Texte de : Thèse de doctorat : Histoire médiévale : Université de Porto : 1987. / Bibliogr. et sources p. [17]-78.

Diss.--Fakultät für Philologie--Bochum--Ruhr-Universität, 1989.

Diss.--Wien--Universität, 1988. / Contient la trad. allemande de la description de deux rites extraite de "Monaški Život" / J. Popović, et d'un règlement de la vie monastique, "Uredba za unutrašnji i spoljašnji manatirski Život" publ. par l'assemblée des évêques de l'Église orthodoxe serbe en 1963. Bibliogr. p. 238-243.

Proefschrift ter verkrijging van de graad van Doctor--Faculteit der sociale wetenschappen--Leiden--Universiteit, 2000. / Positions de thèses, résumé et curriculum vitae de l'auteur en néerlandais. Bibliogr. p. 335-362. Index.

Proefschrift--Sociale wetenschappen--Leuven--Katholieke universiteit, 1992. / Résumé en anglais. Bibliogr. p. 231-249.

Diss.--Philosophische Fakultät II--Würzburg--Julius-Maximilians-Universität, 1993. / Bibliogr. p. 291-300.

Diss.--Fakultät Sprach- und Literaturwissenschaften--Bamberg--Otto-Friedrich-Universität, 1997. / Bibliogr. p. [29]-68.

Texte remanié de: Th. univ.--Hist.--Paris 1, 1994. Titre de soutenance : La noblesse d'Église. Famille et pouvoir dans la chevalerie immédiate rhénane, XVIIe-XVIIIe siècles. / Bibliogr. p. 317-343. Index.

Diss.--Philosophische Fakultät I--Universität Zürich, 1996. / Bibliogr. 264-274.

Pour majorité, les études consacrées aux rapports numérique/religions peuvent être regroupées sous le vocable de « religion numérique » (Digital Religion). Sans y être complètement étranger, le phénomène qui nous intéresse ici semble d’un autre ordre. Plutôt qu’à de la « religion numérisée », nous sommes face à ce que nous pourrions interpréter comme une quête de sens de type numérique. Quelques auteurs ont déjà entrepris de décrire cette religiosité technologique, certains allant jusqu’à prétendre qu’elle servirait à légitimer la croyance en « société nouvelle ». L’étude du numérisme aurait donc pour fondement ce qu’on présente comme la sacralisation d’un ensemble de « valeurs numériques » dont le réseau internet serait à la fois l’outil de diffusion et le principal objet symbolique. Pour peu que l’on reconnaisse que la religion à quelque chose à voir avec l’idée que se fait la société d’elle-même, on peut se demander si la « révolution numérique », en engendrant un nouveau type de société, ne comprendrait pas une dimension spécifiquement religieuse.