayant pour but de réhabiliter le quartier. Bref, à destruction égale, le capital social est le facteur expliquant le mieux le pourquoi de la résilience ou non dans les quartiers précaires après une catastrophe. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : résilience urbaine, capital social, quartiers précaires, Port-au-Prince, catastrophes.

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