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Republicanism and progressive historical interpretations of American democracy in the works of F.J. Turner, C.A. Beard and W.A. Williams.January 1998 (has links)
submitted by Suen Bing. / Thesis (M.Phil.)--Chinese University of Hong Kong, 1998. / Includes bibliographical references (leaves 87-90). / Abstract also in Chinese. / Abstract --- p.i / Introduction --- p.1 / Chapter Chapter One: --- Republicanism and Progressive Historical Interpretations / What is Republicanism? --- p.7 / Republicanism as a Guiding Philosophy in Progressive Historical Scholarship --- p.16 / Chapter Chapter Two: --- Frederick Jackson Turner's Frontier Democracy: A Republican Way of Thinking / How Turner's thesis related frontier conditions with democracy? --- p.20 / In what way is Turner's thesis affected by republicanism? --- p.24 / A trace of republican idealism in Turner's later articles --- p.26 / The safety valve hypothesis: A supplement to Turner's free land ´ؤ democracy relationship --- p.31 / Free land - democracy vs. Education - democracy --- p.35 / Chapter Chapter Three: --- Industrial Democracy and American Civilization: The Two Sides of Charles A. Beard's Republican Thinking / The Industrial Society (1901) --- p.42 / An Economic Interpretation of the Constitution of the United States (1913) --- p.46 / "Contemporary American History, 1877-1913 (1914)" --- p.51 / The Rise of American Civilization (1927) --- p.54 / The American Spirit (1942) --- p.58 / Chapter Chapter Four: --- William Appleman Williams' Inheritance of Progressive Historians' Republican Tradition / American Russian Relations: 1871 ´ؤ1947 and The Tragedy of American Diplomacy --- p.64 / The Contours of American History --- p.72 / Great Evasion and Empire as a Way of Life --- p.77 / Conclusion --- p.83 / Bibliography --- p.87
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Security and Liberty: the Republican dilemma in the Early American RepublicLong, Katya 26 May 2009 (has links)
A la fin du 18ème siècle, les Etats-Unis inaugurent les révolutions fondatrices ou refondatrices, directement inspirée des Lumières et ayant dialoguées par-delà l’Atlantique. La période révolutionnaire a vue une élite politique nouvelle aux prises avec la nécessité de bâtir un «ordre nouveau», c'est-à-dire de créer un gouvernement et de définir le rapport au monde de ce nouvel Etat. Cette quête a amené les acteurs politiques de la révolution à chercher un modèle politique différent de celui, dominant, des monarchies absolues. L’idée de république s’impose dès la déclaration d’indépendance. En effet, les Lumières avaient redécouvert le républicanisme qui pouvait incarner l’espoir d’un ordre politique réformé. Cependant, les républiques classiques et les exemples contemporains confirment l’idée alors partagée par tous qu’une république ne peut être qu’une petite entité politique au sein de laquelle vit une population restreinte d’hommes libres et où les différences sociales sont relativement faibles. Non seulement cette petite taille des républiques était-elle un phénomène empirique mais elle semblait être une loi d’airain. Depuis la reformulation du dilemme républicain par Machiavel, l’idée qu’une république ne puisse pas être libre et étendue faisait consensus. Cette première république moderne, fille des Lumières pacifistes, a pourtant mené une expansion quasi-continentale. Comment cette petite république à la périphérie du monde pouvait-elle réconcilier sa volonté de rompre avec les tentations hégémoniques et son désir de puissance ?Comment pouvait-elle s’étendre tout en préservant sa liberté républicaine ?Nous avons formulé l’hypothèse que la réponse à ces questions se trouve dans une redéfinition des principes et des méthodes de leur politique étrangère. Afin de minimiser les risques de corruption de la république, les acteurs de la révolution ont cherché à mettre en place une politique étrangère républicaine fondée sur les idées des Lumières. <p>Cette hypothèse nous a mené à articuler notre travail autour de trois axes de recherche :le premier portant sur la théorie politique internationale, le second sur le débat idéologique autour de la politique étrangère et le troisième sur les institutions de prise de décision et de mise en œuvre de cette politique étrangère. Ces trois axes sont reliés par les idées qui forment la structure intellectuelle des débats entre les acteurs ainsi que les déterminants de la création institutionnelle. <p>C’est là le cœur de notre thèse. En faisant appel à la méthodologie originale développée par Pierre Rosanvallon, qu’il décrit comme une histoire conceptuelle du politique, nous avons tout d’abord procédé à une étude du cadre intellectuel de la révolution américaine en mettant en lumière les évolutions des concepts-clefs de la philosophie des relations internationales par une analyse de la contribution de Montesquieu à la théorie politique internationale. <p>La thèse porte ensuite sur les débats révolutionnaires, la tension entre les idéologies des Lumières telles qu’illustrées par la pensée de Montesquieu et le désir d’expansion territoriale ou de grandeur des acteurs de la révolution. Nous avons choisi de consacrer notre étude aux élites, non pas que nous ne considérions pas l’histoire sociale digne d’intérêt mais nous avons postulé que dans cette phase de bouleversement politique, ce sont les élites politiques qui ont joué le rôle déterminant. Enfin, la troisième partie de la thèse consiste en une étude du cadre constitutionnel, législatif et institutionnel de la politique étrangère républicaine issue de l’interaction entre la structure intellectuelle des Lumières et son interprétation par les acteurs. <p>Ainsi, notre analyse des idées, des acteurs et des institutions de la république américaine nous a permis de contribuer d’une part à la théorie des relations internationales en mettant en lumière les évolutions des concepts-clefs de la politique internationale au cours du 18ème siècle et d’autre part à l’histoire des idées politiques en étendant son champ aux questions internationales. Cela nous a permis également de mettre en lumière le lien étroit entre la structure idéelle, les intérêts et les stratégies des acteurs et la création des institutions politiques. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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