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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)

Guilbault, Marie-Hélène 29 August 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.
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L'Administration des Eaux et Forêts dans le Nord-Ouest du département des Ardennes sous la Révolution française : formation du département, droits d'usage et administration des bois / The Forestry Commission in North West of the Ardennes "departement" during the French Revolution : the establishment of the "departement" rights of usage andadministration of the woods

Dupré, Aline 05 December 2008 (has links)
Cette étude porte sur l’Administration des Eaux et Forêts dans le Nord-Ouest du département des Ardennes sous la Révolution française. En Ardenne septentrionale, la forêt est omniprésente, tant et si bien que ses habitants sont des hommes des bois jouissant et abusant des droits d’usage sylvestres. Octroyés par les seigneurs des lieux afin de sédentariser les populations sur leurs terres, les droits d’usage aux bois deviennent indispensables et constituent la principale source de subsistance des communautés d’habitants. Les Ardennais puisent donc dans leur forêt et le fruit de leur travail sylvestre est multiple. L’affouage, le charbonnage, l’écorçage, l’essartage, le pâturage et les droits de chasse et de pêche procurent aux habitants de l’Ardenne forestière le nécessaire à leur survie sur ces terres dépourvues de champs cultivables. L’encadrement de ces droits d’usage forestiers s’avère donc indispensable tant sous l’Ancien Régime que sous la période révolutionnaire. L’Ardennais n’est rien sans sa forêt : en Ardenne, l’usage forestier est sociologiquement incontournable. Pour autant, ce précieux patrimoine forestier doit être protégé. Un cadre législatif s’impose dès août 1669 et la période révolutionnaire assure la continuité de cette réglementation forestière. Les agents forestiers gèrent de façon rationnelle les forêts françaises - donc ardennaises - et s’assurent ainsi de la pérennité des ressources. Cependant, la Révolution introduit un nouvel acteur dans la gestion des bois et forêts : les corps administratifs tiennent le rôle principal tant pour les réquisitions de bois pour l’Armée, les forges et la construction navale - spécialement à compter d’avril 1792 - que pour la vente des bois devenus nationaux. En Ardenne, l’administration forestière et l’administration générale doivent s’unir pour la conservation et la gestion rationnelle des forêts de la République. Au préalable, une présentation du département des Ardennes s’avère indispensable tant les changements territoriaux, administratifs et forestiers sont nombreux et influent sur le quotidien des administrés donc des usagers des bois. / No summary in English
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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)

Guilbault, Marie-Hélène 29 August 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.
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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)

Guilbault, Marie-Hélène January 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.
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Le discours sur l'éducation des femmes pendant la Révolution française la représentation de la citoyenneté féminine entre 1789 et 1794

Laplanche, Laurie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le fonctionnement de la pornographie politique dans les pamphlets de la Révolution française (1789-1793)

Daigneault-Desrosiers, Laurence January 2008 (has links) (PDF)
Lors de la Révolution française, la production de pamphlets à caractère politique s'est multipliée, donnant naissance à un genre particulier de courts récits pornographiques dont les personnages sont les divers acteurs du monde politique de l'époque. Ce type de récit, la pornographie politique, a connu une large diffusion au début de la Révolution. Le statut de la monarchie étant plus que jamais remis en cause, cette propagande s'en prend au couple royal, faisant de la reine une figure de la débauche; du roi, un symbole de l'impuissance sexuelle. Étrange entreprise de subversion de l'ordre établi, ces pamphlets visent manifestement à détruire la légitimité politique des personnalités qu'ils mettent en scène. Or, si cet objectif des pamphlétaires semble évident, le moyen qu'ils utilisent l'est moins: comment un récit pornographique peut-il être le vecteur d'un message politique? Pour comprendre le fonctionnement de ce type de discours politique, sept pamphlets publiés entre 1789 et 1793 et prenant Louis XVI ou Marie-Antoinette pour cible ont été sélectionnés: Les amours de Charlot et Toinette, Le godemiché royal, L'Autrichienne en goguettes, Bordel national, Fureurs utérines, La journée amoureuse et Bordel royal. S'ils ne reposent pas sur une argumentation au sens strict, ces pamphlets contiennent néanmoins un discours politique clair, lisible dans les portraits des protagonistes et dans un récit construit de manière à exposer leurs torts. S'appuyant sur la complicité du lectorat, ils n'hésitent pas à calomnier ouvertement le couple royal, accordant une large part à l'imagination et à l'exagération. Par une représentation hautement transgressive de l'intimité -tantôt grivoise, tantôt pornographique -ils désacralisent et souillent leurs adversaires. Grâce à une utilisation judicieuse de la métaphore sexuelle, ils maintiennent aussi une critique implicite de la politique, montrant un roi impuissant et un pouvoir laissé vacant. Le corps de la reine, par le biais de la représentation pornographique, est offert au lecteur en équivalent du pouvoir à saisir dans la démocratisation qui est en cours. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pornographie, Révolution française, Monarchie, Propagande, Louis XVI, Marie-Antoinette.
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Le discours sur l'éducation des femmes pendant la Révolution française la représentation de la citoyenneté féminine entre 1789 et 1794

Laplanche, Laurie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Fraternité et métaphore familiale : la Révolution française et la Grande-Colombie

Van Hooren, Justin January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Fraternité et métaphore familiale : la Révolution française et la Grande-Colombie

Van Hooren, Justin January 2007 (has links)
No description available.
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Généalogie du spirituel républicain français dans la philosophie sociale, morale et politique du XIXème siècle. / Genealogy of the republican spiritual in social, moral and political philosophy of nineteenth-century France

Pasteur, Julien 05 October 2015 (has links)
L’idée d’un « spirituel républicain » est, en France, plus intuitivement sentie que rationnellement conçue. Si le syntagme dénote quelque densité conceptuelle, historiens et philosophes s’accordent d’ordinaire à la chercher dans les doctrines politiques et sociales de la IIIème République – celles du solidarisme, de la laïcité ou des lois sur l’éducation. Ce travail voudrait montrer que le spirituel républicain est irréductible à un supplément d’âme, comme à toute forme de caution morale destinée à pallier les derniers scrupules d’une politique désenchantée. En ce sens, sa généalogie demande à être singulièrement élargie à l’aval. Elle trouve son origine dans le sillage de la Révolution Française, où 1789 commande tout autant une interprétation politique qu’une reconfiguration anthropologique de la croyance. Le point commun des auteurs mobilisés ici (Joseph de Maistre, Auguste Comte, Jules Michelet, Alexis de Tocqueville, Émile Durkheim) est en effet d’assumer une position symétriquement opposée à la nôtre. Partant du principe que la question spirituelle est la seule qui n’ait pas été réglée, ils s’efforcent d’interroger le statut, problématique dans les démocraties modernes, d’un gouvernement des esprits. C’est donc en partant de ce qui, au sein de ce corpus, est réputé le plus anachronique – soit la rémanence du religieux au cœur d’un siècle censément scientifique – que la notion de spirituel républicain trouve à se constituer. Guettée par le risque d’un syncrétisme philanthropique inchoatif, comme par la confrontation à trois des idéologies majeures du XIXème siècle (traditionalisme, libéralisme, socialisme), cette tradition intellectuelle ne conserve son identité qu’en justifiant son qualificatif de républicain. / The idea of the spiritual as it relates to republicanism – the “republican spiritual” – is, in France, more intuitively felt than it is rationally conceived. While the phrase carries a certain conceptual density, historians and philosophers normally agree that this idea is to be sought in the political and social doctrines of the Third Republic – for example, in the doctrines of solidarity and secularism and in the laws on education. This work shows that the “republican spiritual” cannot be reduced to a touch of soul, or to any form of moral guarantee intended to overcome the last scrupules of a disenchanted politics. In this way, its genealogy needs to be particularly enlarged. It has its origin in the wake of the French Revolution, as the events of 1789 required both a political interpretation of belief as well as its anthropological reconfiguration. The common point among the authors studied here (Joseph de Maistre, Auguste Comte, Jules Michelet, Alexis de Tocqueville, Émile Durkheim) is that the position they took on this issue is diametrically opposed to ours today. These authors, starting from the standpoint that the spiritual question is the only one that has not been resolved, struggle to understand the status – problematic in modern democracy – of a spiritual regime. It is thus within the most anachronistic elements of the body of work studied here – that is, the endurance of the religious in a supposedly scientific century – that the notion of the “republican spiritual” finds its origin. At risk of a formless philanthropic syncretism, menaced by its confrontation with three of the main ideologies of the 19th century (traditionalism, liberalism, and socialism), this intellectual tradition only preserves its identity by justifying its qualification as republican.

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