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La politique étrangère des États-Unis vis-à-vis d'Oman : la difficulté de l'établissement d'une alliance militaire entre les deux pays de 1975 à 1979

Al-Shaqsi, Sulaiman 18 April 2018 (has links)
Il est difficile de parler de relations internationales sans évoquer les alliances militaires entre les États du système international. Selon l'école réaliste, une superpuissance est portée à accepter les propositions d'alliance, surtout en période de guerre froide. Cependant, l'analyse de la politique étrangère des États-Unis (une superpuissance) envers le Sultanat d'Oman entre 1975 et 1979 témoigne du contraire; en effet, Washington a refusé deux offres d'alliance militaireproposées par Mascate en 1975 puis en 1977. C'est seulement en 1979 que la Maison-Blanche a décidé de proposer une alliance militaireà Oman qui sera officialisée en juin 1980.Le but de cette étude est donc d'analyser et de comprendre les changements dans le comportement de Washington quant à ces trois propositions. Notre recherche démontre qu'une superpuissance peut refuser une proposition d'alliance militaire venant d'une puissance mineure même au cours de la guerre froide. Dans le cas d'Oman, ce refus s'explique à la fois par la situation interne de la puissance mineure ainsi quepar la situation régionale de celle-ci, caractérisée par la présence d'une menace contre les intérêts de la superpuissance. Ainsi, notre étude infirme les arguments habituellement invoqués pour expliquer les changements dans le comportement de Washington pour l'établissement d'une alliance militaire avec Mascate. En effet, ni la doctrine américaine des deux piliers - Twinpillars - qui était mise en oeuvre depuis 1970 dans la région du golfe Persique par les différentes administrations de la Maison-Blanche, ni la révolution iranienne et l'invasion soviétique en Afghanistan, ne s'avèrentles raisonsqui ont motivé le revirement de Washington quant à sa décision de s'allier militairement avec Mascate.
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La résurgence de la Russie dans la région du Moyen-Orient : le cas de la crise syrienne de 2011

Andrieux, Thomas 09 August 2019 (has links)
Ce projet traite du rôle joué par la Russie dans le conflit syrien. Il a comme objectif principal de documenter les diverses raisons qui motivent la Russie à s’être impliquée politiquement et militairement dans un conflit pourtant loin de ses frontières. En outre, il permettra aussi de renseigner sur la place qu’occupe la Russie au sein de la dynamique géopolitique du Moyen-Orient. Ce projet de maîtrise met en relation plusieurs thématiques rarement abordées dans le cadre de recherches en sciences géographiques, lui donnant un degré d’originalité fort pertinent du point de vue scientifique. La Russie s’est toujours positionnée du côté du régime depuis le début des protestations et a catégoriquement condamné toute intervention extérieure, perçue comme de l’ingérence visant à déstabiliser un régime souverain et légitime. Trois thématiques évoquées à de multiples reprises dans les médias de masse ainsi que dans certaines publications comme étant les facteurs qui expliqueraient les motivations de Moscou ont été reprises et analysées. Historiquement parlant, la Russie et la Syrie n’ont pas des liens assez forts pour expliquer un soutien aussi important tout au long du conflit. Le commerce de l’armement n’est pas non plus un facteur d’importance car Moscou vend ses armes en quantités beaucoup plus importantes à la Chine, au Vietnam et à l’Algérie. La base navale de Tartous, souvent citée dans la presse, n’est qu’un héritage soviétique et à peine en état de fonctionner. Ne disposant pas de la capacité de gérer des opérations navales depuis Tartous, Moscou se sert de cette base comme d’un simple point de ravitaillement. Le terrorisme en Russie existe depuis longtemps mais le conflit syrien aura une faible incidence sur l’intégrisme domestique. L’effet à en fait été contraire, dans le sens que l’exode de combattants russes vers la Syrie a fait chuté le degré de violence dans certaines régions du Caucase du Nord. La Russie se serait plutôt positionnée de la sorte en Syrie pour rétablir son influence dans la région et paver la voie vers un multilatéralisme intégrant des États influents au sein de la dynamique régionale du Moyen-Orient. / This project analyses the role played by Russia in the Syrian conflict. This project primary objective is to investigate the various reasons that motivates Russia to be implicated militarily and politically in a conflict that is far away from its own borders. In addition, this project will allow the reader to be better informed about Russia’s present place in middle eastern geopolitical dynamics. This master’s degree project puts in relation many themes that are rarely addressed in geographical studies, giving it a degree of originality that is highly relevant in contemporary scientific studies. Russia has always positioned itself besides the Syrian regime since the beginning of the population uprising in 2011. It has also condemned any exterior intervention, perceived as a way to destabilize a legitimate and sovereign regime. Three main recurring themes, described as explaining Russia’s actions in Syria, found many times in mass medias and in certain publications, were analyzed. Historically speaking, Russia and Syria don’t have strong enough relations that could explain why Moscow is showing such a strong support for the regime in place. The Russian weapon’s trade with Syria isn’t important enough either; Russia sells bigger volumes of weaponry to China, Vietnam and Algeria. The Russian naval base located in Tartus, cited many times in the medias, is nothing else but a soviet heritage that can only manage to maintain basic resupply functions. As it has no command and control capabilities, Moscow is only using these floating piers as a logistical asset in the conflict. Terrorism in Russia exists since a long time but the Syrian conflict will have a reduced impact on domestic radicalism. The effect was quite the opposite of what was expected; the migration of Russian fighters towards Syrian battlefields lowered the percentage of violent and armed crimes in certain regions of the North Caucasus. Russia adopted its stance in Syria to re-establish its influence in the region and to pave the road for a dynamic of multilateralism in the Middle East that would integrate key states that are influent in the region.
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Le rôle des Grecs d'origine phocéenne dans la première guerre punique

Monaci, Jordan 19 July 2022 (has links)
Guerres puniques, guerres romaines. Les différentes terminologies des conflits ayant vu s'opposer Rome et Carthage, de même que les études synthétiques traitant du sujet, minimisent voire oublient le rôle qu'ont pu avoir des acteurs tiers. Les Grecs, présents en Méditerranée occidentale depuis le VIIIe siècle a.C., n'étaient pas étrangers aux événements impliquant la métropole punique et l'Urbs. Les cités d'origine phocéenne, situées dans le sud de la Gaule et de l'Italie ainsi qu'en Ibérie, avec Massalia en tête de liste, sont présentées dans les sources comme « les plus fidèles alliées » des Romains (Cicéron, Pro Fonteio, V, 13). À l'inverse, l'historiographie au sujet de ces cités met l'accent sur les relations conflictuelles et empreintes de rivalité avec les Carthaginois. Malgré l'absence de mentions significatives pour la première guerre punique, il n'est pas impossible qu'elles aient pris part au conflit, en participant à certaines batailles navales, même si cela reste hypothétique. Par ailleurs, la première guerre punique constitua un tournant dans l'histoire militaire romaine puisque, pour la première fois, la cité du Latium se dota d'une flotte de guerre d'ampleur, malgré l'inexpérience des Romains pour les affaires maritimes. Les Grecs d'origine phocéenne, vantés pour leur habileté dans la construction navale, ont pu fournir l'aide nécessaire pour aider leurs alliés et affaiblir leurs rivaux. La confection de navires pour Rome, ainsi que la présence d'ingénieurs d'origine phocéenne sur les chantiers navals romains, constituent les principales hypothèses dans l'historiographie. La production, fabrication et la commercialisation, par les cités d'origine phocéenne, de ressources propres à la construction navale, qui faisaient défaut à Rome, sont également envisageables.
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L'histoire d'une relation spéciale : les relations entre la France et l'Afrique du Sud dans les années 1958-1974 / The history of the special relationship : the relations between France and South Africa from 1958 to 1974

Konieczna, Anna 19 December 2013 (has links)
Basée sur des archives françaises et sud-africaines inédites, cette thèse offre une analyse approfondie des relations franco-sud-africaines sous la présidence de Charles de Gaulle et de Georges Pompidou (1958-1974). La relation est qualifié de « spéciale » pour plusieurs raisons : le fait qu’il s’agit de liens avec un pays non-francophone qui n’appartient pas à la zone d’influence traditionnelle de la France, le contexte dans lequel elle se noue (le processus de décolonisation simultané à la condamnation internationale du régime d’apartheid), la spécificité de ses éléments constitutifs (une coopération particulièrement intensive dans les domaines « sensibles » du militaire et du nucléaire), et enfin le cadre officiel asymétrique et déséquilibré de cette relation. Divisée en quatre parties, organisées selon une logique chronologique, l’étude présente l’évolution de cette « relation spéciale » et ses différentes dimensions : bilatérale (relations militaires, nucléaires et économiques), régionale (relations en Afrique méridionale, dans la zone de l’océan Indien et en Afrique) et multilatérale (débats à l’ONU, au FMI, et dans le cadre de la CEE). A travers l’analyse des discussions au sein des institutions françaises et des prises de position dans les enceintes internationales, cette analyse reconstitue l’attitude ambiguë de la France envers la question de l’apartheid, les contradictions de la politique d’indépendance française de même que de la politique africaine de la France. Tout en privilégiant le cadre officiel, elle propose aussi une analyse du rôle des « intermédiaires » – parlementaires, entreprises et « marchands de canons » – dans la conduite et la réalisation des objectifs de la politique française vis-à-vis de l’Afrique du Sud. / Based on the original French and South African archives, this dissertation examines the relationship between France and South Africa under the administration of Charles de Gaulle et Georges Pomidou. Several elements explain why this relation may be qualified as « special »: the fact that South Africa didn’t belong to the traditional zone of French influence, the context in which this relation emerges (the process of decolonization along with the international condemnation of the regime of apartheid), its specialization (the close cooperation in the military and nuclear field) and its official atypical frame. Divided into four chronological parts, the dissertation presents the evolution of this « special relationship » and its different dimensions: bilateral (relations in military, nuclear and economic field), regional (relations in Southern Africa, in zone of the Indian Ocean and in Africa) and multilateral (debats at UN, IMF and EEC). By analyzing the discussions within the French institutions and the statements in international arena, this study reconstructs the ambiguous attitude of France towards the question of apartheid, the contradictions of the French policy of national independence as well of the French African policy. While the dissertation emphasizes the official framework, it also tempts to analyses the role of intermediates (parliamentarians, enterprises and military industry) in the conduct of French policy towards South Africa.

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