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La fraternité : la fraternité, un pont à construire pour relier les fragilités humaines

Rymarczyk, Clotilde January 2017 (has links)
En procédant à une introspection de sa propre histoire, Jorge Semprun annonce : « seule la fraternité peut être un remède pour contrer le mal absolu » . Partant de cette déclaration, nous nous sommes interrogés, voulant comprendre la nature de cette fraternité dont on parle, au point qu’elle soit identifiée comme un traitement passablement efficace pour combattre le mal absolu. Au fur et à mesure de nos recherches pour saisir le sens de cette formulation, nous nous sommes aperçu d’un véritablement engouement pour l’idée, principalement au cours des vingt dernières années. Pourtant, le terme est souvent resté en retrait du vocabulaire politique et social, contrairement à d’autres tel que l’égalité, pour ne citer qu’un de ses termes parents. Dans la littérature actuelle retraçant certaines idéologies, nous constatons également que le vocable se voit la plupart du temps assimilé à des fondements utopiques lorsqu’il est envisagé la construction de la vie en commun. Si la fraternité est devenue notre préoccupation centrale, les contours de son concept, en se définissants, devenaient de plus en plus complexes à déterminer, nous forçant à revenir à l’origine de l’idée, à nous tourner vers son sens primitif décrit par les mythes, en mettant en relief le paradoxe originel auquel elle répond. Puis notre réflexion nous a conduites à étudier le terme à travers l’histoire, mais aussi dans un contexte religieux, politique et social, pour nous apercevoir que la fraternité revêtait dans l’esprit populaire une charge émotive, idéologique la détournant de son sens véritable. Chargée de sentiments et traduit par l’action, nous sommes parvenus à nous faire à l’idée que la fraternité, tel que nous la comprenions alors, pourrait avoir une dimension morale laïque, l’érigeant au rang de vertu, allant jusqu’à lui attribuer même une dimension universelle, spirituelle , par l’idéalisation de la nature humaine. Nous comprenions également, au fil de nos lectures, qu’elle était vue comme un lien unissant la justice et l’égalité dans la constitution du triptyque de la devise française, nous en avons donc déduit, pour construire la vie en commun, il devenait nécessaire d’étendre ce sentiment, de bannir les différences et d’envisager une certaine unification du monde. Cette position nous a rapidement rendus inconfortable. Si le principe de fraternité repose sur le paradoxe originel qui nous incite naturellement à haïr notre propre frère parce que nous mesurons la distance entre les différences, il serait impérieux de penser annexer cet individu pour annihiler ces mêmes différences et le rendre identique à nous même. Pensant de façon similaire, l’autre campera sur ses positions et la fraternité sera effectivement reléguée, une fois de plus, au rang d’utopie. Il nous semble donc urgent d’abandonner le principe d’expansion des sentiments éprouvés de l’un pour l’autre. Après analyse, il nous semble plus raisonnable de diriger notre pensée vers un inventaire et une reconnaissance des différences, pour envisager la construction d’un pont qui permettrait de bâtir des relations allant de l’un vers l’autre sans volonté d’annexion.
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Hiérarchie et égalité : coopération et compétition dans un carnaval mexicain (Cholula, Puebla)

Courcy, Philippe January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La réception de la négritude en Afrique lusophone / The reception of blackness in Portuguese-speaking Africa

Coly, Alexandre 04 May 2015 (has links)
Notre thèse consiste à étudier la réception de la Négritude en Afrique lusophone. Pour y arriver, nous aborderons la genèse de la Négritude à travers les poètes et écrivains de la Négro renaissance américaine ainsi que Batouala de René Maran. Cela permettra de mieux discuter l’éclosion du concept de Négritude chez Aimé Césaire, Léon Gontran Damas et Léopold Sedar Senghor. Nous analyserons l’idéologie de la Négritude et le combat de ces poètes pour l’émancipation des peuples noirs et des opprimés du colonialisme. Enfin, voir l’impact de cette réception de la Négritude sur les littératures luso-africaines, avec Agostinho Neto, José Craveirinha et Noémia de Sousa. A-t-elle contribué à libérer les colonies d’Afrique lusophone du joug colonial et à renforcer la quête de soi. Nous chercherons à montrer que l’humanisme de la Négritude renvoie à l’éloge de la condition humaine et à la promesse du possible. / This thesis studies how Négritude was received in Portuguese-speaking Africa. In order to achieve this, the study addresses the origins of Négritude through the poets and writers of the Harlem Renaissance as well as René Maran’s Batouala. This permits a better discussion of the emergence of the concept of Négritude through Aimé Césaire, Léon Gontran Damas and Léopold Sedar Senghor. The study analyses the ideology of Négritude and the poets’ struggle for the freedom of black peoples and those oppressed by colonialism. Finally, this research examines the impact of the reception of Négritude on the African Lusophone literature of Agostinho Neto, José Craveirinha and Noémia de Sousa. Did it contribute to freeing the colonies of Portuguese-speaking Africa from colonial oppression and to strengthening the quest for identity? This study seeks to show that the humanism of Négritude returns us to a tribute to the human condition and the promise of possibility.
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Fraternité et métaphore familiale : la Révolution française et la Grande-Colombie

Van Hooren, Justin January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Fraternité et métaphore familiale : la Révolution française et la Grande-Colombie

Van Hooren, Justin January 2007 (has links)
No description available.
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Les aidants familiaux : de leur reconnaissance à la fraternité / Caregivers : from recognition to fraternity

Robineau, Isabelle 09 January 2018 (has links)
Plus de quatre millions de personnes en France accompagnent un proche âgé dans la vie quotidienne. La moitié d’entre elles sont les enfants qui aident leur parent dit « dépendant » en raison d’un problème de santé. Longtemps confinés dans l’enceinte domestique, les aidants familiaux font l’objet depuis une vingtaine d’années d’une prise de conscience par notre société. En effet, leur investissement quotidien, s’il permet de maintenir à domicile leur aîné, peut toutefois porter atteinte à leur propre vie sociale et à leur propre santé. Les aidants familiaux ont besoin d’être soutenus eux-mêmes et ne se sentent pas suffisamment reconnus.Cette thèse a pour objet d’appréhender le monde des aidants familiaux et de la personne âgée dite dépendante à partir de la dimension morale des normes sociales de reconnaissance mises en évidence par Axel Honneth. Les problématiques des aidants ont été identifiées à partir de trois sphères de reconnaissance que sont l’amour, le droit et la solidarité. Celles-ci ont été considérées comme autant de sources d’injustices.Toutefois, « Aider autrui » peut apporter un lot de gratifications morales, en dépit d’une relation asymétrique engageant celui qui aide. L’implication des aidants familiaux auprès de leurs aînés donne corps à la solidarité de proximité basée sur le don.  Bien qu’ils n’en soient pas toujours conscients, les aidants participent au bien commun, en dépit d’une doxa familialiste injonctive présente dans les politiques de la vieillesse de notre pays.La thèse se centre sur l’engagement des aidants pour contredire la vision individualiste et marchande sur laquelle repose la société libérale. L’exemple des aidants permet de penser le lien social sur d’autres critères que la compétitivité et la performance. Ainsi la solidarité de proximité qu’ils incarnent auprès de leurs parents vulnérables s’inscrit dans les valeurs véhiculées par le mouvement du care.  Elle permet de réinvestir notre devise républicaine à travers la fraternité et de placer au cœur du débat politique un nouvel esprit du soin de l’autre et du soin de la collectivité dans notre démocratie. / More than four million people in France care for a close family member in their daily life. Half of them are children helping their “dependent” relatives due to health problems.Confined to the home for long periods, caregivers have been taken into account by societal choices for the last twenty years. Indeed, their daily investment provides invaluable home-based care, but it can sometimes takes its toll on the caregiver as the family investment can affect their own state of health and social life. Caregivers themselves need support and often feel insufficiently recognized.This thesis focuses on discovering the world of carers for family members and for the elderly known as dependents, starting from the moral aspect of social standards of recognition highlighted by Axel Honneth.Caregivers’ issues have been identified on the basis of the three spheres of recognition that are love, legal relationships and social relationships. They have been considered as many sources of injustice.However, “helping others” can bring its share of moral rewards, despite the unbalanced relationship imposed on the helper. Caregivers’ involvement with their elders are often a source family solidarity based on giving. Not always consciously, caregivers can contribute to a common good, despite an injunctive “familialistic doxa” of the current old-age policies in our country.  The thesis emphasizes the helpers’ commitment with the aim of refuting the individualistic and mercantile vision of the free market society. The example of helpers allows us to consider the social bond by other criteria than competitiveness and performance. The local solidarity that the givers embody next to their vulnerable parents are in line with values conveyed by the care movement.It enables us to reinvest in the motto of fraternity, a foundation of the French Republic, and examines a new spirit of caregiving to others and to community, one that is at the heart of our Democracy’s political questions.
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La fraternité en Christ : fondements de l'être ecclésial et son incidence africaine

Nongo Aziagbia, Nestor Désiré 02 July 2012 (has links) (PDF)
Tout le discours sur le relativisme situe les difficultés de l'Église dans un monde de plus en plus globalisé. L'institution ecclésiale n'est plus au cœur de l'organisation sociale. Elle doit se frayer une place dans une constellation de systèmes qui sont parfois mis en concurrence les uns avec les autres. Il se pose inéluctablement la question de l'Église. Que peut-on en dire ? La Bible ne répond pas directement à la question, sauf qu'elle propose une multitude de métaphores qui ont été reprises avec plus ou moins de succès par des théologiens. Elles constituent autant de modèles ecclésiaux. Ces différentes représentations donnent une certaine image de l'Église et de ce qu'elle est. Aucun paradigme ne semble faire l'unanimité. Toutefois la fraternité présente plus d'avantages que les autres. Aussi la considérons-nous comme la meilleure expression ecclésiale. C'est dans cette perspective que nous avons formulé la problématique de notre recherche qui porte sur "La fraternité en Christ : les fondements théologiques de l'être ecclésial et son incidence africaine". En conjuguant aussi bien la dimension structurelle et les sentiments fraternels, la théologie de la fraternité dépasse les impasses liées uniquement à l'institution d'une part et aux vertus de l'autre. Elle transcende les limites imposées par les traditions. En effet l'Église-Fraternité est essentiellement facteur de relations. Elle relie l'homme à Dieu et rapproche les hommes les uns des autres. Ces travaux de thèse s'inscrivent dans la perspective de recherches que j'ai entreprises en Maîtrise et en Master sur les critères de reconnaissance d'une véritable ecclésialité. Pour les uns, l'Eglise est une grosse machine juridique sans cœur et sans âme qui écrase tout sur son passage. Elle pèse par son poids et sa lourdeur. Par ailleurs elle n'a aucune compassion pour ceux et celles qui ne se conforment pas à ses principes directeurs. Cette Eglise semble lointaine et indifférente aux personnes et de leurs préoccupations. Pour d'autres, l'Eglise manifeste l'idéal d'une vie communautaire entre des hommes et des femmes qui ont répondu à l'appel de Jésus, lui ont soumis leur volonté et se sont fait ses disciples. C'est l'image qui se dégage du récit des Actes des Apôtres. Ce communisme primitif constituait la spécificité de la communauté naissante de Jérusalem. Jésus mène par contre l'homme à la connaissance d'un père et l'introduit dans une relation filiale. Il apparaît alors de toute évidence que l'homme est porté dans une relation transcendée. C'est la dimension de la filiation adoptive par laquelle il se reconnaît enfant de Dieu, frère et sœur en Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, et frère et sœur vis-à-vis des autres. Cette fraternité embrasse tous les hommes. En effet la filiation établit une relation nouvelle en Jésus Christ. Cette communauté des frères et des sœurs ne se réalise que dans l'Esprit-Saint. L'Eglise en tant que Fraternité se distingue de toute autre société car sa cohésion sociale est fondée sur l'Evangile.
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De la fusion à la tradition : les deux pensées micheletiennes de l'histoire de l' "Introduction à l'histoire universelle" à la "Bible de l'humanité" / From fusion to tradition

Aramini, Aurélien 05 December 2011 (has links)
Dans l'Introduction à l'histoire universelle (1831) et dans la Bible de l'humanité (1864), Michelet a l'ambition de comprendre la dynamique de l'histoire humaine dans sa totalité. Ces deux oeuvres constituent-elles les expressions diverses d'une seule et même pensée, auquel cas il serait légitime de parler d'une philosophie micheletienne de l'histoire ? Élaborée dans le contexte de la Restauration où écriture de l'histoire, philosophie et politique se mêlent intimement, l'histoire universelle de 1831 est une mise en série chronologique et téléologique de peuples types qui inventent les institutions réalisant progressivement une fusion des idées et des races afin de libérer l'humanité de la fatalité. Cette philosophie de l'histoire au sens strict va être progressivement infléchie puis reniée pour céder la place à une autre pensée de l'histoire. Inscrivant la Révolution française dans la tradition des peuples issus des Aryâs opposée à celle des Sémites, la Bible de l'humanité résulte, d'une part, de la faillite des concepts de 1831 mis à l'épreuve de l'histoire politique et de l'écriture de l'histoire et, d'autre part, de l'attraction exercée par le modèle migratoire des peuples élaboré par les linguistes aryanistes. Dans une triple perspective philosophique, historique et politique, s'opèrent progressivement une dichotomie de l'histoire, sa renaturalisation et une héroïsation de l'historien. Ainsi le spectateur serein du parcours de l'humanité vers la liberté dans l'égalité des droits à l'aube de la monarchie de Juillet cherche-t-il, en 1864, à inscrire activement dans l'histoire un nouveau credo – puisé dans la tradition indo-française – pour une fraternité à venir. / In the Introduction to Universal History (1831) and in the Bible of Humanity (1864), Michelet's aim is to understand the dynamic of human history in its totality. Do these two works constitute the various aspects of a unified philosophy, in which case it would be legitimate to speak of a Micheletian philosophy of history? Developed in the context of the Restoration in which historical, philosophical and political texts are very closely related, the Universal History of 1831 is a chronological and teleological order of national types which gives rise to institutions that increasingly fuse concepts and races in order to free humanity from its fate. This philosophy of history in its strictest sense is progressively revised and negated to give way to new historical thought. Locating the French Revolution in the tradition of people of Aryan descent as opposed to that of the Semites, the Bible of Humanity results on the one hand from the weakness of the 1831 concepts when tested against political history and historical writing and, on the other hand, from the attraction exerted by the migratory model of tribes as set out by linguists. In a threefold philosophical, historical and political perspective, a progressive dichotomy develops between the ‘‘renaturalization'' of history and the ‘‘heroization” of the historian. Thus did the serene witness of humanity's progress towards liberty in the equality of rights at the dawn of the July monarchy in 1864 seek to inscribe in history a new credo – drawn from the Indo-French tradition – for a future brotherhood of man.
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La confrérie de Notre-Dame du Rosaire des Hommes Noirs de Quixeramobim (Ceará-Brésil) : identités et sociabilités / The brotherhoods of Nossa Senhora do Rosário dos Homens Pretos of Quixeramobim (Ceará, Brazil) : identity and sociability

Sulina Bezerra, Analucia 15 October 2009 (has links)
Les fraternités ou les confréries de Notre Dame du Rosaire des Hommes Noirs sont apparues au Brésil au cours de la période de l'esclavage, en manifestant un grand intérêt pour les Africains, libres et captifs, et leurs descendants. Malgré l'imposition du culte catholique qui les caractérisait, ces associations laïques n'ont pas cessé d'être un vecteur de création de sociabilités et de construction d'identités. Il serait ainsi possible de prétendre que les noirs ont élaboré, à partir des confréries les accueillant dans le Nouveau Monde, des modes alternatifs d'existence en acceptant la religion du maître et en incorporant simultanément les rituels et les symboles culturels mémorisant leur appartenance aux sociétés de provenance. Cette ambiguïté marque probablement ce qui les singularisait en particulier, d'autant plus que pour exister ces associations dépendaient nécessairement de la bénédiction du pouvoir séculier et religieux par la reconnaissance de leurs statuts et de leurs règles. Selon différentes approches, ces aspects sont présentés dans l'étude qui suit sur la fraternité de Notre Dame du Rosaire des Hommes Noirs, située dans la ville de Quixeramobim, dans l'intérieur du Ceará au Brésil, aux alentours de l'année 1755, et accueillant les esclaves issus de la région africaine de l'Angola. L'objet de la recherche, qui ne constitue nullement une revendication, une création ou une assimilation par les membres de cette fraternité au long de son existence presque bicentenaire, problématise la notion de groupe de provenance. C'est à partir de cette problématique que le concept d'identité est ici interrogé. De même, une description ethnographique du processus de constitution et d'organisation de la confrérie est présentée, attentive à ses dimensions diachroniques et synchroniques. Pour cette dernière, le dialogue avec des descendants d'anciens membres de l'organisation de la confrérie a été indispensable, surtout pour recueillir la mémoire du plus important rite de sociabilité de la fraternité : la fête de commémoration de sa patronne Notre Dame du Rosaire. / The brotherhoods of Nossa Senhora do Rosário dos Homens Pretos flourished in Brazil during the slavery period. They were of great interest for African people and their descendants. In spite of being characterized by the imposition of Catholic cults, these lay-led associations revealed as a means for group socialization and identity construction. In this way, such brotherhoods became a space through which black people could produce an alternative form of existence in the world. While at times they were led to accept the religion of their slavery masters, at times they embodied cultural symbols which connected them to the societies from which they had been removed. This ambiguity is perhaps one of the most visible features of this type of brotherhoods. I explore these issues in my study about the brotherhood of Nossa Senhora do Rosário dos Homens Pretos, which was established by slaves of Angolan origin in Quixeramobim, in the back-lands of Ceará, Brazil, around the year of 1755. Throughout the period of two centuries, the idea of Angolan origin has not been claimed as a central idea in the foundation and continuity of this brotherhood. Yet, it emerges in the notion of group of origin. While doing an ethnographic description of the processes involved in the making of this brotherhood, here I also introduce the concept of identity. Through my dialog with the descendants of the old members of this association I attempt to recuperate the memory of its main form of sociability: the feast of Nossa Senhora do Rosário.
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La fraternité en Christ : fondements de l’être ecclésial et son incidence africaine / Brotherhood in Christ : theological bases of ecclesial being and its african incidence

Nongo Aziagbia, Nestor Désiré 02 July 2012 (has links)
Tout le discours sur le relativisme situe les difficultés de l'Église dans un monde de plus en plus globalisé. L'institution ecclésiale n'est plus au cœur de l'organisation sociale. Elle doit se frayer une place dans une constellation de systèmes qui sont parfois mis en concurrence les uns avec les autres. Il se pose inéluctablement la question de l'Église. Que peut-on en dire ? La Bible ne répond pas directement à la question, sauf qu'elle propose une multitude de métaphores qui ont été reprises avec plus ou moins de succès par des théologiens. Elles constituent autant de modèles ecclésiaux. Ces différentes représentations donnent une certaine image de l'Église et de ce qu'elle est. Aucun paradigme ne semble faire l'unanimité. Toutefois la fraternité présente plus d'avantages que les autres. Aussi la considérons-nous comme la meilleure expression ecclésiale. C'est dans cette perspective que nous avons formulé la problématique de notre recherche qui porte sur "La fraternité en Christ : les fondements théologiques de l'être ecclésial et son incidence africaine". En conjuguant aussi bien la dimension structurelle et les sentiments fraternels, la théologie de la fraternité dépasse les impasses liées uniquement à l'institution d'une part et aux vertus de l'autre. Elle transcende les limites imposées par les traditions. En effet l'Église-Fraternité est essentiellement facteur de relations. Elle relie l'homme à Dieu et rapproche les hommes les uns des autres. Ces travaux de thèse s'inscrivent dans la perspective de recherches que j'ai entreprises en Maîtrise et en Master sur les critères de reconnaissance d'une véritable ecclésialité. Pour les uns, l'Eglise est une grosse machine juridique sans cœur et sans âme qui écrase tout sur son passage. Elle pèse par son poids et sa lourdeur. Par ailleurs elle n'a aucune compassion pour ceux et celles qui ne se conforment pas à ses principes directeurs. Cette Eglise semble lointaine et indifférente aux personnes et de leurs préoccupations. Pour d'autres, l'Eglise manifeste l'idéal d'une vie communautaire entre des hommes et des femmes qui ont répondu à l'appel de Jésus, lui ont soumis leur volonté et se sont fait ses disciples. C'est l'image qui se dégage du récit des Actes des Apôtres. Ce communisme primitif constituait la spécificité de la communauté naissante de Jérusalem. Jésus mène par contre l'homme à la connaissance d'un père et l'introduit dans une relation filiale. Il apparaît alors de toute évidence que l'homme est porté dans une relation transcendée. C'est la dimension de la filiation adoptive par laquelle il se reconnaît enfant de Dieu, frère et sœur en Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, et frère et sœur vis-à-vis des autres. Cette fraternité embrasse tous les hommes. En effet la filiation établit une relation nouvelle en Jésus Christ. Cette communauté des frères et des sœurs ne se réalise que dans l'Esprit-Saint. L'Eglise en tant que Fraternité se distingue de toute autre société car sa cohésion sociale est fondée sur l'Evangile. / All the talk about relativism points out the difficulties related to the Church in a more globalised world. The ecclesial institution is no longer in the heart of the social organization. The Church has to make a way for herself in the midst of a constellation of systems which are, at times, put in competition one with the other. That raises ineluctably a question about the Church. What can one say about Her ? The Bible does not frankly answer the question, except that it offers several metaphors that have been more or less successfully taken by theologians. They constitute as many ecclesial models. These various representations convey a certain image of the Church and what she stands for. No paradigm seems to carry a unanimous vote. However the brotherhood presents more advantages than the others. That is why we consider it to be the best expression of the Church. lt is from this point of view that we have formulated the problematic of our essay on "Brotherhood in Christ: theological bases of ecclesial being and its African incidence". While combining the structural dimension with the brotherly feelings, the theology of the brotherhood surpasses the dead ends linked only with the institution on one hand and the virtues of the other. It goes beyond the limits set by human traditions. Indeed Church-Fraternity is primarily factor of relations. It connects man to God and draws closer people one to another. This doctorate thesis is the deepening of the research I started while I registered for the Master programme. It deals with the criteria for recognition of true ecclesial characters, which is ecclesiality. For some, the Church is a heavy legal machine, without heart and soul that crushes everything in its path. She makes her weight felt. Otherwise she does not manifest any compassion to those who do not comply with her guidelines. This Church seems distant and indifferent to people and their concerns. For others, the Church manifests the ideal of community life between women and men who answered the call of Jesus, have submitted their will to Him and made themselves his disciples. This is the picture one can get from the narrative of the Acts of the Apostles. This primitive communism was the specificity of the nascent community of Jerusalem. Instead Jesus directs people to the knowledge of the Father and leads them into a filial relationship. It then clearly appears that people are brought into a changed relationship. This is the dimension of the adoptive filiation by which they are recognized God's children, sisters and brothers in Jesus Christ, the only Son of God, and brother and sister vis­ à-vis others. This fraternity embraces everyone. Indeed filiation or being a direct descendant of someone establishes henceforth a new relationship in Jesus Christ. This community of sisters and brothers is realized only in the Holy Spirit. The Church, as a Fellowship, differs from any other company, for its social cohesion is based on the Gospel.

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