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Étude des pratiques organisationnelles au sein de protocoles ou programmes de retour au travail à la suite d'une absence pour des problèmes en santé psychologique

Delisle, Stéphanie 16 April 2018 (has links)
De nombreuses études révèlent que les problèmes de santé psychologique au travail représentent l'une des plus importantes causes d'absence du travail. En effet, ces derniers génèrent une invalidité qui cause une absence du travail et des coûts élevés pour les organisations. Ainsi, certaines données d'études qui portent sur ce phénomène démontrent que les organisations commencent à ressentir le besoin de se doter d'approches plus complètes et plus intégrées tant au niveau de la gestion des absences et du retour au travail qu'au niveau de la santé et de la productivité des employés. Toutefois, peu d'études permettent de cerner quelles sont les pratiques organisationnelles développées dans le cadre de protocoles ou aux programmes de retour au travail des organisations qui sont mises en oeuvre, par les organisations, à la suite d'un problème de santé psychologique. Les objectifs de cette étude sont donc d'identifier et de décrire les pratiques organisationnelles de retour au travail après un problème de santé psychologique, de les analyser à la lumière études recensées en matière de santé psychologique et de retour au travail, et de cerner les logiques d'action qui sous-tendent ces pratiques. / Dans le but de répondre à ces objectifs, une méthodologie qualitative a été utilisée. Ainsi, des entrevues ont été réalisées dans treize (13) organisations auprès d'intervenants oeuvrant dans le cadre de programmes ou de protocoles de retour au travail à la suite d'un problème de santé psychologique. Les pratiques organisationnelles répertoriées sont, en général, assez conformes avec ce que l'on retrouve dans la littérature scientifique publiée à ce sujet. De fait, toutes les organisations visitées ont révélé avoir mis en oeuvre leurs pratiques de retour au travail en raison des coûts élevés que génèrent les absences pour des raisons de santé mentale. De plus, la majorité des organisations ont aussi bien saisi l'importance d'intervenir sur l'individu, mais aussi sur l'environnement psychosocial de travail dans le but de favoriser le rétablissement. Par contre, certaines pratiques qu'elles utilisent pour la gestion médico-administrative des absences, telles que de fréquentes vérifications ou des demandes d'expertise médicale, ont toutefois été reconnues dans la littérature comme ayant des effets négatifs sur le rétablissement de l'employé. Aussi, il a été constaté que certains intervenants des protocoles de retour au travail assurent un rôle de coordination des interventions de réintégration qui se rapproche de celui du gestionnaire de cas dont la valeur ajoutée est démontrée dans la littérature. Au niveau de l'intervention sur l'environnement psychosocial de travail, certaines actions sont effectuées sur le climat de travail et, dans le cas de retours progressifs, sur la révision temporaire de l'organisation du travail. En effet, les organisations utilisent beaucoup le retour progressif pendant lequel les tâches, les horaires et la charge de travail sont modifiés de façon temporaire. À ce sujet, les études démontrent d'ailleurs qu'il est important d'intervenir sur l'environnement de travail de la personne s'étant absentée puisque cela contribue à son rétablissement, à son retour au travail et à son maintien en emploi. Par contre, dans les organisations visitées ce type d'intervention n'est que temporaire et s'adresse uniquement aux personnes s'étant absentées du travail. Il serait alors intéressant que ces interventions soient aussi utilisées dans le but de faire de la prévention primaire sur les facteurs de risques identifiés dans le milieu de travail, ce qui favoriserait la santé de tout le personnel. D'ailleurs, on remarque que la santé du personnel est un enjeu de plus en plus préoccupant pour les organisations qui devront amorcer des changements culturels pour inscrire davantage leurs pratiques dans une rationalité humaine et subjective plutôt que dans une rationalité économique.
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Déterminants et traitements influençant la reprise des activités professionnelles ou scolaires chez des jeunes adultes en début d'évolution d'un trouble psychotique : le rôle de la cognition

Pothier, William 13 December 2024 (has links)
Le rétablissement socioprofessionnel, une dimension du rétablissement personnel, est un objectif courant chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique. Plusieurs facteurs pourraient influencer la reprise des activités professionnelles ou scolaires, dont les déficits cognitifs, qui sont des symptômes au coeur des troubles psychotiques. Cependant, le rôle de la cognition parmi les autres déterminants clés du rétablissement socioprofessionnel chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique reste encore à documenter. De plus, les traitements standards pour les personnes atteintes d’un trouble psychotique, comme la pharmacothérapie, ont peu d’effets sur les déficits cognitifs. La remédiation cognitive est efficace pour atténuer les déficits cognitifs, mais peu d’études chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique ont évalué son effet sur la reprise des activités professionnelles ou scolaires ou ont tenté de personnaliser le programme pour favoriser la réponse thérapeutique. Cette thèse avait donc pour objectif de mieux comprendre le rôle de la cognition dans la reprise des activités professionnelles ou scolaires. Pour se faire, deux études ont été réalisées chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique. La première, une étude longitudinale, visait à déterminer le rôle qu’occupe la cognition parmi les déterminants clés de la reprise des activités professionnelles ou scolaires et la seconde, une série d’études de cas, visait à évaluer l’effet d’un programme personnalisé de remédiation cognitive sur la reprise des activités professionnelles ou scolaires. De manière générale, l’étude longitudinale a montré que la mémoire de travail et la durée d’absence du travail ou des études expliquaient 48,1% de la variance du statut socioprofessionnel six mois après l’évaluation initiale. La contribution unique significative de la mémoire de travail dans le modèle souligne l’importance de considérer le fonctionnement cognitif des personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique dans les interventions visant la reprise des activités professionnelles ou scolaires. La deuxième étude a quant à elle montré que la remédiation cognitive personnalisée avait permis à deux des trois participants inclus dans l’étude d’améliorer leur statut socioprofessionnel, en plus d’avoir des effets sur des facteurs cognitifs, psychologiques ou cliniques reliés à la reprise des activités professionnelles ou scolaires. / La personnalisation de la remédiation cognitive en fonction de caractéristiques individuelles (e.g., déficits cognitifs préexistants) et contextuelles (e.g., combinaison des interventions) semble avoir favorisé la réponse thérapeutique. À la lumière des résultats des deux études, la remédiation cognitive pourrait être utilisée comme catalyseur de la reprise des activités professionnelles ou scolaires dans les programmes de soutien à l’emploi ou à l’éducation. En effet, la remédiation cognitive semble améliorer plusieurs déterminants du retour au travail ou aux études, dont ceux déterminés à l’étude 1 (i.e., la mémoire de travail et la durée d’absence du travail ou des études). Les trajectoires variées vers le retour au travail ou aux études semblent indiquer que les mécanismes par lesquels la remédiation cognitive favorise la reprise des activités professionnelles ou scolaires sont hétérogènes, soulignant l’importance de personnaliser les interventions. / Occupational recovery (i.e., return to work or to school) is a common objective among people with recent-onset psychosis. Many factors may influence occupational recovery process, such as cognitive deficits, which are core symptoms in psychotic disorders. However, the role of cognition among other key predictors of occupational recovery in recent-onset psychosis remains to be documented. In addition, usual treatments in psychotic disorders, such as pharmacological treatments, have limited impact on cognitive deficits. Cognitive remediation can reduce cognitive deficits in psychotic disorders, but few studies have evaluated its effect on occupational recovery and have attempted to personalize the intervention to enhance treatment response in recent-onset psychosis. Therefore, the general objective of this thesis was to evaluate the role of cognition on occupational recovery. To reach this goal, two studies were conducted among people with recent-onset psychosis. The first, a longitudinal study, aimed to evaluate the role played by cognition among other key predictors of occupational recovery and the second, a multiple cases study, aimed to evaluate the effect of personalized cognitive remediation on occupational recovery. In general, the longitudinal study showed that working memory and length of time absent from employment or school explained 48.1% of the variance of occupational recovery. The unique significant contribution of working memory on occupational recovery underlined that considering cognitive functioning is relevant to interventions targeting return to work or to school. The second study including three cases showed that two of them improved their occupational status after the personalized cognitive remediation therapy, as well as cognitive, psychological and/or clinical factors relevant to occupational recovery. The personalization of the cognitive remediation therapy according to individual (e.g., pre-existing cognitive deficits) and contextual (e.g., combined interventions) characteristics appeared to have enhanced treatment response. According to results of both studies, cognitive remediation could be provided as a catalyst of occupational recovery in supported employment and education programs. Indeed, cognitive remediation may improve many factors relevant to occupational recovery, such as those determined in study 1 (i.e., working memory and length of time absent from employment/school). The distinct pathways leading to return to work or to school suggested that mechanisms through which cognitive remediation influence occupational recovery may be heterogeneous, underlying the relevance of personalizing interventions.
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Trois essais sur les primes au travail

Brouillette, Dany 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Chacun des trois essais de cette thèse présente une analyse d'un programme de prime au travail : le Projet d'autosuffisance (PAS), la Prime au travail et la mesure Action emploi. La conclusion générale que l'on peut tirer est que ces trois programmes ont eu des effets positifs pour les participants. Les résultats du premier essai montrent que la participation au PAS a eu des effets positifs de court et de long terme sur la participation au marché du travail et sur les salaires des participants qui ont reçu la subvention. Les simulations du second essai montrent que l'introduction de la Prime au travail a eu des effets positifs en termes de participation au marché du travail à la marge extensive. En revanche, les simulations à la marge intensive montrent que les travailleurs à faibles revenus ont très peu d'incitation à augmenter leur effort de travail suite à l'introduction de la Prime au travail. Enfin, la participation à la mesure Action emploi a des effets de long terme négatifs sur la dépendance à l'aide sociale. Les prestataires qui ont reçu la subvention au cours d'un mois ou plus sont plus susceptibles de quitter l'aide sociale et moins susceptibles d'effectuer une transition vers l'aide sociale après leur participation.

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