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Modèle de Ruijsenaars-Schneider supersymétrique et superpolynômes de Macdonald /Veilleux, Vincent. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. [58]-61. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Les polynômes de Macdonald dans le superespace et le modèle Ruijsenaars-Schneider supersymétriqueBlondeau-Fournier, Olivier 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / La théorie des superpolynômes symétriques ([DLM03, DLM06]) est généralisée avec l’introduction d’une nouvelle base de superfonctions qui dépend de deux paramètres q et t. Cette nouvelle base, que l’on appelle les polynômes de Macdonald dans le superespace (ou simplement, les superpolynômes de Macdonald), généralise toutes les autres bases de superfonctions connues. Celles-ci sont retrouvées via différentes spécialisations (ou limites) de q et t. On démontre que les superpolynômes de Macdonald sont uniquement déterminés par les deux propriétés suivantes. Premièrement, ils se décomposent de façon triangulaire dans la base des superfonctions monomiales (par rapport à l’ordre de dominance entre les superpartitions). Deuxièmement, ils sont orthogonaux par rapport à un produit scalaire donné dans la base des superfonctions sommes de puissances et qui dépend de q, t. L’étape clef pour démontrer ce résultat est la connexion avec la théorie des polynômes non symétriques de Macdonald. En fait, il est montré que les superpolynômes de Macdonald sont également donnés par un processus de symétrisation particulier des polynômes non symétriques de Macdonald. Cette connexion peut être alors exploitée pour obtenir une famille d’opérateurs qui est diagonale dans la base des superpolynômes de Macdonald ainsi qu’une seconde relation d’orthogonalité donnée par l’évaluation d’un terme constant. Ces deux éléments, i.e. famille d’opérateurs et orthogonalité (analytique), permettent de relier les superpolynômes de Macdonald à un problème de mécanique quantique supersymétrique généralisant le modèle Ruijsenaars-Schneider (RS). L’hamiltonien de ce modèle est défini par l’anticommutateur d’une supercharge qui est le générateur de la transformation supersymétrique. La structure algébrique sous-jacente à ce modèle est l’algèbre de Poincaré supersymétrique (i.e. une algèbre de Lie graduée). Tous les états propres de l’hamiltonien sont donnés par le produit de la fonction d’onde de l’état du vide par les superpolynômes de Macdonald. L’intégrabilité du modèle est également démontrée. / The theory of symmetric superpolynomials ([DLM03, DLM06]) is further extended with the introduction of a family of superpolynomials that depends upon two parameters, denoted by q and t. This new basis, that can be called Macdonald polynomials in superspace (or simply stated, Macdonald superpolynomials), generalizes all the previously discovered bases of superpolynomials. These are obtained by the evaluation (or by a limiting process) of the parameters q and t. It is proved that the Macdonald superpolynomials are uniquely defined by the two following properties. First, they decompose triangularly in the monomial basis (with respect to a certain ordering between superpartitions). Second, they are orthogonal with respect to a given scalar product evaluated in the power sum basis and which depends on q and t. The crucial step to prove this result is the connection between Macdonald superpolynomials and the theory of non-symmetric Macdonald polynomials. More precisely, it is showed that the Macdonald superpolynomials can be expressed by a certain symmetrizer acting on the non-symmetric analogue. Using this connection, a family of eigen-operators is obtained, which is diagonalized by the Macdonald superpolynomals basis. In addition, another orthogonality relation that involves a constant term evaluation (referred to as the analytic orthogonality) is obtained. These two elements, i.e. the eigen-operators and the orthogonality (analytic), link the Macdonald superpolynomials to a supersymmetric quantum mechanic model that generalizes the Ruijsenaars-Schneider (RS) model. The Hamiltonian of this model is naturally written as an anticommutator of a supercharge which is the generator of supersymmetric transformation. The underlying algebra of this model is the super Poincaré algebra (i.e. a graded Lie algebra). All the quantum states of the Hamiltonian are given as a product of the ground state function times Macdonald superpolynomials. Finally, the integrability of the supersymmetric RS model is demonstrated.
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Soliton Solutions to Sine-Gordon Using the Ruijsenaars-Schneider ModelRudengren, Fabian, Otterling, Jacob January 2024 (has links)
This thesis discusses the Ruijsenaars-Schneider model and its connection to Calogero-Moser systems and the sine-Gordon equation. The derivations and mathematical framework presented aims at making the model comprehensible to non-experts in the field. Two different methods, the Bäcklund transformation and Ruijsenaars-Schneider model, are used to find soliton solutions to the sine-Gordon equation.
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Modèle de Ruijsenaars-Schneider supersymétrique et superpolynômes de MacdonaldVeilleux, Vincent 13 April 2018 (has links)
Le modèle de Ruijsenaars-Schneider trigonométrique (tRS) quantique est un problème à N corps relativiste intégrable qui généralise le modèle de Calogero-Moser- Sutherland trigonométrique (tCMS). Les fonctions propres du modèle tRS sont les polynômes de Macdonald. La limite non relativiste qui relie les modèles tRS et tCMS est la même qui lie les polynômes de Macdonald et de Jack, les fonctions propres du modèle tCMS. Le but de ce mémoire est d'explorer la possibilité d'étendre le succès obtenu avec l'extension supersymétrique du modèle tCMS au modèle tRS. Le cas échéant, les superpolynômes de Macdonald pourraient être définis. Dans l'approche considérée, obtenir un coproduit diagonal de l'algèbre de Hecke est essentiel, mais n'a pas été possible pour TV > 2. On présente donc les résultats partiels connus pour le cas supersymétrique à deux et trois variables ainsi que la nature des obstacles qui, jusqu'à maintenant, ont empêché d'obtenir la généralisation voulue.
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