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Représentations sociales et stress au travail : une approche psychosociale / Social représentations and stress at work : a psychosocial approach

Salmon, Thierry 05 December 2018 (has links)
Le concept de stress s’est imposé comme un objet de la pensée scientifique, qui connaît depuis de nombreuses années un grand succès de vulgarisation auprès du grand public, devenant ainsi un objet de la pensée du sens commun. C’est cet objet dans le cadre du travail, que nous avons étudier dans une recherche exploratoire, à l’aide d’un questionnaire que nous avons élaboré, dans une approche psychosociale et des représentations sociales, dont le but est d’explorer l’existence de représentations sociales du stress au travail dans l’entreprise, de ses variations en fonction du sexe, à la fois dans et par la dynamique des relations hiérarchiques qui structurent l’entreprise (comparaison ascendante et horizontale) dans un contexte normal et de substitution, également d’explorer l’existence de valeurs sociales du stress au travail ainsi que des pratiques considérées comme pouvant être les plus efficaces pour faire face au stress au travail, et également des effets psychologiques en fonction des dimensions au MBI. Les résultats que nous présentons ici laisseraient apparaître l’existence d’un champ organisé de représentations du stress au travail et également de l’existence de rapports symboliques entre les statuts hiérarchiques et entre hommes et femmes. / The concept of stress has become an object of scientific thought, which for many years has been a popular success with the general public. So stress has become an object of common sense thinking. It is this object within the framework of the work, that we have studied in an exploratory research using a questionnaire that we have elaborated, in a psychosocial approach and Social Representations which purpose is to explore the existence of Social Representations of workplace stress in the workplace, of its variations according to sex, both in and part of the dynamics of the hierarchical relations that structure the company (upward and horizontal comparison) in a normal and substitution context, also to explore the existence of social values of work stress as well as practices considered to be most effective in coping with work-related stress, and also psychological effects according to MBI dimensions. The results we present here would reveal the existence of an organized field of representations of stress at work and also the existence of symbolic relationships between hierarchical statuses and between men and women.
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La mobilisation dans la littérature pédagogique managériale : une analyse de contenu de manuels de formation / Employee mobilization in educational management literature : an analysis of training manuals

Bourdages-Sylvain, Marie-Pierre 17 October 2014 (has links)
À l’instar des études en sociologie du travail qui, depuis 1980, s’intéressent à la subjectivité au travail comme voie d’intelligibilité des enjeux sociaux, cette thèse porte sur la valorisation par le discours pédagogique managérial de la mobilisation, plus particulièrement celle d’un régime fondé sur l’enrôlement des subjectivités. Il est généralement admis que cette mobilisation constitue le champ classique de la gestion des ressources humaines (GRH). Qu’en est-il des autres domaines de l’organisation ? La mobilisation y serait-elle valorisée tous azimuts ? L’hypothèse a notamment été posée par Tremblay et al. (2005), qui proposent un modèle d’analyse fondé sur quatre champs organisationnels : 1) les pratiques de GRH ; 2) l’organisation du travail ; 3) le leadership et ; 4) la vision, la mission, les objectifs et les valeurs), comme autant de leviers d’action pour mobiliser le personnel. L’objectif principal de cette thèse est de vérifier, par une analyse de contenu de manuels de formation en GRH, si le modèle de Tremblay et al. (2005) est diffusé dans la littérature pédagogique managériale, sans pour autant prendre pour acquis que cela se traduit dans les situations concrètes de travail. Les apports de cette thèse sont triples : elle montre que la mobilisation du personnel et ses dimensions associées (soit l’habilitation, la motivation, l’adhésion et l’engagement) sont présentées par le discours pédagogique managérial comme le pivot de la nouvelle pratique de GRH, tant du point de vue des pratiques, de l’organisation du travail et du leadership, que de la vision, de la mission, des objectifs et des valeurs. Plus encore, elle révèle que la mobilisation y est qualifiée d’émancipatoire, dans la mesure où elle est décrite comme un vecteur de réalisation de soi pour le travailleur et, parallèlement, une voie de rentabilité pour l’organisation. Au-delà de cette vaste entreprise de mobilisation de la subjectivité, l’analyse montre que la littérature pédagogique managériale est porteuse d’un véritable ethos du travail, qui valorise une centralité forte de l’activité professionnelle, une finalité expérientielle et un lien d’emploi fondé sur une transaction subjective entre les parties, bref, un ethos du travail en phase avec les normes managériales contemporaines. Au terme de l’exercice, la thèse examine un ensemble de réflexions quant aux conséquences individuelles et sociales des normes de mobilisation de la subjectivité diffusées par le discours managérial contemporain. / Since 1980, workplace sociology studies have taken an interest in subjectivity in the workplace as a mean of understanding social issues. In a similar fashion, this thesis deals with the way in which the educational management approach promotes engagement, and more particularly engagement as part of a regime based on the mobilization of subjectivities. It is generally conceded that employee mobilization is the classic realm of human resources management (HRM). But is this also true in other fields of organization? Is mobilization valued as highly elsewhere? The assumption is made by Tremblay et al. (2005) who propose a model of analysis based on four organizational fields 1) practices in HRM; 2) work organization; 3) leadership and; 4) vision, mission, objectives and values as so many levers to spur employee mobilization. The main objective of this thesis is to analyze HRM training manuals to establish whether the Tremblay et al. (2005) model is used widely in educational management literature without, however, assuming that this is reflected in concrete work situations. This thesis makes a triple contribution. It shows that employee mobilization and aspects related to it (enablement, motivation, sense of belonging and commitment) are portrayed as central to the new HRM practices by educational management literature in the areas of practices, work organization, leadership, vision, mission, objectives and values. Moreover, it reveals that mobilization is viewed as a source of emancipation – insofar as it is described as a vector of self-realization for the employee and, parallel to this, a path towards profitability for the business. Lastly, the thesis shows that beyond this vast attempt to mobilize subjectivity, educational management literature is the medium of a true work ethos that encourages the strong centrality of professional activity, experience as an end in itself and work relations based on a subjective transaction between both parties. In short, this ethos follows the principles of contemporary management norms. The thesis concludes with an examination of a set of reflections on the individual and social consequences of subjectivity engagement norms disseminated by contemporary management discourse.
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Le roman sans projet : représentations du travail et de la débâcle industrielle dans la littérature française contemporaine

David, Anne-Marie 08 1900 (has links)
À ses débuts au XIXe siècle et jusque dans la première moitié du XXe, le roman social français a accordé une place de choix au travail. Si l’objet littéraire est relégué à l’arrière-plan après la Deuxième Guerre mondiale, il connaît un important regain dans les textes actuels, alors que ses référents empiriques ont considérablement changé. Il en résulte que les représentations contemporaines, pour notables que soient les différences formelles qui les démarquent des antécédentes, ont en commun avec elles d’être structurées par les mêmes thèmes fondamentaux : la mort est l’un d’eux, cependant qu’elle affecte désormais autant l’individu au travail que le travail lui-même. Cette thèse prend acte d’une telle continuité disruptive. La lecture des textes contemporains qu’elle propose est soucieuse de leur inscription à la fois dans l’histoire sociale, dans l’histoire des formes littéraires et dans un ensemble de représentations nouvelles. Elle cherche à décrire les mises en texte du travail en interaction avec un imaginaire social conjoncturel, ce qui indique qu’elle se situe sur le terrain de la sociocritique. Dans cette perspective sociocriticienne, elle mobilise divers outils critiques et théoriques des études littéraires, pour décortiquer l’organisation interne des textes, et engage un dialogue avec la sociologie du travail et la philosophie moderne, pour les interpréter. Son objectif est de comprendre ce que les textes disent du travail et de la société, mais aussi de montrer en quoi « représenter le travail » affecte les modalités de l’acte de « représenter » tout court. Les concepts mis en relation avec le travail pour évaluer sa trajectoire narrative sont d’abord dégagés par l’analyse des codes naturalistes et réalistes « classiques » (dans _Germinal_ d’Émile Zola, 1885, et _Élise ou la vraie vie_ de Claire Etcherelli, 1967). Ces concepts sont la mort, l’ensauvagement et le non-travail. L’étude porte ensuite sur les déplacements et les réagencements qu’ils subissent dans les textes récents. Une comparaison entre les modes principaux de traitement qu’ils appliquent au travail permet de mettre en valeur les traits définitoires de sa représentation actuelle et les particularités de ses variantes. La littérature de recherche, campée par l’œuvre de François Bon, est mise en rapport avec le témoignage (_L’établi_ de Robert Linhart, 1978) et le roman noir (_Lorraine Connection_ de Dominique Manotti, 2006), tandis qu’une discussion autour de la notion de roman d’entreprise (_Nous étions des êtres vivants_ de Nathalie Kuperman, 2010) introduit une distinction thématique au sein du corpus essentiellement industriel. Le parcours complet fait apparaître, par recoupements et par dissonances, les contours d’une catégorie esthétique à la fois plus englobante et légèrement décalée : le « roman sans projet » du travail contemporain. Ce roman accuse autant qu’il met en forme une idée de perte généralisée, dont l’aboutissement est la précarité grandissante – du travail et de l’expérience humaine qu’il génère – évoquée dans _Composants_ de Thierry Beinstingel (2002). / From its beginnings in the nineteenth century to the 1950s, the French social novel ("roman social") gave a prominent place to labour. After World War II, the topic is relegated to the background, but current texts show a significant revival, whilst the empirical referents of "work" have changed considerably. Though notably different in their form from the previous ones, contemporary representations of labour are structured according to the same basic themes. Death is one of them; however, it now affects the working individual as well as work itself. This dissertation acts upon such a disruptive continuity. Its reading of contemporary texts is aware of the role these texts play in both social and literary history as well as in the elaboration of new representations. Following the methods of sociocriticism ("sociocritique"), it seeks to describe the way work is thematised in interaction with a social imaginary ("imaginaire social"). In this perspective, the dissertation borrows various critical and theoretical tools from literary studies, to analyse the texts’ internal organisation, and engages a dialogue with the sociology of work and modern philosophy, in order to interpret them. Its goal is to understand what those texts say about work and about society, but also to show how "representing work" affects the act of "representing". The concepts used to assess the narrative trajectory of work are derived from the analysis of naturalistic and realistic codes (in Émile Zola’s _Germinal_, 1885, and Claire Etcherelli’s _Élise ou la vraie vie_, 1967). These concepts are death, "ensauvagement" and non-work. The study then focuses on how these concepts are rearranged in recent texts. A comparison between the modes of literary treatment they apply to work allows to define the features of current representations as well as to identify the specificity of variants. "Literature of research", embodied by the writings of François Bon, is examined in its relationship to testimony (_L’établi_ by Robert Linhart, 1978) and to the roman noir (_Lorraine Connection_ by Dominique Manotti, 2006). A discussion around the notion of "business novel" (_Nous étions des êtres vivants_ by Nathalie Kuperman, 2010) introduces a thematic distinction within the mainly industrial corpus. Through various subtractions and parallels, the dissertation reveals the outlines of a larger aesthetic category: the "novel without a project" of contemporary work. As much as it expresses an idea of widespread loss, this novel is shaped by that very loss, which culminates in the growing precariousness – of work and of the human experience it generates – described in _Composants_ by Thierry Beinstingel (2002).

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