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Relation entre la phobie sociale et la victimisation par les pairs à l'adolescence /

Grimard, François. January 2003 (has links)
Thèse (M. Ps.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 30-34. Publié aussi en version électronique.
2

Les jeunes adolescents présentant des troubles des conduites: contribution des variables sociales et familiales et, différences liées au genre

Arsalane-Leroy, Genevieve. January 1998 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1998. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
3

Perception des liens d'amitié chez des adolescents et des adolescentes qui manifestent des problèmes de comportement extériorisés et intériorisés au secondaire

Lemoine, Pierre. January 2000 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2000. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Contribution de l'intégration sociale auprès des pairs et des relations d'amitié sur l'adaptation socio-scolaire au début du secondaire /

Caron, Doris. January 1997 (has links)
Thèse (de maîtrise)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. 67-73. Publié aussi en version électronique.
5

Relation entre la phobie sociale et la victimisation par les pairs à l'adolescence

Grimard, François 23 April 2021 (has links)
Sur le plan empirique, la phobie sociale et la victimisation affectent l'estime de soi et provoquent du retrait social et de la solitude chez certains adolescents qui en souffrent. De plus, les modèles étiologiques associent l'émergence de ces problématiques à un déficit d'habiletés sociales, à de l'inhibition sociale ainsi qu'aux relations inadéquates avec les pairs. Toutefois, aucune donnée ne permet de lier ces phénomènes empiriquement. Cette recherche vise à vérifier l'existence d'une relation entre la phobie sociale et la victimisation par les pairs à l'adolescence. Dix-neuf adolescents âgés de 14 à 19 ans et qui sont atteints d'une phobie sociale composent le groupe cible. Le groupe de comparaison comprend 19 pairs sociables tirés d'un échantillon plus vaste et jumelés selon le sexe et l'âge avec les participants anxieux. Une ANOVA effectuée sur les scores de victimisation révèle que les adolescents atteints d'une phobie sociale sont davantage victimisés que leurs pairs non anxieux (p≤0001). L'absence d'amis significatifs pourrait expliquer qu'un fort pourcentage des adolescents atteints d'une phobie sociale soient victimisés.
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Évaluation d'un programme de formation de bénévoles traitant de la violence dans les relations amoureuses des jeunes

Roy, Marjolaine 03 December 2021 (has links)
La démarche vise à évaluer le processus d'implantation et l'impact d'un programme de formation de bénévoles traitant de la violence dans les relations amoureuses des jeunes. Un protocole pré-test et post-test avec groupe de comparaison est utilisé avec un nombre limité de bénévoles d'un organisme d'entraide s'adressant aux jeunes. Un questionnaire mesurant quantitativement et qualitativement les attitudes, les connaissances, la reconnaissance des manifestations et les intentions d'agir face à la violence est élaboré. La validité et la fidélité de l'instrument sont évalués. Les résultats indiquent une différence significative à l'échelle de reconnaissance des manifestations de la violence chez le groupe expérimental (t=6.93; p<.02). L'analyse des résultats qualitatifs ne permet pas de conclure à un effet de la formation. La contribution majeure de cette recherche est l'élaboration d'un outil de mesure utile aux organismes intéressés par une formation dans le domaine de la violence dans les relations amoureuses des jeunes.
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La cognition sociale à l'adolescenceh[ressource électronique] : aspects comportementaux, cliniques et cérébraux

Tousignant, Béatrice 24 April 2018 (has links)
La cognition sociale comprend un ensemble de processus cognitifs spécialisés dans le traitement des stimuli sociaux, nous permettant d’interagir adéquatement avec autrui. L’adolescence est un stade développemental où ces fonctions cognitives sont particulièrement sollicitées, alors que les relations sociales augmentent en importance et en complexité. Il s’agit par ailleurs d’une période où les changements hormonaux et cérébraux sont fort susceptibles de moduler le fonctionnement cognitif. Pourtant, on n’en sait que très peu sur la capacité à décoder et interpréter les informations sociales à cet âge, et encore moins sur la façon dont une atteinte cérébrale peut altérer ces fonctions. Ainsi, la présente thèse avait pour principal objectif de mieux comprendre le fonctionnement de la cognition sociale à l’adolescence en l’examinant sous plusieurs angles. D’abord, en utilisant des mesures neuropsychologiques, la première étude a pu démontrer une plus faible capacité à reconnaître des expressions faciales émotionnelles chez les adolescents par rapport aux adultes, mais une habileté similaire à se mettre dans la perspective d’un personnage pour lui inférer divers états mentaux. Paradoxalement, un questionnaire d’empathie a révélé une tendance moindre à prendre la perspective des autres chez les adolescents, le tout suggérant une possible distinction entre l’habileté à se mettre à la place de l’autre lorsque mesurée directement et la propension à le faire dans un contexte réel. La seconde étude a ensuite démontré qu’un traumatisme craniocérébral modéré ou sévère subi à l’adolescence altère encore davantage cette tendance à prendre la perspective des autres dans la vie de tous les jours, tel que rapporté dans le questionnaire d’empathie. La dernière étude a donc utilisé un paradigme s’approchant davantage d’une interaction sociale réelle et a examiné, via la neuroimagerie fonctionnelle, la réaction empathique d’adolescents et d’adultes face à une exclusion sociale. Les résultats ont montré que dans un tel contexte, les adolescents ont effectivement moins tendance à prendre la perspective de l’autre, à ressentir sa détresse et agir de façon prosociale. Les données de cette thèse ont donc permis de dresser un portrait détaillé de la cognition sociale à l’adolescence en précisant les fonctions qui apparaissent développées, celles qui ne le sont pas complètement, et celles qui sont le plus susceptibles d’être compromises par une atteinte cérébrale. Au-delà de ces constatations, la thèse a surtout mis en lumière une plus faible tendance à utiliser ces ressources cognitives dans un contexte où d’autres pairs sont présents. En définitive, les résultats soulignent l’importance d’intervenir de façon préventive sur la cognition sociale à cet âge, tant chez les adolescents ayant un développement normal que ceux dont le développement est menacé par une atteinte cérébrale. / Social cognition refers to a set of cognitive functions specialized in the processing of social stimuli, allowing us to interact adequately with others. Adolescence is a developmental stage in which these cognitive functions are particularly solicited, as social relationships increase in importance and complexity. It is also a time when hormonal and brain changes are very likely to modulate cognitive functioning. However, very little is known about the ability to decode and interpret social information at this age, and even less about how brain damage can alter these functions. Thus, the main objective of this thesis was to better understand the functioning of social cognition in adolescence by examining it from various angles. Using neuropsychological measures, the first study was able to demonstrate a lower capacity to recognize emotional facial expressions in adolescents compared to adults, but a similar ability to put oneself in the perspective of a character and infer various mental states. Paradoxically, a self-reported empathy questionnaire revealed a lower tendency to take the perspective of others in adolescents, overall suggesting a possible distinction between the ability to put oneself in the place of others when measured directly and the propensity to do so in real life. The second study then demonstrated that a moderate or severe traumatic brain injury sustained during adolescence further alters this tendency to take the perspective of others in everyday life, as reported in the empathy questionnaire. The third study therefore used an experimental paradigm that is closer to real-life social interactions and examined, through functional neuroimaging, the empathic response of adolescents and adults towards social exclusion. The results showed that in such a context, adolescents are less likely to take the perspective of others, to feel their distress, and to act prosocially. The data of this thesis can thus be integrated into a detailed picture of social cognition in adolescence by specifying the functions that appear developed, those that are not fully developed, and those that are most likely to be compromised by a brain injury. Beyond these findings, the thesis has also highlighted a lower tendency to use these cognitive resources in a context where other peers are present. Ultimately, the results emphasize the importance of intervening on social cognition at this age, both in adolescents with normal development and those whose development can be compromised by brain damage.

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