• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Figurations et relations. Le sujet dans les romans à la première personne et les textes philosophiques du XVIIe siècle / Figurations and Relations. The Subject in first person novels and philosophical texts from the 17th Century

Sribnai, Judith 21 October 2011 (has links)
Cette thèse a pour objectif de déterminer quelques aspects des figurations du sujet au XVIIe siècle à travers une lecture conjointe des romans à la première personne et des textes philosophiques de cette période. Partant de questionnements proches, ces deux genres discursifs construisent une figure du sujet savant et itinérant : être animé d'un désir de connaissance et amené à repenser les conditions d'énonciation de son expérience particulière. Pour les auteurs du corpus, la vérité se découvre au fil d'expériences singulières si bien que dire le monde avec exactitude revient à l'énoncer à la première personne, à en rendre une perception d'abord subjective. Se pose alors le problème de la légitimation de l'énonciation personnelle, légitimation qui permet d'articuler la première personne à une altérité tout en conservant la singularité du sujet. Cette singularité se double toujours d'une dispersion des identités du sujet et des référents de la première personne. Mais narration, fiction et usages du corps figurent cette identité en constellation. Les deux premières exposent la diversité des visages du « je », leurs concordances ou leurs discordances, à la fois être passé et présent, homme réel et personnage imaginaire, narrateur et auteur. Dans les usages liés aux peines et aux plaisirs du corps se dessine une autre forme de rencontre possible entre la particularité du sujet et l'autre : celui qu'il désire, avec lequel il souffre, avec lequel il jouit, qui vit en lui. Par tous ces aspects, énonciatif, narratif, fictionnel, physique, la subjectivité construite par les textes est toujours et essentiellement une relation : récit raconté pour rejoindre autrui. / The objective of this thesis is to set out several aspects of the figuration of the subject in the 17th Century, through a joint reading of first person novels and philosophical texts from this period. Beginning with similar questions, these two discursive genres construct a figure of a knowing and itinerant subject, a subject animated by the desire to know and thus guided to rethink the conditions that articulate his particular experience. For the authors of these works, the truth is discovered through a series of singular experiences and experiments; the world more clearly announces itself in the first person, rendering a principally singular perception. This poses the problem of the legitimation of personal pronouncement, legitimation which allows for the articulation of the first person with an alterity, while conserving the singularity of the subject. This singularity always doubles as a dispersion of the identities and referents of the first person. Still, narration, fiction and corporal practice show this identity as constellation. The first two expose the diverse faces of the ‘I’, their agreements and disagreements, their being at the same time past and present, real persons and imaginary characters, narrator and author. From the practices tied to the pain and pleasure of the body is drawn another form of possible encounter between the particularity of a subject and an other: the one he desires, with whom he suffers and plays, the one who lives in him. Through all these aspects, enunciative, narrative, fictional, physical, the subjectivity that is inscribed in and described by these texts is always primarily relational: an account recounted to encounter the other.
2

Figurations et relations : le sujet dans les romans à la première personne et les textes philosophiques du XVIIe siècle

Sribnai, Judith 10 1900 (has links)
Cette thèse a pour objectif de déterminer quelques aspects des figurations du sujet au XVIIe siècle à travers une lecture conjointe des romans à la première personne et des textes philosophiques de cette période. Partant de questionnements proches, ces deux genres discursifs construisent une figure du sujet savant et itinérant : être animé d'un désir de connaissance et amené à repenser les conditions d'énonciation de son expérience particulière. Pour les auteurs du corpus, la vérité se découvre au fil d'expériences singulières si bien que dire le monde avec exactitude revient à l'énoncer à la première personne, à en rendre une perception d'abord subjective. Se pose alors le problème de la légitimation de l'énonciation personnelle, légitimation qui permet d'articuler la première personne à une altérité tout en conservant la singularité du sujet. Cette singularité se double toujours d'une dispersion des identités du sujet et des référents de la première personne. Mais narration, fiction et usages du corps figurent cette identité en constellation. Les deux premières exposent la diversité des visages du « je », leurs concordances ou leurs discordances, à la fois être passé et présent, homme réel et personnage imaginaire, narrateur et auteur. Dans les usages liés aux peines et aux plaisirs du corps se dessine une autre forme de rencontre possible entre la particularité du sujet et l'autre : celui qu'il désire, avec lequel il souffre, avec lequel il jouit, qui vit en lui. Par tous ces aspects, énonciatif, narratif, fictionnel, physique, la subjectivité construite par les textes est toujours et essentiellement une relation : récit raconté pour rejoindre autrui. / The objective of this thesis is to set out several aspects of the figuration of the subject in the 17th Century, through a joint reading of first person novels and philosophical texts from this period. Beginning with similar questions, these two discursive genres construct a figure of a knowing and itinerant subject, a subject animated by the desire to know and thus guided to rethink the conditions that articulate his particular experience. For the authors of these works, the truth is discovered through a series of singular experiences and experiments; the world more clearly announces itself in the first person, rendering a principally singular perception. This poses the problem of the legitimation of personal pronouncement, legitimation which allows for the articulation of the first person with an alterity, while conserving the singularity of the subject. This singularity always doubles as a dispersion of the identities and referents of the first person. Still, narration, fiction and corporal practice show this identity as constellation. The first two expose the diverse faces of the ‘I’, their agreements and disagreements, their being at the same time past and present, real persons and imaginary characters, narrator and author. From the practices tied to the pain and pleasure of the body is drawn another form of possible encounter between the particularity of a subject and an other: the one he desires, with whom he suffers and plays, the one who lives in him. Through all these aspects, enunciative, narrative, fictional, physical, the subjectivity that is inscribed in and described by these texts is always primarily relational: an account recounted to encounter the other.
3

Figurations et relations : le sujet dans les romans à la première personne et les textes philosophiques du XVIIe siècle

Sribnai, Judith 10 1900 (has links)
No description available.
4

Naissance de l'individu et émergence du roman de formation. La contribution du roman-mémoires des années 1730 / Birth of the individual ans emergence of the novel of formation. The contribution of the memoirs novel of the years 1730

Ibrahim, Laith 03 July 2018 (has links)
Le discours critique sur le roman-mémoires des années 1730 semble souvent hésiter entre deux attitudes antagonistes : soit il y discerne les signes d’une « naissance de l’individu » et y voit l’émergence du roman de formation (Bildungsroman). Soit il considère que ces catégories sont anachroniques : la notion d’« individu », comme être conscient de soi et de son intériorité affective et comme l’élément élémentaire dont se compose la société n’apparaît-elle pas seulement dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle en particulier dans la réflexion de Jean-Jacques Rousseau ? et le roman de formation ne trouve-t-il pas son prototype en Allemagne, avec Les Années d’apprentissage de Wilhelm Meister de Goethe ? Mais en réalité, Rousseau et Goethe sont tous deux de grands lecteurs de romans-mémoires et ils s’en sont nettement inspirés dans leurs écrits. La présente thèse souhaite montrer que le roman-mémoires des années 1730 peut être analysé comme un roman de formation, dans la mesure où il décrit les étapes constitutives de l’identité d’un individu et porte une vision du monde sur sa place dans la vie sociale. Mais une telle hypothèse implique de s’interroger sur cette forme romanesque « rebelle à tout ordre » (Henri Coulet, Le Roman jusqu’à la Révolution) : Comment définir cette forme romanesque ? Quel est son rôle dans la cristallisation de la notion d’« individu » ainsi que du roman de formation ? C’est à ces questions que s’efforce de répondre cette thèse en analysant quelques œuvres emblématiques de cette nouvelle forme romanesque, ainsi que leurs enjeux, leurs dimensions philosophiques, esthétiques, politiques et anthropologiques et leurs contributions à l’avènement de l’individu et à l’émergence du roman de formation (Bildungsroman). / The critical discourse on the memoir novel of the years 1730 often seems to hesitate between two antagonistic attitudes : either it discerns in it the signs of a "birth of the individual" and sees in it the emergence of the novel of formation (Bildungsroman). Or it considers these categories as anachronistic : did not the notion of the "individual" as a being conscious of itself and of its emotional interiority and as the basic element of which society is composed only appear in the second half of eighteenth century, most notably in the reflections of Jean-Jacques Rousseau ? And did not the novel of formation find its prototype in Germany, with Goethe’s Wilhelm Meister’s Apprenticeship ? But in reality, Rousseau and Goethe were both great readers of memoir novels and were clearly inspired by them in their writings. The present thesis hopes to show that the memoir novel of the years 1730 can be analyzed as a novel of formation, insofar as it describes the constituent steps of individual identity and carries a worldview regarding its place in social life. However, such a hypothesis implies asking some questions about this novelistic form, considered as "rebellious to any order" (Henri Coulet, Le Roman jusqu’à la Révolution) : How can this novelistic form be defined ? What was its role in the crystallization of the notion of the "individual", as well as that of the novel of formation ? These are the questions that this thesis attempts to answer by analyzing some emblematic works of this then new novelistic form, as well as their importance, their philosophical, aesthetic, political and anthropological dimensions and their contributions to the advent of the individual and the emergence of the novel of formation (Bildungsroman).

Page generated in 0.0825 seconds